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MessagePosté: 11 Mar 2013, 14:14 
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J'espère que Malick va par la suite se ressaisir et ne pas livrer une multitude de films en pilotage automatique de cette teneur-là parce que sinon j'arrêterai les frais. Ce qui faisait la force de the Tree of life était avant tout de se reposer sur une trame solide tout en ayant une structure certes fragmentée mais toujours lisible, To the wonder semble quant-à-lui être un arbre sans tronc où il ne resterait plus que les branches: il est ainsi difficile de s'accrocher à quoi que ce soit et sa vision sur la longueur est plutôt pénible. On se souvient de la présence mutique et très limitée de Sean Penn dans TTOL, on pouvait s'en plaindre mais son presonnage ne servait finalement qu'à introduire et conclure le récit, et faisait sens; ici tous les personnages en sont réduit à ce qu'était Sean Penn: des silhouettes sans vies qui traversent le film sans jamais exister vraiment. Je comprends bien l'idée qu'à Malick de se rapprocher d'un cinéma très sensuel (la place du tactile dans ses films est ici très important), impressionniste, épousant la forme du souvenir et de la pensée, tout en jump-cut etc mais il manque une narration solide pour contrebalancer tout ça et nous permettre de s'accrocher et de décoller avec le film (le début et la fin sublimes du Nouveau monde). J'espère donc que Malick va sortir de cette manière très aléatoire de construire ses films formellement dont TTOL posait les limites, limites qu'il a totalement dépassé avec ce film tristement mineur. 1/6.

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The Necks : Body


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MessagePosté: 11 Mar 2013, 14:16 
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Je retiens quand même de beaux soleils couchants et la musique de Gorecki.

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MessagePosté: 11 Mar 2013, 15:03 
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tape dans ses mains sur La Compagnie créole
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Prout Man a écrit:
Arnotte a écrit:
Je suis surtout curieux de voir à quoi vont ressembler les deux prochains - si du moins on considère que la filmo de Malick progresse en diptyques (Badlands/Moissons - Ligne Rouge/New World - Tree of Life/Wonder).

L'univers de la musique et l'univers du cinéma, donc je suppose que ce sera moins intime et plus docu-fiction...

Ah bon...?? Tu as des liens, des articles? Merci! :)

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MessagePosté: 11 Mar 2013, 16:52 
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Marlo a écrit:
Malick avait toujours eu la présence d'esprit de mettre autre chose dans ses films (des soldats, des dinosaures, des indiens),


Je sais pas si on est beaucoup à te suivre sur les dinos...


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MessagePosté: 11 Mar 2013, 17:12 
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tape dans ses mains sur La Compagnie créole
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Purée 17000 entrées au week-end... Il fait moins que No! (qui a quasi autant de copies)

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"


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MessagePosté: 11 Mar 2013, 21:03 
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Et Prout Man qui se plaignant parce que le film n'avait pas assez de copies.

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MessagePosté: 22 Mar 2013, 16:40 
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Antichrist
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Des choses ignobles ont été écrites ici en mon absence. J'y reviendrai si j'ai le temps mais j'espère au contraire que Malick continuera dans cette voie, que cela plaise ou non.


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MessagePosté: 29 Avr 2013, 17:12 
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TO THE WONDER de Terrence Malick n'est certainement pas le film raté que la critique veut démolir. Certes, le film répète quelques motifs malickiens vu dans Tree of Life, mais on est loin de l'auto-caricature vide décrite dans les petits journaux. Oui, le film décolle à même la piste des précédentes œuvres du cinéaste, mais le voyage est différent si on regarde au-delà du paysage, au-delà de la beauté. Et l'exercice de dépouillement est quand même assez unique je trouve.

On a dit du film qu'il était complaisamment beau. Moi, j'y ai vu un film qui s'attarde sur notre quête de beauté, de bonheur, ainsi que sur la mécanique des sentiments qui y sont rattaché. L'idée du film est de sublimer esthétiquement ces émotions ressenties. Elle sont parfois laides, ridicules, à la limite de la quétainerie, grandiloquentes, mièvres. Elle ne font pas tous sens. Mais Malick les assume dans son film. S'y oppose avec fracas l'amour-devoir (qu'on veut apprivoiser et domestiquer, en se tapant sur la tête), et l'amour-passion (qu'on laisse déborder en nous jusqu’à l'extase/ou la mort). Peu importe le chemin choisi, l'amour mène à la souffrance. Un vrai film de guerre! C'est The Thin Red Line part II

4.5/6 - le plus difficile d'accès de tout ses films. Le plus extrême. Mais à la revoyure, le film grimpera au firmament des cotes. Je n'arrête pas d'y penser.

