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MessagePosté: 10 Jan 2006, 15:22 
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Qui-Gon Jinn a écrit:
Film Freak Returns a écrit:
JE VEUX MUNICH EN N°1 DU TOP DE LA REDACTION EN 2006!!!!!
Mais j'y crois pas.


Pourquoi pas ? S'il est aussi réussi que vous le dites (et que je l'espère), vu son sujet, vu tout, ça devrait être possible.


Bof...avec Spielberg, en fait, c'est pas forcément facile de prévoir...le truc, c'est que je doute pas qu'il y aura des 5/6...Mais de là à ce qu'il figure dans le top de beaucoup de gens (surtout que maintenant, on va toujours prendre le top de la rédac et non de tous les membres). Par exemple, je doute qu'il soit dans le top de Bliss ou Julilo...le tien, celu ide Cosmo, y a des chances, mais bon...je parierai pas sur sa place dans le top de Zad (qui met pourtant WOW en 2005) ou dans celui de Chris.

L'an dernier, une fois que tout le monde l'avait vu, il était EVIDENT que Million Dollar Baby serait dans le top (et d'ailleurs, il est premier).

Citation:
Mais sa date de sortie française joue contre lui.


En plus...

Citation:
Sinon Karloff wow j'avais pas encore vu ton message et... belle ! Ca me fait plaisir et ça me fait trépigner !


Moi je m'écoute la BO là et c'est énorme...la meilleure de Williams pour Spielberg depuis Catch Me.

PS : faut que je t'appelle, j'ai besoin de ton aide!

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MessagePosté: 25 Jan 2006, 18:51 
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SPOILERS


Deuxième vision et que dire? Pfooooo...déjà, après la première vision, le film me revenait souvent en tête, notamment toutes les scènes à Munich, comme elles hantent le personnage d'Avner, elles venaient habiter mon esprit.
Plus je pensais au film et plus je décelais ça et là des détails enrichissant l'oeuvre, la rendant dense, notamment dans cette structure de "dialogue" où les faits et les scènes se répondent, tout comme les deux camps dialoguent par meurtre, ou lors de brefs instants de discussion (sur le balcon avec une future victime, dans une cage d'escalier avec un terroriste adverse), et tout ça pour illustrer le principal propos de Spielberg : si seulement on pouvait juste discuter, dialoguer. Autrement que par la violence.
Je me suis retrouvé à avoir les larmes aux yeux à plusieurs reprises alors que la première fois, je n'avais été ému que par la scène où Avner parle à sa fille. Cette fois, chaque flashback de Munich me donne des frissons, comme le dernier plan. Ah ce dernier plan, si lourd de sens.
Et puis il y a cette scène complètement zarb que tout le monde va trouver foireuse mais que je toruve super forte, je parle évidemment du montage parallèle entre le couple qui fait l'amour et le dénouement catastrophique de Munich. Avec cette vision cauchemardesque, Spielberg enfonce le clou.
Même si je trouve la strcuture des 20 dernières minutes un tant soit peu laborieuse, je n'ai rien à reprocher au film. Il se classe à mon goût parmi les meilleurs films de son auteur, peut-être même son meilleur dans ce registre-là.

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MessagePosté: 25 Jan 2006, 19:09 
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effectivement je trouve la scène assez foireuse mais si très malaisante... sinon Gitaï a pondu un joli texte sur Spielberg dans Studio. (alors que le réal de Va, vit et devient est outré...)


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MessagePosté: 25 Jan 2006, 19:19 
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Bon 6/6.

Grand grand film, d'une densité incroyable. C'est au travers du prisme d'un homme toute l'histoire de l'absurdité du monde, de ses contradictions et de la confusion qui y règne.
Ce qui me frappe en premier lieu, c'est le rapport entre l'agent (l'agent secret... surtout celui qui est sur le terrain à agir, à transformer le monde) et la pensée/l'organisation abstraite (le gouvernement ou les idéologies...) dont ils sont la réalisation matérielle. C'est dit clairement dans le film, Avner se met à douter réellement quand il s'arrête d'agir, quand sa mission est terminée, mais c'est une constante : par exemple, les organisateurs des attentats sont montrés comme des intellectuels ou des riches qui vivent en Europe, alors que les acteurs sur le terrain (les terroristes qu'on aperçoit, mais ca transparait surtout par l'équipe d'Avner) paraissent beaucoup plus humbles et simples. Avner est un des rouages d'un monde dont la violence est devenue mécanisée sur des fondements contradictoires et absurdres, où la pensée abstraite ne prend pas en compte, dans sa logique d'idéalisation que ca soit d'une terre, d'un état ou d'un peuple, la réalité humaine, individuelle.
En ce sens, le film est parfaitement Spielbergien, tout passe par le parcours d'une personnage que l'on suit dans son intimité, et parvient de ce fait à faire ressortir toute une part de la réalité de ce conflit (et par extension du monde moderne)... et qui nous renvoit presque directement à nous, bien au chaud dans notre pays, loin du conflit mais capables de l'intellectualiser. Et franchement, à bas toute critique de pseudo-intello qui passerait à côté de ca.

