Forum de FilmDeCulte

Ben il a elargi son horizon mais la fin de cette Guerre des mondes laisse penser qu'il garde une vision super optimiste quand meme.

Lol.

je crois savoir la raison du "lol". Je n'ai pas compris le film, c'est ca?
Alors deja, oui La guerre des mondes est plus sombre que ET... en meme temps c'est pas bien difficile. Mais fondamentalement, on a quoi a la fin? Un Happy end. Les envahisseurs sont repousses et surtout, la famille se retrouve dans le vent automnal de Boston.
En surface, malgre le sous-texte politique tres critique, c'est un film qui se conclut bien pour les personnages auxquels on s'est attache.

Et puis au-dela, si on pousse un peu, on peut dire qu'il y aussi un fondamental optimisme dans le fait que les mechants envahisseurs soient voues a l'echec... sans aucune action des envahis... Ca semble automatique, ca semble etre la loi de la nature (la loi de Dieu t'as envie de dire, le mechant ne gagne pas). Dans les faits, ca s'est pas toujours passe comme ca

Moi là où le happy end de WoW me dérange un chouille (enfin là je l'ai tellement vu qu'il me dérange plus mais bon) c'est que la "mort" du fils telle qu'elle nous est "montrée" plus tôt dans le film ne semble VRAIMENT pas laisser de place au doute. Si sa disparition avait été plus ambigue, cette fin choquerait moins je pense.

Sinon, en ce qui concerne Spielberg et ses fins, celle-ci ne déroge pas à la règle du sempiternel besoin pour l'auteur de terminer sur un lueur d'espoir...y a qu'à voir les fins mêmes de ses films les plus sombres (Schindler, Amistad, Ryan, Report, WoW) et évidemment de ses films pas sombres aussi (Catch Me, Le Terminal).

Un systématisme qui s'arrête avec Munich (la fin du désespoir total, la dernière réplique c'est un "Non" en réponse à une invitation à la paix et le dernier plan, c'est le WTC debout en CGI qui te dit "voilà où ça mène au bout du compte") et ça faisait plaisir comme évolution.

(bon Indiana Jones, il allait de soi que la fin serait ultra-happy quand même, normal)

Je suis curieux de voir comment il épiloguera Lincoln...fin pessimiste sur l'assassinat du mec qui a aboli l'escalavage ou fin optimiste sur justement les accomplissements du Président?

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Oui. Sur le coup de sa presumee mort, je me disais que c'etait intelligent de la part de Spielberg: plutot que de louer unilateralement la bonne volonte du fils, il montrait que dans un autre sens celle-ci mene parfois au fanatisme suicidaire et inutile. Avec sa resurrection, ca attenue nettement cet aspect la. (bien qu'il soit toujours present, c'est d'ailleurs un des motifs qui fait que j'aime bien le film)

Yep, pareil, j'aimais bien la fascination morbide du fils pour la mort et la destruction qui le mène à sa mort... J'avais trouvé ça dommage, mais comme pour Minority Report ou Schindler, je préfère faire abstraction de ces fins inutiles pour me concentrer sur les qualités du reste du film.

Surtout que vu les thématiques du film, le fils aurait pu symboliser tous ces "enfants" partis mourir dans l'armée...



Moi celle de Schindler, je chiale.
Celle de Report, la théorie du rêve la rend intéressante.

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Voilà une drôle de manière d'interpréter mes propos. Heureusement que l'on ne te lit pas comme tu lis les autres...

Quant aux considérations de Budd sur le style de Stendhal, elles me laissent pour le moins preplexe. Et parler de Stendhal comme d'un écrivain qui "n'y est pas pour grand chose", c'est cultiver un goût certain pour l'antiphrase.

Voilà une manière sans surprise de ne pas être capable de comprendre des sarcasmes. Heureusement que je ne vais plus te lire du tout.

C'est marrant, parce qu'en matière de surprise, ce doit bien être la cinquième fois au moins que tu te retranches derrière cette pierre de touche. Eh bien soit, ne me lis plus, je crois que je supporterai la terrible épreuve que tu m'infliges. Heureusement (du moins j'espère), je peux continuer à parler cinéma avec les autres et avoir comme retour autre chose que des sarcasmes et des silences.

Oui, fais donc cela. Les adolescents qui trouvent que Spielberg c'est trop naze parce qu'ils viennent de découvrir Tarkovski, j'ai donné, merci.

Et je ne suis pas certain que tu connaisses bien le sens de "pierre de touche" - ou alors la métaphore m'échappe.

La pierre de touche, c'est cette manière de juger les gens selon qu'ils "comprennent" tes sarcasmes ou non.

Sinon, tu avais dit que t'arrêtais de me lire. Qu'attends-tu? Et arrête de mettre le mot "naze" à toutes les sauces, surtout pour désigner les autres. Les mecs qui parlent volontairement comme des adolescents, j'ai déjà donné, merci.

Ce n'est pas une pierre de touche, c'est du bon sens (pour ne pas dire une forme minimale d'intelligence?).



Faut bien essayer de se mettre à ton niveau de pensée, étant donné que le reste (y compris la parodie, comme tu viens de le montrer) tu ne comprends visiblement pas.

Pourtant, Spielberg, c'est trop naze et Tarkovski, c'est trop fort!

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Tellement fort que tu n'arrives pas à écrire son nom. Et arrête de mettre le mot "naze" à toutes les sauces, surtout pour désigner les autres.