Forum de FilmDeCulte

Ca fait longtemps que c'est fini ça...

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je vais le faire, ok

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J'ai revu le film en Blu-Ray hier soir et j'ai eu l'impression que la fin était légèrement différente que dans mon souvenir. Notamment Je m'en souvenais pas du tout, ainsi que le dernier plan qui me semblait différent. C'est moi ou il y a plusieurs versions ?

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CroqAnimement votre

C'est toi.

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Faudrait que je revois la fin parce que j'ai pas souvenir d'un E.T à la fin...

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Lol, le retour du débat (résolu depuis 10 ans).

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Bon je l'avais pas revu depuis le ciné, je l'avais idéalisé (j'ai pas aimé cette scène du coup, beaucoup trop didactique).

Sinon le film à la revision c'est proche du 6/6, c'est une pure merveille (à part deux trois moments ici ou là donc) même si j'ai trouvé le Blu-Ray franchement moyen (image très granuleuse, couleurs pas terribles).

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CroqAnimement votre

Il me semble que Spielberg a voulu le grain très apparent pour accentuer l'onirisme, un peu Eyes Wide Shut style.

Mais quand même... Je me rappelle qu'en salle de cinéma, je trouvais l'image trop granuleuse, et que ça passait mieux en DVD, ou le grain disparaissait un peu dans la compression. Donc, la Blu-Ray doit être efficace j'imagine.

Tu dis que les couleurs sont pas top? Parce qu'elles sont un peu délavés, ou parce que la définition est pas top?

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"marre du retour infini de ce topic"

Pour le grain c'est possible puisque j'avoue ne pas être trop friand de ça et aimer quand c'est plus discret. Là dès que c'est un peu surex ou sous-ex c'est vraiment visible.
Pour les couleurs, la définition est top mais je pensais que Rouge City claquerait plus notamment.

Mais bon je suppose que ça vient de moi puisque les différents tests sur le net le trouvent très bien ce blu-ray.

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CroqAnimement votre

Je viens de mater ça sur TCM, l'impression d'avoir perdu 2h20 et de m'être taper un horrible nanard. Je suis d'autant plus étonné quand je vois la (longue) liste de personnes hyper enthousiastes, j'ai certainement dû rater quelque chose mais c'est pas grave moi et Spielberg on a jamais été trop copain.

Pour moi ce film c'était l'exemple type du 6/6 du coeur, avec des partis pris de mise en scène audacieux mais l'émotion qui transcende tout le film, je me rappelais d'une fin qui m'avait bouleversé avec ce plan dans l'eau et comme Art Core plus haut j'avais un peu oublié tout ce qui venait derrière en fait.

Et argh! j'avoue ne pas avoir trop aimé cette partie cette fois-là (ainsi que tout le passage dans l'immeuble à Manhattan qui sort un peu de nulle part pour moi...): ça parle trop, c'est dommage, et quelques plans iconiques cela suffisait pour faire passer le message et l'émotion, qui du coup chez moi a été "aplanie"... J'aime toujours le film, mais moins que le souvenir que j'en avais.

Faudra que je refasse mon top Sielberg du coup et que je désigne de nouveau un N°1 (là comme ça je dirais Jaws !).

Revu hier soir, c'est incroyable comme le film n'a rien perdu de sa puissance, bien au contraire. Toutes ces scènes muettes (truc de plus en plus rare au cinéma j'ai l'impression), cette galerie d'images incroyables qui te pètent la rétine (la lune menaçante, NY sous les eaux, etc.). Et contrairement à plein de Spielberg récents (où j'ai l'impression qu'il fait juste son boulot), tu sens le mec investit par son film à 2000%.
Cette histoire bordel, cette musique... Une splendeur.

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Netflix les gars, Netflix.

Oui mais c'est nul le happy end, ça aurait été mieux si ça s'arrêtait avec David coincé sous la grande roue

- la constellation des bouffons

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Je suis plus gêné par ceux qui trouvent nuls les "extra-terrestres" de la fin.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Je suis complètement d'accord évidemment, le truc que je me suis dit hier c'est que cette partie fait très "fin" justement, avec le lent travelling arrière, tout ça. C'est pas tant un "ça aurait dû s'arrêter là" que "on a l'impression que le film ne sait pas se terminer".
Mais soyons clairs, tout ce qui suit c'est chialance ultime.

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Netflix les gars, Netflix.