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MessagePosté: 21 Mar 2018, 12:16 
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Ya pas trop d'effet Lego Movie, AKA "ça bouge dans tous les sens et ça enchaîne à mille à l'heure à en devenir fatigant et à saouler le vieux con que je suis" ?


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MessagePosté: 21 Mar 2018, 12:27 
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MessagePosté: 21 Mar 2018, 12:34 
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deudtens a écrit:
Ya pas trop d'effet Lego Movie, AKA "ça bouge dans tous les sens et ça enchaîne à mille à l'heure à en devenir fatigant et à saouler le vieux con que je suis" ?


Si un peu, j'y avais pas pensé mais c'est Puck qui m'a fait faire le parallèle. D'ailleurs on était au premier rang et c'était violent les premières minutes tellement ça envoyait dans tous les sens et j'avais l'impression de perdre 50% des infos à l'écran.

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MessagePosté: 21 Mar 2018, 12:51 
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Ya pas aussi un parallèle avec Tintin ? Film qui m'avait fatigué à vouloir enchainer les plans impossibles et money shots absolument à tout prix et ce dès les premières secondes.


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MessagePosté: 21 Mar 2018, 13:16 
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Moins évident mais oui la mise en scène poursuit ce travail de virevolte numérique et c'est ce qui est génial d'ailleurs.

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MessagePosté: 21 Mar 2018, 13:40 
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Dans vos critiques et dans pas mal d'autres, je trouve l'enthousiasme un peu forcé, comme si le génie du film avait été disséqué plutôt que vécu, comme si quelque chose clochait ou que ça ne fonctionnait pas autant qu'espéré. Hâte d'y être tout de même.


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MessagePosté: 21 Mar 2018, 13:45 
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Oui j'ai tellement peur de la surinterprétation là...


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MessagePosté: 21 Mar 2018, 14:40 
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On veut juste un fun ride et une mise en scène qui en met plein les yeux. Si c'est un retour à Tintin, avec un côté Michael Bay ligne claire, selon cette expression prisée par la critique, c'est cool.
La dernière fois que je lisais charisme d'huitre, c'était pour Valérian, ça a l'air déjà beaucoup mieux.


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MessagePosté: 21 Mar 2018, 15:20 
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La question qui m'intéresse: est-ce un Spielberg mineur ou bien un film majeur de son auteur.

En effet, j'ai l'impression que les critiques évitent de parler de la qualité du film, préférant soulever les intentions de l'auteur. Mais est-ce que les intentions forment un "tout" cohérent, puissant cinématographiquement?

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MessagePosté: 21 Mar 2018, 15:25 
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BEN VA LE VOIR ET T'AURAS TA RÉPONSE DUGLAND

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MessagePosté: 21 Mar 2018, 15:30 
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pas envie d'attendre :P

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MessagePosté: 21 Mar 2018, 16:45 
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Je devais à la base écrire la critique du film pour le blog où j’officie de temps en temps et finalement quelqu’un d’autre s’en charge. Et honnêtement ça m’a soulagé tellement le film me paraît énorme à appréhender et tellement j’ai le sentiment de n’en avoir vu presque que la surface tant son foisonnement visuel et thématique est profond et sans cesse passionnant. Besoin de revoir le film, besoin presque de faire pause toutes les dix minutes pour digérer ce que je viens de voir, besoin de faire pause aussi pour voir tout ce qu’il y a à l’écran, tous ces détails que j’ai forcément manqué. Pas tant dans les références qui ne sont pas importantes mais dans la richesse de l’univers proposé.

Ce film est génial pour 10 000 raisons et c’est difficile de commencer à en parler par un axe particulier tellement il est facile d’être envahi d’une excitation enfantine vouée à l’exhaustivité du ressenti de l’expérience. En fait ce que je trouve absolument dingue dans ce film c’est sa place dans l’histoire et dans la carrière de Spielberg. Spielberg a réalisé ce qui est considéré comme le premier blockbuster de l’histoire, Les dents de la mer. Spielberg a réalisé ce qui est considéré comme le premier blockbuster de l’ère numérique avec Jurassic Park. Et donc Spielberg, 71 ans, vient de réaliser le premier blockbuster (ou du moins le plus accompli) de l’ère Internet et des nouvelles technologies, mélangeant le jeu vidéo, la VR, Internet etc... Comme les deux films précédemment cités Ready Player One va marquer une date dans l’histoire du blockbuster, peut-être pas immédiatement d’ailleurs (beaucoup, moi y compris, prédisent son échec commercial) mais il est certain qu’il ouvre une porte, qu’il est dans un même mouvement l’aboutissement d’une chose et le début d’une autre. D’un côté il vient synthétiser cette « nostalgiaploitation » en s’en nourrissant pour ouvrir vers un univers cinématographiques où tout serait possible. Comme un instantané furieux de l’époque actuelle où tout se mélange et où tout existe au même endroit en même temps.
Et le trajet du film et des personnages va être de se réapproprier ce nouvel espace pour pouvoir mieux retrouver le monde réel, enfin réel c’est vite dit, mais en tout cas un autre espace de cinéma où d’autres rapports se déroulent, plus humains. C’est ce qui est très beau dans le film, comment tout son brouhaha, son exubérance et son explosion pop se retrouvent réduits in fine à ce magnifique espace final qui résume tout,
la chambre d’enfant de Hallyday. Cet espace de solitude où tout commence, où l’on découvre ce qui va nous constituer plus tard. L’espèce de fortress of solitude de tous les amoureux de la pop culture.
Espace qui va s’ouvrir dans le film et grâce au film, comme le dit FF, vers le partage l’expérience collective
scène géniale où dans IOI tous les gens qui y bossent sont super heureux de voir Parzival trouver la dernière clef


