Forum de FilmDeCulte

Non mais Spielberg a tenu à nous imposer les émotions de la fin, c'est barbare, car avec un gros plan d'un enfant qui sourit en s'endormant parce qu'il a réalisé son rêve, même pendant une journée, tout cela bien accompagnée par la voix-off façon conte, c'est tout vu d'avance que le Spielberg "voudrait" qu'on chiale, qu'on bad-trip, etc.

nan mais quel salaud ce Spielberg !

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Héhé, c'est pas question de dire que c'est un salaud ou pas.

Comme Nietzsche à propos du christianisme je dirai:
"Désormais, nous rejetterons Spielberg non plus par nos raisons mais par notre goût."

D'une, il n'y a aucune posture élitiste, et de deux, qu'est-ce qui te permet de dire que le souci principal de Spielberg est de ne pas perdre son spectateur? Ne pas le perdre volontairement, c'est une chose, mais rien n'implique que ca veuille dire tout lui expliquer. On va encore devoir lire les conneries qu'on lit sur Spielberg depuis 20 ans?
Mais je commence à croire vu la somme de stupidités écrites sur ses derniers films qu'il devrait vraiment commencer à faire sien ce principal souci dont tu parles.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Oui, un vrai manipulateur. Pauvre spectateur. D'abord perdu dans le flot d'une histoire dont seuls les meilleurs arriveront à voir la face caché derrière 'les extraterrestres' et sauront saisir dans son entiereté le méta-récit. Puis, lorsque le spectateur sera complètement égaré, Spielberg l'emprisonnera en usant de l'omnipotence machiavélique de sa caméra!

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'Ce qui chez l'homme est grand, c'est d'être un pont, et de n'être pas un but: ce que chez l'homme on peut aimer, c'est qu'il est un passage et un déclin.'

Ainsi parlait Zarathoustra.

Nietzsche a aussi dit : "il peut pas la fermer à la fin ce sale roquet?".

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Arrête-toi tu atteins le summum de l'impuissance là

Non, le summum de la blasitude.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

L'impuissance face à quoi ?

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Impuissant, ou blasé, comme il le veut, face au fait que j'ai exposé en quoi je n'aimais pas A.I., qu'il n'était pas d'accord avec moi, et qu'il n'était pas assez beau joueur pour essayer de discuter avec moi de nos éventuelles divergences sur le film. Il est en bref impuissant devant sa faible capacité à discuter avec les gens.

Tâchons de comprendre le brouillard dans ton esprit. Dans l'ordre :
- tu exposes ton "avis"
- je ne suis pas d'accord avec cet avis
- je refuse de discuter, comme tu l'as très bien noté
- tu conçois mon refus de discuter avec toi comme un fait, fait en face duquel je serais impuissant.
Mais comment pourrais-je être impuissant face à mon propre refus, qu'il soit la conséquence d'un refus volontaire ou d'une incapacité réelle, à moins d'être fou et d'avoir un petit bonhomme dans ma tête qui me dicte mes conduites? L'unique intentionnalité en jeu est le simple refus (son origine étant accessoire), une intentionnalité simple donc qui ne suppose qu'une seule puissance, celle de "discuter". Je pourrais certes être impuissant face à ma propre incapacité, mais cela ne pourrait se vérifier que si j'avais mis en jeu cette puissance (la puissance de surmonter mon impuissance à discuter), ce qui n'est pas le cas.

AUTREMENT DIT, je ne vois que deux possibilités (attention QCM) :

1/ Tes propos n'ont aucun sens.
2/ Tu es un TERRORISTE MENTAL qui tente par de viles manœuvres rhétoriques de dissocier mes intentionnalités de mon ego (celui d'Husserl, pas celui de Freud), ce qui n'est vraiment pas très gentil.

PS : je profite de cet instant pour remercier TBA, son soutien toujours formidable, son attention de tous les instants, et si jamais Z passe par là, je tiens à lui faire savoir que c'est lui qui m'a poussé à écrire des choses pas nettes sur Gaspard Noé. Merci.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Ca me va.

Ne le crois pas surtout.

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Ca me va.

Ah oui ce qui est clair, et le pire c'est que tu vois clairement toi-même quel est ton problème, c'est que tu ne te maîtrise pas ton agressivité constante, ton mépris face aux petits que nous sommes, etc. (ou alors tu es un schizophrène qui dans vie réelle est un boulet et qui pour équilibrer les choses essaient de se le jouer puissants sur Internet, mais le classicisme de ce constat, même s'il t'irait très bien vu comme on peut te cerner facilement, ne mérite que des parenthèses).Dès le moment où tu as vu mes premiers messgaes, tu t'es enfermé sur une position vis-à-vis de moi tout ce qu'il y a de plus réductrice, à savoir, "lui c'est un boulet, même pas la peine d'essayer de discuter".
Le plus incroyable c'est que tut te prends plus la tête pour casser les gens comme tu essaies de le faire que pour discuter de ta cinéphilie, en tout cas avec moi.

Après quand tu dis que tu n'as pas mis en jeu ta puissance à discuter, je te signale que c'est ce que je te reproche depuis le début (de me snober), finalement c'est assez basique mais tu te noies tellement dans tes errements rhétoriques qui n'ont même pas la classe de la sophistique que tu avais sûrement oublié ce "détail".