Forum de FilmDeCulte

C'est pas du tout ça qu'on te reproche, mais passons.


Comme si défendre Tony Scott était forcément une posture tarantinienne... Ben non... De plus, je déteste "Les Prédateurs". Et je suis loin d'être un suiveur de Mad, que je critique souvent, mais que je continue à lire parce qu'ils sont drôles et passionnés (et non pas austères et rigoristes). Quant aux Cahiers, je les ai lus 3 ans, puis la revue a beaucoup baissé en qualité (ce que tout le monde s'accorde à dire), alors j'ai arrêté. Aucune posture là-dedans.


J'ai longtemps essayé de faire vivre le forum ciné de Classik, on m'a souvent félicité en privé pour cela, mais je crois que ça n'a servi à rien... J'y étais de plus en plus agacé, et pour cause.... Alors retourne à ce cirque, là où MJ joue les faux-rebelles, là où on compare le dernier Ang Lee avec les films de Lasse Hallstrom... Et puis, le comble de l'impolitesse, c'est de poster des critiques dans le topic fourre-tout alors que des topics ont été crées pour les nouveaux films, ce qui est du foutage de gueule. C'est bien beau de prôner la suprême tolérance, mais même Roy Neary a failli s'énerver quand il lit des arguments foireux sur Spielberg. Et amuse-toi à discuter avec Super Seb, JamesCicero ou Nicolas Brulebois.

Alors je voudrais bien savoir quoi ?



Oh je ne pointais pas du tout ton appréciation de Tony Scott (même si j'y décèle une certaine pose, comme avec Michael Bay)...C'est plutot la prolifération d'avis avec des tas de "Yeah", "Fuck" et d'autres interjection que tu as, je le reconnais, peu à peu abandonner en cours de route. C'était en tout cas particulièrment afligeant.
Maintenant la façon que tu as d'opposer la passion à l'intellectualisation comme tu dis, est particulièrement irritante surtout quand tu mimes le mec passioné. Les mecs de Mad se conforte dans cette posture, tout comme les jeunes des cahiers dans celle opposé. Je ne sais pas quand tu arriveras à te rendre compte que ça revient au même dans les deux cas. Tu as fini par cataloguer les autres cinéphiles dans cette vision simpliste. J'ai l'impression d'assister à un spectacle de guignol.
J'ai été ta cible et ça t'as coûté ton départ car tu es tombé sur le mauvais numéro.



Mes arguments n'ont rien de foireux mais sont tout simplement l'explication d'une gène sincère. Si tu ne peux pas le saisir tant pis pour toi, de mon côté je suis tranquille. Je respecte infiniment Roy (en rapport à sa culture, son intelligence, son humilité, et sa compréhension de l'art cinématographique que je rejoins en de nombreux points). Et si je poste mes avis sur le dernier Spielberg ce n'est en aucun cas pour le titiller ou remporter un combat sur lui.

je passe sur ta caricature du forum Classik...Et tu y reviendras...

Note que les deux positions n'ont pas pas grand chose à voir, ce qui montre déjà à quel point tu pars mal et tu ne comprends rien.



Lol, j'ai une sensibilité face à l'art balbutiante?
Et je ne descend pas Murnau, si tu arrêtais de balancer des conneries sans rien savoir tu saurais que j'aime beaucoup Der Letzte Mann et dans une moindre mesure Nosferatu, il n'y a que l'aurore (dans ceux que j'ai vu) que je trouve très décevant et je n'ai jamais caché que c'était mon avis personnel sur ce film. J'en ai parlais avec d'autres, j'ai des rétiscences envers le cinéma "classique" pour des raisons très précises qui sont justement le fait d'une sensibilité que j'ai travaillé avec le temps et qui me portent vers certains courants et types d'approches de l'art et moins vers d'autres. Ce qui ne m'empêche pas de reconnaitre de grandes qualités à ces films.



Tu n'as absolument rien compris à ce que j'ai écris. Je vais commencer à croire que tu es con. Con dans le sens stupide, manque d'intelligence, incapacité à comprendre ce qui dépasse les propositions simples (et encore, j'ai pas écris quelque chose de compliqué). Mon message était juste une vague tentative de dire que je préférais l'herméneutique à l'expression d'opinions, qui sont deux approches différentes mais la première suppose également le dialogue, encore plus même parce qu'elle ne se fonde pas sur la contradiction mais sur la mise en commun.
Mais comme tu ne connais rien à tout ca, forcément tu n'as rien compris.



