Forum de FilmDeCulte

Ouais dommage Marlo we U !

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CroqAnimement votre

Très sincèrement, je ne suis pas maso, et je n'ai justement pas envie d'être "seul contre tous". Internet reste un pur divertissement pour moi
Et apparemment j'énervais certaines personnes et je n'ai pas envie d'énerver les gens, j'ai envie d'être gentil moi
Donc si j'énerve, je pars, c'est tout.

Pfff, mais pas ta princesse là Marlo

Il n'y a que Arnotte et Karloff qui ont parlé de trollisme, c'est leur sentiment. Mais ne généralisez pas. Et puis il n'y a pas deux générations face à face, ni deux clans. Allez, zappez.

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I think we're gonna need a helmet.

Ouuuuh l'appel à caliiiiins.
Calin.

Je suis d'accord avec toi Marlo mais je crois que seul Arnotte a parlé de trollisme hein, les autres trouvent ça juste surpourri et répondent aux gamineries de Charogne (qui, elles, sont bien plus trollisantes).

Et sinon, je pense pas que tu devrais arrêter de débattre...juste être un poil moins prétentieux peut-être

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Bon quelqu'un pour effacer les dernières pages ?

(sauf le rage comics)

Ta gueule enculé, tu veux que je t'éclate la tête connard ?!

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N'écoutez pas Film Freak

Non moi j'aime bien, car soudain au milieu du topic, il y a la vie.
(sauf que parfois la vie, c'est de la merde)

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N'écoutez pas Film Freak

I agree.

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Tout d'abord bonjour à vous tous et merci pour vos débats intéressants, comparés aux incessantes bêtises que je ne cesse de lire et d'entendre au sujet de ce film depuis sa sortie ("lol des dinosaures c'est n'imp", "on se croirait au futuroscope", etc).



Je suis plutôt d'accord avec toi sur ta vision du film, mais TiQ a raison en parlant de "lexique caricatural", ne serait-ce que pour l'emploi de "transcendantal" à la place de "transcendant" (puisqu'on parle de transcendance, et non de conditions de possibilités ou autres chinoiseries kantiennes).



J'ai du mal à saisir comment on peut utiliser cette citation pour critiquer péjorativement The Tree of Life.



Je ne connaissais pas cette anecdote sur Mallick, mais j'ai pensé directement au Deus sive Natura de Spinoza en sortant de la salle. Certes, pour répondre à Mr Chow, Mallick ne fait pas une genèse de Dieu et de la Nature où il reprendrait toutes les propositions et scolies de la première partie de l'Ethique, mais là n'est pas la question. C'est qu'une voix-off nous parle bien de "voie de la grâce ou voie de la nature", et pour répondre également à un débat sur le statut anti ou pro religieux du film, il me semble que le parti pris est précisément ni pour ni contre au sens où la voie de la grâce et la voie de la nature sont une seule et même voie.
La recherche de l'infini et le sentiment d'écrasement cher à Caspar Friedrich m'est aussi immédiatement venu à l'esprit à la fin du film.

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"Quand on m'attaque, je peux me défendre ; mais devant les louanges, je suis sans défense."

Qu'est-ce qui, dans le film, permet de dire ça? Il me semble que le film ne remet jamais en cause l'affirmation initiale, bien au contraire s'en veut une démonstration.

Ah et bienvenue.

J'ai aussi l'impression que "les deux voies" cohabitent perpétuellement chez Mallick mais sans se confondre - je ne pense même pas qu'il les hiérarchise, qui considère la "grâce" comme supérieure à la "nature" (ce en quoi je n'en fait pas un théologien, plutôt un jardinier piqué de métaphysique), juste, il fait ce constat des deux voies, et je trouve que c'est dans Le nouveau monde qu'il les exposent le mieux.