Forum de FilmDeCulte

Tout le monde aurait dû le voir aussi !

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y a des endroits il est pas encore sorti

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Ah mais je m'en fous, c'est juste pour dire que l'...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Oui mais c'est vraiment un film là dessus, sur ce truc qu'il faut éviter, cette menace, etc.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Tu vas détester de toute façon.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

1- La phrase qui m'a foutu le cafard. Et ma copine qui pendant ce temps me dit "nannn pas ce soir, moi je bosse, on va le voir vendredi !". C'est officiel, je boycotte ce satané topic de l'enfer pendant 2 jours.
2- quoter des posts avec spoiler, c'est mal : du coup, on voit tout ce qui etait caché. J'ai eu chaud.

Dès le moment où tu t'en prends gratuitement, avec condescendance et sans une once de pertinence à un texte qui expose mon point de vu, je le prends comme une attaque personnelle.

Autre chose, ce que j'écris n'est pas "démontable" dans le sens où il n'y a rien à démonter. Je ne tente pas d'y prouver quoi que ce soit.

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N'écoutez pas Film Freak

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Ah tant que ça ? Eh bé putain...

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Netflix les gars, Netflix.

il me semble pourtant avoir prouvé à travers ces messages la non-pertinence de ta phrase sur Sean Connery dans Indy 3. c'était donc pertinent et justifié.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Enorme déception, et l'avoir vu au Max Linder mardi soir entouré de fans n'a pas suffit...
Y'a des trucs sympas, mais les scènes se succèdent sans véritable liant.
Je ne suis jamais rentré dans le film, enfin, j'en suis sorti très très vite pour ne plus jamais y rentrer.
Y'a carrément des moment qui frolent le ridicule


Je suis dégoûté, je suis à me demander si il aurait pas mieux fallu que ce film n'existe jamais.

Je mets 3/6, parce que Harrison Ford est toujours parfait dans le personnage, mais honnêtement, ça mériterait plus un 2/6

Sorti de salle il y a même pas une heure. Et le film grandie, des images reviennent. c'est puissant. c'est beau. c'est émouvant. J'aimerai me coller un texte énorme avec pleins de superlatifs et de mots compliqués, des métaphores et des silhouette de héros en chapeau. A un moment j'essayais de trouver des compariaons négatives ou positives entre cet opus et les trois autres. Tiens ya pas ça et ya ça, dans les autres ça se passe ainsi. Avant de me dire que finalement chaque épisode à ses codes. Un truc plus long demain. Mais ça fait plaisir. Merci Steven.
6/6

Deuxième vision absolument magique.

J'ai l'habitude des seconds essais qui passent mieux que les premiers, défaits de l'anticipation, de l'angoisse, de l'over-analyse de chaque instant où tu te dis, façon Les 7 Mercenaires ou La Haine, "jusqu'ici tout va bien...jusqu'ici tout va bien..." ; la deuxième fois, tu te laisses absorber, tu "vis" le film plutôt que de le "regarder"...

J'en ai quand même profité cette fois pour bien faire gaffe à tous ces dialogues qui m'avaient échappé la première fois, qu'il s'agisse de l'exposition de l'intrigue (j'avais pas capté l'évocation du thème du "retour au foyer, aux origines" si cher à Spielberg alors que c'était évident) ou des échanges entre Indy et Mutt (dire que je craignais tant le rôle et le jeu de Shia à l'annonce de son casting et au final, c'est l'un des meilleurs trucs du film, même si ça n'atteint pas le niveau du duo Ford/Connery).

Ou encore reconnaître toutes les petites ressemblances dans la structure et le schéma narratif mais aussi la mise en scène, pleine d'échos que j'avais manqué, avec les précédents films.

En fait, c'est surtout ça : plus encore qu'une deuxième vision qui fait ressurgir ce que tu aimes et estompes ce que tu aimes moins vu que tu sais à quoi t'attendre, j'ai vraiment eu l'impression de regarder un Indy que j'avais vu 100 fois, comme les autres. Pris par la main tout le long par un perso comme s'il ne m'avait jamais quitté...un peu comme Ford qui redevient en un plan l'icône Jones tout en renaissant en tant qu'acteur après une bonne plâtrée de films de merde où son jeu se faisait de plus en plus fonctionnel.

Il y a aussi ces quelques plans dans la mise en scène où la caméra s'éloigne de Jones, en pleine action, le faisant disparaître du cadre avant qu'il ne rentre dans le champ, presque toujours par un saut, comme pour se réapproprier l'espace filmique. Ca m'a rappellé notamment ce que Cosmo disait de la manière de filmer Snake Plissken dans Los Angeles 2013. Il émane ce même sentiment de héros absent des écrans durant plusieurs années qui doit réacquérir sa place à l'image...une figure de style qui sublime le thème d'un Jones dépassé qui doit trouver sa place dans ce nouveau monde.

Enfin bref...c'était bonnard...dans la plus petite des 3 salles de Bercy qui le diffusait, au milieu d'une salle bouillante, à côtés de potes, cinéphile et pas, retombés en enfance, (à un rang de meriadeck!), c'était beau.

Le seul truc qui me gêne vraiment encore, c'est même plus Hurt ou même Winstone mais surtout Marion...ses quelques moments avec Indy sont extra mais j'aurai aimé voir la réenflammance de leur romance plus appuyée.

Ma note ne bouge pas, don't worry...elle reflète une première impression, plus objective...mon amour pour le film, lui, risque de ne faire que grimper.

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Déjà c'est Simon Gruber.
Ensuite y a strictement rien de nazi.

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