La scène du montage parralèle est osée, presque grotesque, mais Spielberg plonge en plein dans son sujet à ce moment, comme pour le stigmatiser en une scène... le rapport au "home", le désespoir de la situation, l'humanité de chacun... et la reconstitution du meurtre des otages et des terroristes est brillante : le regard d'un des terroristes avant d'abattre les otages est pour moi le moment le plus fort du film tant il crystalise toute le desespoir d'un monde. C'est aussi un des rares moment où le Spielberg "virtuose" réapparait.
La dernière scène est également immense... cette réponse d'Avner à son "patron"... J'aime beaucoup aussi le fait que la femme d'Avner se moque de lui quand il lui dit "c'est toi mon chez-moi". Il y a quelques années, Spielberg se serait contenté de cette phrase sans la réponse de la femme (en soi, la phrase, surtout en écho à la fin, a une réalité). Aujourd'hui son cinéma est devenu beaucoup plus complexe... ce simple passage me parait extrêmement important pour la réflexion autour du "chez-soi" qui revient plusieurs fois pendant le film, qui est finalement la question de l'identité.
Le film est bourré de pistes et d'ouvertes, et le final laisse à juste titre tout en suspens. Je me contenterai de noter deux trois autres choses qui m'ont marqué, comme la question du droit et du non-droit, qui n'est qu'esquissée mais qui est incroyablement complexe et renvoit à toute cette abstraction qui dépasse les personnages, ou encore la citation d'Hegel, dont toute l'oeuvre tourne autour du rapport entre l'idéalisation et la manifestation de l'idée dans le monde et dont toute une pensée post-50's cherche à se détacher, la jugeant dangeureuse (je ne suis pas certain que Spielberg en soit conscient, mais il est très possible que Kushner soit compétent là-dessus et ait choisit cet auteur à propos)... le film est quasiment le constat de l'échec d'une organisation Hegelienne du monde.
Je m'arrête là, mais peu de films sont aussi riches et denses que celui-ci, et il a en plus la grande intelligence de tout laisser en suspens, ouvert. On abandonne le personnage d'Avner dans la confusion, après une mission elle-même inachevée. Pour moi, le film est non seulement le récit d'un échec, mais c'est aussi celui d'un monde construit sur l'absurdité et la contradiction, où l'incomptabilité devient une norme idéalisée et institutionnalisée.

Bref, c'est un film immense et passionnant.


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MessagePosté: 25 Jan 2006, 19:31 
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Hal et Scythe, vous faites plaisir à lire.

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MessagePosté: 25 Jan 2006, 19:33 
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Antichrist
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hal5 a écrit:
Karloff a écrit:
effectivement je trouve la scène assez foireuse mais si très malaisante... sinon Gitaï a pondu un joli texte sur Spielberg dans Studio.


Ah oui ? Il dit quoi en gros ?


en fait, il ne parle pas du film en tant que tel mais du fait que Spielberg est un grand cinéaste humaniste qui, par ce film, témoigne d'une volonté de paix et de discussion essentielle à ses yeux. Le gars de Va, vis et Deviens dit au contraire que Spielby se mêle de ce qui ne le regarde pas...


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MessagePosté: 25 Jan 2006, 19:37 
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Karloff a écrit:
Le gars de Va, vis et Deviens dit au contraire que Spielby se mêle de ce qui ne le regarde pas...


Lol. Un pote à Abel...

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MessagePosté: 25 Jan 2006, 23:41 
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Vraiment derrière tous ces films politiques annoncés du cinéma américain, j’arrive toujours à trouver que ce « fond » est plus prétexte qu’autre chose. Une certaine impuissance de ce même politique alors ? Oui ces films parlent de vide et de désenchantement de ce politique, même dans la dénonciation qui devient presque une posture veine (ou mélancolique chez Clooney). « Munich » s’inscrit dans cette série de films qui, en particulier en se servant de l’Histoire contemporaine récente ou plus ancienne, est le reflet d’un sentiment de crise existentiel actuel très profond et dramatique. Pour un réalisateur comme Spielberg, c’est aussi un état de fait qui n’arrange peut-être pas son cinéma.

