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MessagePosté: 12 Mar 2023, 22:06 
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En l'occurrence, le cinéma l'intéresse avant le moindre souci entre ses parents. Et l'important n'est pas le divorce mais le fait qu'il est celui qui découvre l'infidélité et la façon dont il la découvre, qui est directement liée à sa passion naissante et l'entache.
Le sujet serait plutôt "je fais du cinéma pour contrôler ce qui m'effraie" (et en deuxième niveau de lecture, "le cinéma est-il vecteur de vérité ou de mensonge ?").
Libre à chacun de ne pas trouver ce sujet (ou son traitement) intéressant mais cela n'autorise pas à être malhonnête et réducteur.
Ou alors comme je dis, c'est de la cécité. Ou de la bêtise.

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MessagePosté: 12 Mar 2023, 22:11 
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MessagePosté: 13 Mar 2023, 20:54 
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Antichrist
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Le cinéma américain, c’est un pléonasme, disait Godard. Spielberg et le cinéma, c’est aussi un pléonasme, en tout cas pour notre génération de boomers tant il est le plus grand réalisateur des cinquante dernières années, avec tellement de grands films iconiques et populaires qu’il fallait, à un moment donné, pour être crédible dans les diners en ville cinéphiles être pro ou anti Spielby… Jamais il n’avait aussi directement parlé de lui et The Fabelmans tient de l’oeuvre testamentaire. Mais pas que.

C’est aussi une magnifique déclaration d’amour à la famille, une leçon de cinéma (les films dans les films sont absolument incroyables), de rythme, de direction d’acteur. Cela raconte aussi quelque chose de l’Amérique, du rapport de la société américaine aux juifs (en ce sens, le film se rapproche pas mal d’Armageddon Time). Jusqu’à la Californie, le film frôle à mes yeux la perfection. J’aime moins le dernier tiers, ce teenage movie un peu forcé et très signifiant. Mais la fin est très belle, une conclusion (imaginaire) cinéphile qui réchauffe le coeur brisé.

5/6

La scène de découverte de l'adultère est l'une des plus poignantes de toute son oeuvre, j'en avais le coeur serré


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MessagePosté: 13 Mar 2023, 21:18 
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Karloff a écrit:
une conclusion imaginaire

?

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MessagePosté: 13 Mar 2023, 21:25 
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Antichrist
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Il a vraiment rencontré John Ford comme ça ?


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MessagePosté: 13 Mar 2023, 21:27 
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Antichrist
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Et bien je lis que ça s'est passé un peu comme ça, même s'il était plus jeune. Je trouvais quand même que c'était gros - l'enchainement courrier pile au bon moment, entrevue avec John Ford. Mais cinéphile conviendrait mieux qu'imaginaire du coup.


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MessagePosté: 13 Mar 2023, 21:28 
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Antichrist
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https://www.austinfilm.org/2014/12/wher ... john-ford/


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MessagePosté: 13 Mar 2023, 21:38 
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Et ouais ma gueule.

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MessagePosté: 13 Mar 2023, 22:02 
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On cause on cause mais personne n'a relevé que the Straight Story voire (un peu moins) Blue Velvet de Lynch finissent sur un recadrage similaire...

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman


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MessagePosté: 14 Mar 2023, 12:25 
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C’est vraiment le Spielberg que j’aime, à la fois léger et grave, virtuose dans la mise en scène mais simple et limpide dans le propos.

Effectivement, la scène avec le vieil oncle est un peu en trop et on sent une légère baisse de rythme quand la famille arrive à Los Angeles et que le lien avec le cinéma se fait plus ténu. Mais c’est pour mieux repartir dans un final éblouissant.

5/6


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MessagePosté: 14 Mar 2023, 20:15 
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Garçon-veau
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KillMunster a écrit:
Mais c’est pour mieux repartir dans un final éblouissant.

Façon avec la lumière constamment éclatée de Kaminski on est toujours éblouis.