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MessagePosté: 30 Avr 2013, 17:16 
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À mon avis, la déception vient du fait que la critique cynique est constamment à la recherche de nouveaux affects, de nouveaux plaisirs inédits provoqués par de nouvelles façon de filmer. "Ze" nouvelle fragrance. De ce fait, on trouve le film vide. Le paradoxe est là. On reproche au film d'être un peu trop "Malick", on se laisse distraire et décevoir par une forme qui nous est trop familière, mais on passe à côté de ce que le film a à nous offrir, sa réelle profondeur. Malick fait du Malick, il ne cherche pas à se faire autrement, simplement raconter ce qui lui touche. N'est-ce pas suffisant?

J'ai l'impression que seul un critique intéressé par la foi peut embarquer dans le délire et comprendre le film, sans se laisser distraire par les répétitions formelles. (la critique suivante est particulièrement juste je trouve)

http://www.la-croix.com/Culture/Cinema/ ... -05-917897

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MessagePosté: 01 Mai 2013, 00:19 
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Je vois pas trop ce qu'elle donne à voir de plus du film, la critique dont tu mets le lien, là... Tu penses à quelle partie exactement ? Le seul truc que je vois dans le texte, comme proposition, ce serait ça :

Citation:
Comme toujours dans le cinéma de Terrence Malick, les lieux sont, plus que tout, porteurs de sens. On passe ainsi, parfois sans aucune transition, de Paris et la vieille Europe à une banlieue pavillonnaire américaine, symptôme d’une humanité fantomatique posée en lisière de l’éden perdu des grandes plaines peuplées de bisons.

... et on comprend pas exactement où ça l'amène (la plaine au bisons, filmée comme un Eden ? j'ai pas eu l'impression).


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MessagePosté: 01 Mai 2013, 00:33 
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David Swinton a écrit:
À mon avis, la déception vient du fait que la critique cynique est constamment à la recherche de nouveaux affects, de nouveaux plaisirs inédits provoqués par de nouvelles façon de filmer. "Ze" nouvelle fragrance. De ce fait, on trouve le film vide.

Non, on (enfin je) trouve le film vide non pas parce que Malick ne se renouvelle pas mais parce qu'il se caricature.

Citation:
Le paradoxe est là. On reproche au film d'être un peu trop "Malick", on se laisse distraire et décevoir par une forme qui nous est trop familière, mais on passe à côté de ce que le film a à nous offrir, sa réelle profondeur.

Ce n'est pas la familiarité de la forme qui déçoit, c'est son côté redondant (pas avec les autres Malick mais avec au sein du film en lui-même).

Citation:
Malick fait du Malick, il ne cherche pas à se faire autrement, simplement raconter ce qui lui touche. N'est-ce pas suffisant?

Bah s'il le raconte mal, non.

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MessagePosté: 01 Mai 2013, 07:46 
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Moi, c'est pas tant le côté "caricatural" qui me gène que l'approche purement malichèenne qui n'accroche à rien, je pense essentiellement en raison du choix de l'actrice qui n'a pas du tout l'innocence et la pureté recherchée, et qui tente pathétiquement de la mimer. Ca ne fonctionne juste pas, même si je trouve la démarche esthétique intéressante.

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MessagePosté: 01 Mai 2013, 19:55 
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Tom a écrit:
Je vois pas trop ce qu'elle donne à voir de plus du film, la critique dont tu mets le lien, là... Tu penses à quelle partie exactement ? Le seul truc que je vois dans le texte, comme proposition, ce serait ça


Je n'ai pas de partie à citer en particulier. Mais c'est l'un des rares textes qui ne juge pas les choix artistiques de Malick, l'un des seuls qui n'oppose pas ces choix en les opposant aux façons classiques d'aller chercher l'auditoire. La profondeur ne vient pas de l'historique des personnages et du dialogue entre eux, mais de ce qui émane de leurs pensées. Et en se multipliant, des paradoxes intéressants se créé. Mais il faut être aux aguets. Il parle d'abandon. Et effectivement, il est juste de dire qu'il faille s'abandonner au film pour l'apprécier.

Mais sinon, j'aime beaucoup le texte de Roger Ebert sur le film (le dernier qu'il a vu et critiqué). Ebert à toujours aimé Malick. Mais je soupçonne que son handicap oral l'a aidé à comprendre d'avantage ce film mutique.

http://www.rogerebert.com/reviews/to-the-wonder-2013

Tom a écrit:
Citation:
Comme toujours dans le cinéma de Terrence Malick, les lieux sont, plus que tout, porteurs de sens. On passe ainsi, parfois sans aucune transition, de Paris et la vieille Europe à une banlieue pavillonnaire américaine, symptôme d’une humanité fantomatique posée en lisière de l’éden perdu des grandes plaines peuplées de bisons.

