Forum de FilmDeCulte

Lol, lol et lol.

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N'écoutez pas Film Freak

Surtout Trique of Life, excellent.

Hey. Désolé, bon en ce moment je suis nul à chier...

Le mec qui s'écrase devant la police de l'humour...

Pas du tout. Je constate juste une cohérence de pauvreté d'invention de la blague chez moi. C'est tout.

C'est vrai qu'on t'a connu plus fou, plus anar, plus poète...

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N'écoutez pas Film Freak

Je bas de l'aile, j'ai besoin de repos et d'errance maligne.
Mouais bof...

Bel effort.

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Vain.

Trente.

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Reznor.

Je reposte ce que j'avais mis sur (feu) enculture:

Ebahissement devant ce superbe film! Très court, il est d'une pureté remarquable: l'exposition, divinement douce et poétique; la fuite, enivrante mais présageant une impasse; des déchaînements de violence successifs et brefs; une fin aussi douce que le début et trompant toutes les attentes d'un spectateur enclin à croire à quelque chose de plus brutal et démonstratif. Bad Lands est imprégné d'une mélancolie très puissante. Les personnages sont certes libres mais cette liberté semble toujours en sursis. Ils sont non seulement recherchés par les flics mais aussi, prisonniers de leur propre condition. Le gars est l'emblème du romantique qui se brûle les ailes par sa folie et son instabilité. La fille est candide mais impassible devant la violence, l'acceptant comme condition de la liberté originelle de l'homme que le couple cherche à retrouver (thème aussi présent dans La Ligne Rouge, non? Ligne Rouge qu'avec le recul, je n'aime pas). Au final, le film est très déroutant, voire légèrement déprimant. Le spectre de la mort plane constamment au-dessus de la plaine américaine, et les personnages tentent de prendre ce qu'il y a à prendre avant la fin.

5/6

Jette un oeil à ce long et intéressant article de Peter Biskind paru dans Variety avant la sortie US de La Ligne rouge.
Il est principalement basé sur les propos de Bobby Geisler et John Roberdeau, les producteurs du film, et de gens qui ont côtoyé Malick pendant ces 20 ans. Si l'on en croit les propos rapportés, il a passé pas mal de temps à glandouiller et à jouer les divas indécises. On sent que les mecs sont vénères, aussi dans les faits c'est peut-être un peu plus light que ça, il n'empêche que le portrait n'est pas des plus reluisants.

http://www.vanityfair.com/hollywood/classic/features/runaway-genius-199812?currentPage=1

Ca, c'est sûr qu'il y a un côté "pas de couilles"!

Je vais lire ça.

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Impressionnant le nombre de cachets qu'il a touchés pour ne finalement rien livrer.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)