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MessagePosté: 15 Mar 2023, 09:26 
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Cyniquotron a écrit:
Contrairement à d'autres intervenants réguliers sur ce forum, je suis loin, très loin d'être un fanatique de Spielberg. Il suffit de consulter mon top 100 dont il est absent par exemple. Et il faut que Bégaudeau accumule suffisamment d'affirmations qui m'agacent pour que j'en arrive à réagir négativement sur cet enregistrement, cela relève même de l'exploit (et d'un effet inverse à celui apparemment désiré, faire tomber la figure de Spielberg comme grand réalisateur).

Que la critique française soit complaisante avec The Fabelmans oui je suis d'accord. De là à affirmer la mort du cinéma en salles, tout en faisant l'éloge non nuancé des plateformes de streaming comme d'un destin, il y a un truc qui déconne dans le propos. Que le streaming par abonnement soit la configuration contemporaine de financements des films ok, mais ça c'est juste une rupture dans un couplage entre technologies et flux financiers, j'ai du mal à trouver ça merveilleux et désirable.

Comme je me suis intéressé au Nouvel Hollywood et à Brian de Palma en particulier avec beaucoup d'intensité, l'opposition que Bégaudeau fait entre le Nouvel Hollywood et Spielberg tient là encore du cliché factuellement discutable. Au sens où si les films de Spielberg ne relèvent pas du Nouvel Hollywood (et je suis surpris des noms qu'ils citent pour le caractériser), en revanche la seconde génération du Nouvel Hollywood n'aurait jamais pu exister sans Spielberg, et même Lucas, sur le plan du financement et des moyens techniques. Ils sont du même milieu social et dans une entraide concrète, des amis, tous.

Un document amusant avec cette vidéo.

Globalement je dirais du propos de Bégaudeau et de son acolyte qu'il relève apparamment d'une certaine gauche, d' une radicalité critique, mais que mis bout à bout tous ses arguments "anti-Spielbeg", tellement monocordes, cette conception du cinéma, de sa place dans le politique, relèvent plutôt d'un conservatisme idéologique, d'où mon agacement. Mais cela aussi c'est caractéristique de l'époque : affirmer sans nuance des banalités mille fois entendues en se prétendant original et en opposition au consensus, ça marche ok, mais faut pas être surpris des conséquences politiques désastreuses...

scienezma a écrit:
Sortir le procès en antisémitisme est carrément stupide, mais hélas bien représentatif de notre époque...

"à balles réelles" sur Spielberg tu m'expliques? C'est du verbatim. Toute la portion sur l'élu je n'invente rien, il faut réécouter, là encore qu'y voir d'autre qu'une variation d'un cliché antisémite moderne, au sens de ceux produit par les Protocoles des sages de Sion (un faux)?

Caractéristique d'une certaine gauche la complaisance envers ces clichés, et caractéristique de l'époque l'épuisement intellectuel qui rend incapable de les relever, merci à CNEWS et TPMP.

Enfin un peu facile de reprocher à Spielberg d'être un cinéaste du cliché (ce qu'il est, mais de manière plus trouble qu'ils le disent), pour lui opposer d'autres clichés encore plus gros, sur un ton limite France Culture...

scienezma a écrit:
Le remake de "West Side Story" pas un film pour le grand public alors que c'est l'un des plus gros succès d'Hollywood ? C'est une blague ?

La réponse se trouve dans le nombre d'entrées en salles par copie, ou sur le territoire américain, par rapport aux films précédents de Spielberg, ou à d'autres films sortis en même temps.