... et on comprend pas exactement où ça l'amène (la plaine au bisons, filmée comme un Eden ? j'ai pas eu l'impression).


Son interprétation est un peu flou. Mais je vois où il veut en venir. Ce qui en ressort, c'est la dichotomie entre l'amour-devoir (celui qu'on domestique au milieu d'une banlieue toc américaine), et cette amour-passion, cette force sauvage en roue libre (représenté par ce troupeau de bisons). Les dialogues ne dirigent pas forcément le récit, mais les lieux portent définitivement un sens je trouve.
À la fin du film, alors que les deux amoureux sont séparés par l'espace, occupant chacun le leur (diamétralement opposés à l'autre), l'amour divin semble surgir d'on ne sait où. L'espoir, le rêve, peut-être.

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MessagePosté: 01 Mai 2013, 20:26 
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Film Freak a écrit:
Non, on (enfin je) trouve le film vide non pas parce que Malick ne se renouvelle pas mais parce qu'il se caricature.


Mais qu'est-ce qui donne cette impression de caricature? Le fait qu'il répète certains traits de mise en scène?

Pour caricaturer, il faut être conscient de le faire, de se répéter. Bien sûr, si on croit à une certaine complaisance de la part de Malick, il est facile d'y voir de la caricature. Mais j'ai de la difficulté à avaler ça. Je n'ai pas vu ça. Pour moi, cette manière est le langage de Malick. Pourquoi faudrait-il qu'il varie son langage s'il aime le faire de cette façon? S'il croit que c'est la bonne façon.

Bien que je préfère The New World en tant que générateur d'émotions, la forme plus extrême de To The Wonder à tout de même permis à Malick d'aller encore plus loin sur le thème de l'amour, de se libérer définitivement d'un certain classicisme qui l'empêchait de creuser son thème en des termes plus spirituelles. To The Wonder touche moins que The New World, mais il faut avouer qu'il est bien plus complexe (là où The New World privilégiait l'expérience sensuelle).

Film Freak a écrit:
Ce n'est pas la familiarité de la forme qui déçoit, c'est son côté redondant (pas avec les autres Malick mais avec au sein du film en lui-même)


Je peux comprendre. À un certains moment, la concentration n'y était plus. Mais c'est au moment où j'ai déconnecté mon cerveau ( qui cherchait à comprendre la forme) que j'ai vraiment goutté au film, que je l'ai compris et ressenti.

Film Freak a écrit:
Citation:
Malick fait du Malick, il ne cherche pas à se faire autrement, simplement raconter ce qui lui touche. N'est-ce pas suffisant?

Bah s'il le raconte mal, non


Il le raconte mal par rapport à quoi?

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MessagePosté: 01 Mai 2013, 20:35 
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David Swinton a écrit:
Film Freak a écrit:
Non, on (enfin je) trouve le film vide non pas parce que Malick ne se renouvelle pas mais parce qu'il se caricature.


Mais qu'est-ce qui donne cette impression de caricature? Le fait qu'il répète certains traits de mise en scène?

Qu'il en abuse, qu'il les pousse à l'extrême...

Citation:
Pour caricaturer, il faut être conscient de le faire, de se répéter.

Non, on peut s'auto-caricaturer sans en être conscient.

Citation:
Pour moi, cette manière est le langage de Malick. Pourquoi faudrait-il qu'il varie son langage s'il aime le faire de cette façon? S'il croit que c'est la bonne façon.

1. Cet argument, je peux donc le ressortir pour tous les films de n'importe quel réal alors?
2. Qui a parlé de varier?
3. Le souci, à mes yeux, ce n'est pas qu'il s'agit du même langage, c'est que cette fois, il hurle.

Citation:
Bien que je préfère The New World en tant que générateur d'émotions, la forme plus extrême de To The Wonder à tout de même permis à Malick d'aller encore plus loin sur le thème de l'amour, de se libérer définitivement d'un certain classicisme qui l'empêchait de creuser son thème en des termes plus spirituelles.

...et tombe dans la niaiserie ("L'amour qui nous aime").

Citation:
To The Wonder touche moins que The New World, mais il faut avouer qu'il est bien plus complexe (là où The New World privilégiait l'expérience sensuelle).

Je ne trouve pas.

Citation:
Il le raconte mal par rapport à quoi?

Par rapport à ses autres films.

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