Il s’y passe quand même des choses de dingue dans ce film et sa plus grande surprise c’est sans doute
tout le passage Shining. Soudain une vraie sidération. Car Steven Spielberg se retrouve dans un film de Stanley Kubrick. Il y a là une proposition cinématographique phénoménale et vertigineuse. Des avatars de jeu vidéo qui arpentent les couloirs de l’Overlook Hotel. C’est totalement dingo. Ce moment est fou et la mise en scène géniallissime. J’adore en plus le climax de cette séquence avec le jeu de plateforme sur les zombies. Une idée tout conne mais tellement cool putain.


Au-delà de ça tout ce que j’ai pu lire sur l’autoportrait de Spielberg, sur cette manière de ne pas être dans la référence bêta mais au contraire par l’accumulation et le refus du name-dropping (le film évite finalement la course aux références faciles) à nous inclure dans un mouvement de culture populaire quel qu’il soit où c’est finalement chacun dans son fanboyisme qui a droit de cité et qui peut revendiquer le droit à l’OASIS (même s’il sera plaisant de voir ça et là des références et des associations inattendues et jouissives
Goro de Mortal Kombat avec le chestburster.
, tout cela est très vrai et d’autres l’ont dit et le diront mieux que moi. Tout comme ce mouvement temporal fascinant que fait le film entre le futur diégétique, le temps suspendu de l’OASIS et les années 80-2000, comme une espèce de ruban de Möbius sans fin et inépuisable où l’on glisse sans distinction d’un espace-temps à un autre. D’où finalement la pertinence de la BO de Silvestri (qui passe très bien dans le film) donnant à ce futur de 2045 des atours des films Amblin des années 80. La toute fin avec le gang contre les méchants, c’est les Goonies contre les Fratelli. On retrouve cette ambiance et cette fin et génialement réussie parce qu’elle revient aux fondamentaux terre à terre avec des péripéties toutes simples, en dur mais pas moins cools que les montagnes de CGI qui précèdent.

Venons-en aux défauts. En fait le film a exactement le même défaut que le bouquin. C’est mal écrit. Pas étonnant quand tu vois que l’auteur du bouquin a été engagé comme co-scénariste. On retrouve donc (en moins pire quand même) ces dialogues faiblards et cette romance teen qui fonctionne moyennement et qui n’est jamais vraiment touchante ou émouvante. La faute à des personnages manquant un peu d’épaisseur, surtout qu’il y avait tout un truc à travailler entre les personnages virtuels et réels et que là-dessus le film est assez faible. Il y avait moyen d’être beaucoup plus « woke » (à l’inverse du bouquin qui était vraiment la vision des meufs et du couple par le prisme d’un auteur puceau frustré). Tout ça est un peu décevant et aurait pu être plus fort, plus osé, plus « inclusif », mais reste trop basique voire même un peu raté
(le sort de Aech, la bonne copine black clairement amoureuse de Z dont les sentiments sont tout bonnement oblitérés)
Similairement tout ce qui touche à Mendelsohn m’a semblé très moyen, lui n’est pas très bon en grand CEO méchant, son personnage n’a pas grand-chose à défendre il faut dire, c’est vraiment limité au méchant qui veut contrôler le monde et on lui doit les scènes les plus ratées
comme ce raccourci d’écriture assez honteux quand même autour du mot de passe écrit sur un post-it [même si ça fait sens avec ce personnage de vieux largué par l’OASIS].
Ils auraient pu lui trouver un arc clairement plus fort. Et l’écriture est trop légère aussi dans le sens où on sent un manque de temps pour développer une vraie dramaturgie. J’ai du mal à croire que quiconque sera ému lors du
discours motivant de Perzival qui appelle du renfort
Le film n’a pas eu le temps de nous préparer à ça, la naissance du héros est trop brutale et ça reste au niveau théorique
même si le fait qu’il y ait personne en face de lui rend cette scène géniale.
Du coup l’émotion est un peu diluée parce qu’on sent que tout est un peu condensé. Surtout condensé de manière un peu grossière avec pas mal de trucs de scénarios nazes qui auraient leur place dans le topic « poncifs ». Toujours cette écriture un peu puérile et caricaturale. Si on voulait pousser l’analyse on dirait que le film ne fait qu’adopter un ton à la John Hugues en jouant avec les conventions mais la réalité c’est que ça passe moyennement, que ça aurait tout simplement pu être beaucoup mieux.