Je perdrai pas mon temps à trop répondre sur toute la première partie de ton mess car c'est un tissu d'âneries sur le Nouvel Hollywood, à ma connaissance tous les noms proposés par Bégaudeau (Scorcese, De Palma...) appartiennent bien à ce groupe. Spielberg est bien dans le coin aussi (lire le bouquin de Biskind si c'est pas déjà fait, mais dans ce cas faut pas prétendre s'être penché sur l'affaire), c'est la même génération mais pendant que ses copains se shootent, brûlent la vie par les deux bouts, et filment la jeunesse de l'époque, lui reste bien sage et est déjà dans un truc plus spectaculaire, bankable (probablement une remarque antisémite), réac et/car familialiste (amusant que ça soit Bégaudeau le conservateur ds l'affaire du coup lol)... passons sur le contre-sens sur le streaming, Bégaudeau qui en ferait l'éloge alors qu'il a écrit pas mal de textes ici ou là pour dire tout le mal qu'il pense de Netflix et autre...

Le truc de la prédestination n'a rien d'antisémite, c'est typique d'une certaine pensée libertarienne us (donc de l'idéologie, car bien sûr on n'en sort jamais même quand on croit ne pas en faire) : il y a deux types d'individus sur cette terre, celles et ceux qui sont prédestinés à faire de grandes choses, les génies créateurs qui sont les bergers des Hommes, et les petits, les médiocres, les "fonctionnaires" qui généralement n'ont qu'une idée, empêcher la destinée hors du commun des individus incompris du premier type. Même si c'est pas forcément un truc qu'on retrouve trop dans ses films (au contraire, qu'on pense par exemple à la fin de "Catch me if you can" où Di Caprio le faussaire est in fine transformé en agent de la sécurité, où il rentre ds le rang, comme le flic qui le poursuivait), effectivement dans ce biopic il se présente lui-même de cette manière-là, d'emblée tous les signes sont disposés de telle façon qu'à la fin il n'aura plus qu'à recevoir le sacrement de Ford (rien de moins) pour briller à son tour (jeu de mot sur la lumière abrutissante de ses films). Oui, limpide, comme dit qqun au dessus...


Dernière édition par scienezma le 15 Mar 2023, 09:47, édité 1 fois.

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MessagePosté: 15 Mar 2023, 09:36 
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Film Freak a écrit:
En l'occurrence, le cinéma l'intéresse avant le moindre souci entre ses parents. Et l'important n'est pas le divorce mais le fait qu'il est celui qui découvre l'infidélité et la façon dont il la découvre, qui est directement liée à sa passion naissante et l'entache.
Le sujet serait plutôt "je fais du cinéma pour contrôler ce qui m'effraie" (et en deuxième niveau de lecture, "le cinéma est-il vecteur de vérité ou de mensonge ?").
Libre à chacun de ne pas trouver ce sujet (ou son traitement) intéressant mais cela n'autorise pas à être malhonnête et réducteur.
Ou alors comme je dis, c'est de la cécité. Ou de la bêtise.


ok j'ai utilisé "divorce" au lieu d'adultère alors que c'est les deux, merci de remettre les pendules à l'heure... toujours pas de quoi en faire tout un plat hein, ou alors une tarte à la crème peut-être...

"je fais du cinéma pour contrôler ce qui m'effraie" -> c'est précisément ce que dit Bégaudeau, et là il le développe très bien pour montrer à quel point ce point de vue qui parcourt tout le cinéma de Spielberg est simpliste et manichéen (gentils vs méchants)...


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MessagePosté: 15 Mar 2023, 09:52 
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scienezma a écrit:
ok j'ai utilisé "divorce" au lieu d'adultère alors que c'est les deux, merci de remettre les pendules à l'heure... toujours pas de quoi en faire tout un plat hein, ou alors une tarte à la crème peut-être...

mdrrrrrrrrrrrr :lol: :lol: :lol: :lol:

Citation:
"je fais du cinéma pour contrôler ce qui m'effraie" -> c'est précisément ce que dit Bégaudeau, et là il le développe très bien pour montrer à quel point ce point de vue qui parcourt tout le cinéma de Spielberg est simpliste et manichéen (gentils vs méchants)...