Parec que tu crois que tes messages sur dvdclassik ont intéressé qui que se soit? Ils y ont répondu juste pour défendre le film, pas parce que tu disais quoi que se soit d'intéressant. Et je préfère être un poison que de ne servir à rien, qu'être un type vain que personne ne lit et qui poste des messages complètement vides, inutiles et cons à longueur de temps.



Mais justement ce n'est absolument pas ce qu'il se passe, où quand ca l'est c'est totalement balbutiant et superficiel. La perception d'une oeuvre ne s'enrichie pas à partir de la critique, elle s'enrichie à partir de l'analyse et de la quête de signification et de vérité (qui peut passer par des points de vue contradictoires, mais des points de vue contradictoires ne sont pas égaux à des opinions qui s'opposent). C'est connu depuis Platon quoi (sans parler de tout ce qui a suivit).



Rien que pour te faire chier.

Et plus sérieusement, tu remarqueras que je ne participe quasiment jamais aux fils sur les films.

Et au passage, tu montres bien que tu considères les fans de Spielberg comme des ados attardés, ca fera plaisir à certains ici.

Oh, un demeuré de plus dans l'équipe des poseurs incultes.

Hum hum... Tu vois, toi aussi, tu m'accuses de prendre la pose...


Ce n'était pas à prendre au sérieux. Et tu oublies mes longs posts pour défendre "Le Village". Il n'y avait pas que le "fucking masterpiece".


Je crois qu'on s'est très mal compris. Je n'ai jamais voulu opposer la passion à la réflexion. C'est juste la surintellectualisation que j'aime pas.
Pourtant, je comprends très bien certains arguments de Mr Chow et même les tiens, à propos de "Munich"... D'ailleurs, j'aime lire les posts de Mr Chow, car ce n'est pas ses avis qui m'intéressent (d'ailleurs, je suis rarement d'accord avec lui) mais sa façon de réfléchir sur le cinéma est assez stimulante, il y a une vraie pensée derrière, que je comprends et que je ressens en tout cas, sans la partager totalement. Toi, j'ai plutôt l'impression que c'est des réflexions fermées sur elles-mêmes, ce qui les rend un peu pénibles à lire, enfin pour moi.... Peut-être que je me trompe, mais c'est l'impression que tu me donnes... Tout comme l'impression que je te donne est généralement fausse.

Moi aussi, la lumière de Kaminski m'a gavé pour la scène chez Golda Meir, mais ce n'est clairement pas le point le plus intéressant de cette scène, qui est bien plus riche dans les dialogues...

Lol, l'argument ultra-couillu..."Ouais en plus j'aime pas son tout premier film dont tout le monde se branle et qui est majoritairement considéré comme pourri".
Ca c'est de la prise de position.

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Il était pourtant arrivé deuxième dans le sondage Tony Scott sur le forum Classik. A mon grand étonnement.

Normal, film mal aimé donc forcément génial pour les poseurs.

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Classik est pleins de forumeurs de la génération "Starfix" pour qui ce film n'était pas forcément passé inaperçu au début des années 80... je crois que ça peut expliquer beaucoup à ton grand etonnement

Enfin vu, je l'ai trouvé magistrale, un vrai océan de sentiments et d'incompréhensions.
Merci Steven, peut être que ça bougera plus avec des films comme ça.

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Si on est seul, c'est un beau gachis l'espace

Dans un sens, j'ai du mal à trouver le moindre défaut au film. J'aime ses partis pris, aussi bien formels (notamment la ressemblance de certaines scènes avec celles de Schindler), j'aime beaucoup les acteurs, le plan final, mais... Il manque parfois un soupçon de zest, de punch. Le film est assez énorme, les vingt premières minutes sont redoutables, presque terrassantes, j'en avais des frissons... mais parfois, sans que les scènes tombent dans l'inutilité la plus totale, elles me semblent trop molles. Pourtant, certains passages a priori anodins sont très beaux (le premier repas des cinq agents du Mossad). En fait, je crois que même si j'accepte et comprends l'idée qui se trame derrière certaines scènes (la petite fille, le coït final), je trouve leur déroulement pas toujours judicieux.

Cependant, malgré certaines réserves, tout comme pour Schindler (imparfait, mais tellement puissant par moment), je mets la note maximale :
6/6

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

mp

Et dire que dans deux jours, tu auras le mme discours à propos de fdc sur classik. Puis vendredi tu reviendras ici cracher à nouveau sur classik, puis etc...

Arrête de tout caricaturer, je t'en prie. Et puis Classik, c'est terminé.