Puis le rythme est un peu bâtard aussi, ça part très fort puis ça retombe avant de repartir pour arriver au climax, ah en fait non c’est pas le climax donc on repart… Ça passera sans doute mieux lors de ma deuxième vision mais je dois dire que je suis sorti du film à quelques reprises alors que les 30 premières minutes m’ont pas lâché. Encore une fois dès qu’on passait sur Mendelsohn ça devenait tout de suite beaucoup plus générique et ça ne me parlait pas.

Pour finir sur les reproches je dirais que globalement le challenge du film était de ne pas faire retomber la pression lors des scènes dans le monde réel en comparaison avec l’énormité, le fun et l’excitation de l’OASIS. Si dans un premier temps c’est totalement réussi (les piles ça tue), je trouve que par la suite ça se fait un peu pauvre.
Notamment ce bref passage un peu pourrave dans « la résistance », avec trois tentes dans un hangar qui s’enchaîne avec la scène naze sur le toit entre les deux ados qui m’a rappelé le pire des films YA.
Heureusement la fin est excellente et
la poursuite avec le van est super réussie
mais c’est clair que je trouve qu’il manque quelque chose à ce niveau-là. Il y a d’ailleurs un truc qui fonctionne pas très bien dans le film c’est
le fait que les 5 membres du gang viennent tous de la même ville. L’improbabilité du truc alors que l’OASIS est un jeu mondial est un peu gênant. C’était pour le coup bien mieux géré dans le bouquin où les asiatiques étaient véritablement japonais.


Mais voilà je suis sûr que les défauts du dessus passeront mieux en le revoyant débarrassé de la pression de la découverte et au final ce sont des défauts mineurs au sein d’un film majeur qui se définit entièrement ou presque de manière purement plastique. Et là j’ai à peine égratigné la surface, j’ai l’impression de n’avoir quasiment rien dit du film tant il me semble riche et puissant. Et surtout je ne parle presque pas de l’expérience pure, du divertissement proposé alors que bon ce que propose le film n’a jamais été vu ailleurs. Je pourrais faire des comparaisons avec Speed Racer, avec Sucker Punch, avec les films de La Terre du Milieu de Jackson, avec Pacific Rim mais ça ne servirait à rien. Il faut le voir et le vivre pour le croire.

On le savait déjà mais Spielberg est le plus grand. Il est je crois le seul mec connu qui s'il venait à disparaître, je chialerais comme un gamin. Je l'aime trop et ce cadeau qu'il vient de faire à tous les gosses qui ont grandit avec ses films, dans toute sa sincérité est le plus beau qu'il puisse nous faire.

5/6 qui montera peut-être au fil des visions parce que je sais que des visions il y en aura d’autres.

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Dernière édition par Art Core le 21 Mar 2018, 16:59, édité 1 fois.

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Tiens un truc que j'adore vraiment, un autre détail comme 1000 autres c'est
que l'oeuf à la fin est vraiment un oeuf. Juste un oeuf lumineux de ouf, super beau. C'est pas un objet métaphorique, c'est pas une autre référence inutile, c'est juste un oeuf. J'adore le suspense quand Rylance le cherche. Ca rajoute à l'espèce de sincérité de la vision de l'OASIS, ce n'est pas un concept de petit malin moralisateur en mode "les jeux vidéos c'est de la merde", non l'oeuf est un pur artefact de jeu vidéo dont la beauté n'a d'autre but qu'elle même.

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MessagePosté: 21 Mar 2018, 17:36 
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Alors pour tous les trous de balle et les vieux cons : oui ça va vite et ça en met plein a vue, oui c'est fun, non l'enthousiasme n'est pas forcé. Arrêtez vos projections et procès d'intention, vous verrez bien le film, vous vous ferez vos avis de merde le temps venu, pas la peine de prendre de l'avance.

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MessagePosté: 21 Mar 2018, 18:03 
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