C'est plutôt l'interprétation de Bégaudeau qui est simpliste et manichéenne pour le coup.

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MessagePosté: 15 Mar 2023, 10:18 
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scienezma a écrit:
[...

Le truc de la prédestination n'a rien d'antisémite, c'est typique d'une certaine pensée libertarienne us (donc de l'idéologie, car bien sûr on n'en sort jamais même quand on croit ne pas en faire) : il y a deux types d'individus sur cette terre, celles et ceux qui sont prédestinés à faire de grandes choses, les génies créateurs qui sont les bergers des Hommes, et les petits, les médiocres, les "fonctionnaires" qui généralement n'ont qu'une idée, empêcher la destinée hors du commun des individus incompris du premier type. Même si c'est pas forcément un truc qu'on retrouve trop dans ses films (au contraire, qu'on pense par exemple à la fin de "Catch me if you can" où Di Caprio le faussaire est in fine transformé en agent de la sécurité, où il rentre ds le rang, comme le flic qui le poursuivait), effectivement dans ce biopic il se présente lui-même de cette manière-là, d'emblée tous les signes sont disposés de telle façon qu'à la fin il n'aura plus qu'à recevoir le sacrement de Ford (rien de moins) pour briller à son tour (jeu de mot sur la lumière abrutissante de ses films). Oui, limpide, comme dit qqun au dessus...



Putain mais quel délire (et quelle projection) sur la grâce et le berger des hommes (entre Heidegger et Barrès votre coeur balance). L'explication ou l'élucidation de sa volonté de réaliser est plutôt freudienne dans le film. Avec le train électrique il reproduit une scène originelle, convertit un legs de ses parents en catastrophe, comprend aussi que quelque-chose va sortir des rails dans la famille. Il sublime à chaque fois une situation que son public comprend mieux que lui (la mère comprend que le train électrique est contre elle tout comme le mec du collège perçoit 'a forme riefensatahlienne des images de la plage) -comme l'automobiliste de Duel d'ailleurs. Il y aussi une manière de justifier sexuellement le père tout en s'opposant apparemment à lui sur un plan plus explicite et social (il n'y a qu'à son fils que le père laisse transparaître qu'il méprise les artistes pas à sa femme, il ne peut blesser que celui qui reste auprès de lui).. à chaque fois la caméra est un cadeau signifiant : le film se politise un peu plus quand la caméra cesse d'être offerte par quelqu'un d'intérieur a la famille, en l'occurence le père, invisible, de la copine born-again de droite, c'est dans le même moment qu'il filme une institution comme son lycée plutôt que la famille ou des archétypes de western ou de films de guerre . Mais la possibilité technique de l'enregustrement et du cadrage fonctionne alors comme une commande implicite du sujet (sans apparaître elle-même, il 'y a aucune réflexivité dans l'intrntion du realisateur. Elle survit malgré tout comme un residu de l'essence du média qu'il n'anticipe pas - cela me fait penser à Asghar Farhadi tiens, cinéaste spielbergien, mais qui accepte le mélodrame que Spielberg n'investit jamais), c'est plutot le contraire de la grâce qui apparaît alors douteux (même si la grâce est une passivité à laquelle on donne ensuite un sens, ce que Begaudeau ne perçoit pas, cf. Lucien Febvre sur Luther).
Sartre a dû dire quelque part autour de Genet, Flaubert ou Baudelaire que la grâce est le point de vue du sujet sur une névrose qu'il oublie avoir choisi (le film est un peu là-dedans avec la mère et son psy), mais difficile de la faire alors correspondre immédiatement a une vocation politique explicite et plus ou moins messianique.

Par contre ce qui m'énerve un peu c'est que Spielberg ne filme pratiquement plus depuis les années 80 le monde contemporain, sinon dans E.T. (j'aime bien la texture de ses premiers téléfilms, le typage proche de la BD des situations et personne est encore plus singulier quand il décrit sa propre époque).

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