Car je n’ai pas adhéré du tout à ce que j’appellerai un « bizarre mauvais film », qui se balance entre platitudes et excès de mauvais goût, évoluant surtout dans une totale artificialité: la recréation des seventies et l'utilisation programmée de quelques effets seventies (zooms, accélérés) interviennent comme des boutons d'acnés. La photo de Kaminski est vraiment peu ragoûtante (on dirait une mauvaise surstylisation d'un cinéma d'exploit Z par moment) et vire au kitch dans certaines séquences françaises. Le propos en boite qui articule les contradictions de façon extrêmement didactique m'a franchement peu concerné tous comme les personnages, le film ressemble à un long coup pour rien, un coup nul. Je sors de là avec ce sentiment de fadeur un peu malsaine déjà présent dans "War of the Worlds" sauf que j'ai été ici plus encore indifférent.

Il y a une sorte de noirceur de la non action, la démonstration d'une certaine impuissance qui est très prégnante et peut faire le bonheur des analyses, mais elle est transmise je trouve avec une subtilité de pachyderme. On a encore droit à des figures féminines peu reluisantes, la Milady de Winter Marie José Croze étant assez impressionnante à ce niveau. Finalement c'est ce qu'il y a de plus laid (comme le fameux montage parallèle final) qui se trouve être le plus "marquant"...

Je ne sais pas si Spielberg est un réalisateur impersonnel, il se fond peut-être dans une certaine impersonnalité propre en sois du monde, une réalité et une vulgarité qu'il capte d'une façon qui lui est propre, avec ce désir d'universalisme toujours présent même dans le plus "personnel": on reconnaît une démarche et une pensée de cinéma qui va au delà de l'esthétique ou la réflexivité, c'est un rapport direct et naturel à l'image, filmer comme on parle. Mais là pour le coup, si Spielberg a pu parfois toucher certaines cymes dans cette optique par le fantastique et le rêve, ici il y a au contraire une sorte d'abandon à des vieux codes bêtement recyclés ou détournés. Ce naturel devient limite cabotin, il n’y a vraiment plus de spontanéité possible, le bonheur de certains de ses film réussis. Je n'ai pas envie de parler de cynisme ou de nihilisme, mais c'est à l'oeuvre déjà depuis "Minority Report". C'est de plus en plus malsain, désespéré, désenchanté, mais au lieu de mûrir le cinéaste a mis en place quelque chose vraiment aux frontières de la régression pure. Il y a le sentiment de quelque chose de profondément vain.

Un bon point quand même: je trouve que le physique et l'allure d'Eric Bana, sorte d'enveloppe flamby possédant un charisme énigmatique et protéiforme, est en totale adéquation avec le cinéma Spielbergien, presque une incarnation comme acteur qui va plus loin et de façon moins lisse que des stars Spielbergienne comme Hanks, Cruise ou Ford. Bizarrement, le personnage interprété par l'acteur ne m'a pas du tout concerné mais je suis resté très intéressé par la façon dont il était filmé, je ne l'ai jamais vu capté avec autant d'attention, il y a eu une vraie rencontre et alchimie, c'est presque lui en vérité l'objet artistique de ce bibendum chamalow dépressif.


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MessagePosté: 25 Jan 2006, 23:50 
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Le retour du GOUFFRE VERS LA MORT.


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MessagePosté: 25 Jan 2006, 23:54 
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The Scythe-Meister a écrit:
Le retour du GOUFFRE VERS LA MORT.


Ouais j'ai failli répondre un truc de ce genre puis je me suis dit "what's the point?"...

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MessagePosté: 25 Jan 2006, 23:54 
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The Scythe-Meister a écrit:
Le retour du GOUFFRE VERS LA MORT.


non il y a Eric Bana


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MessagePosté: 25 Jan 2006, 23:58 
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Mr Chow a écrit:
non il y a Eric Bana


Dans LOTR il y avait bien les hobbits pour assouvir tes instincts pervers.


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MessagePosté: 26 Jan 2006, 00:02 
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The Scythe-Meister a écrit:
Dans LOTR il y avait bien les hobbits pour assouvir tes instincts pervers.


Et sales aussi *comprennet qui pourra*


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MessagePosté: 26 Jan 2006, 00:19 
Sans doute pas le chef-d'oeuvre esperé, y a trop de trucs maladroits et démonstratifs qui m'ont fait tiquer, mais y a aussi pas mal de scènes assez puissantes, et le film, dans son approche globale, a le grand mérite de poser les bonnes questions.

4-5/6


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MessagePosté: 26 Jan 2006, 00:20 
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Bob Harris a écrit:
Sans doute pas le chef-d'oeuvre esperé, y a trop de trucs maladroits et démonstratifs qui m'ont fait tiquer, mais y a aussi pas mal de scènes assez puissantes, et le film, dans son approche globale, a le grand mérite de poser les bonnes questions.

4-5/6


Tu pars en couille sur Spielberg toi...faux gars, va...

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