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MessagePosté: 18 Mai 2009, 15:29 
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Matou miteux
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Hubert Minel n'aime pas sa mère. Du haut de ses 16 ans, il la jauge avec mépris, ne voit que ses pulls ringards, sa décoration kitsch et les miettes de pain qui se logent à la commissure de ses lèvres quand elle mange bruyamment. Au-delà de ces irritantes surfaces, il y a aussi la manipulation et la culpabilisation, mécanismes chers à sa génitrice. Confus par cette relation amour-haine qui l'obsède de plus en plus, Hubert vague dans les arcanes d'une adolescence à la fois marginale et typique: découvertes artistiques, expériences illicites, ouverture à l'amitié, sexe et ostracisme.

Alors que dans la presse on essayait de te vendre un Tarnation au Québec, c'est finalement tout autre chose même si on a son sensible chevelu qui parle parfois à la caméra, avec ombre maternelle de partout. C'est de la chronique ado assez drôle et assez touchante, qui gagne autant sur le registre authentique que sur le décalage, filmée par un gamin qui, sans s'imposer comme un génie fulgurant en un film, ne s'endort jamais sur ses lauriers. Le québécois claque bien, surtout dans la bouche de ses acteurs, dont le mère interprétée par... mais elle me dit quelque chose... MAIS MAIS MAIS!

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Mon dieu mais c'est Criquette Rockwell! Du coup ça m'a un peu sorti du film, je m'attendais à ce qu'elle lance des niiiin, qu'elle jette sa bonne dans le sapin de Noël et présente des Téléthons enfants pouilleux. Mais même sans ça c'est bien quand même.

4.5/6

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MessagePosté: 18 Mai 2009, 17:38 
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Schtroumpf sodomite
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Blissfully a écrit:
Criquette Rockwell!


Qui ?

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MessagePosté: 21 Mai 2009, 01:46 
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Petit joueur

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Faut être au Québec pour comprendre le Cricket Rockwell... Quoique j'ai cru comprende que "Le coeur a ses raisons" allait être adapté pour le marché français?

Selon les médias Québecois, dont le chauvinisme est d'une subtilité rare, ce film a été très bien acceuilli... Qu'en est-il réellement?


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MessagePosté: 21 Mai 2009, 10:26 
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Matou miteux
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Stradlyn a écrit:
Faut être au Québec pour comprendre le Cricket Rockwell... Quoique j'ai cru comprende que "Le coeur a ses raisons" allait être adapté pour le marché français?


Ca a été diffusé ici aussi... bon, sur la TNT.

Nin!

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MessagePosté: 21 Mai 2009, 15:20 
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Successful superfucker
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Même si le noir et blanc et les inserts poético-compresseurs rappellent que c'est l'oeuvre d'un minôt de vingt berges, ce premier film prouve la grande réussite de la quinzaine dans ses choix de comédie à travers la haine familiale et puérile entre un jeune homo et une daronne pas si vieux jeu avec des acteurs au diapason de l'excellence, une audace à aller au casse-pipes et un sonner vrai dans les dialogues qui touche juste chez tout le monde, même chez les vieilles du palais Stephie. Bonne surprise, je m'attendais à du Morimoto en barres.
4-5/6


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MessagePosté: 23 Mai 2009, 10:56 
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Matou miteux
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Inscription: 05 Juil 2005, 13:48
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Localisation: From a little shell, at the bottom of the sea
Et le film a quasi tout chopé aux prix de la Quinzaine.

Bravo petit. Bravo Criquette.

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MessagePosté: 23 Mai 2009, 17:03 
Bientôt la Caméra d'Or?

Je le vois à 22h30


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MessagePosté: 24 Mai 2009, 01:21 
Bonne surprise également, c'est bourré de maladresses très "premier film", mais ça claque plutôt bien et c'est assez juste et frais.

4/6


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MessagePosté: 28 Juin 2009, 02:36 
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Successful superfucker
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mais non finalement les distributeurs se sont peut-être dits que ça pourrait être vendeur donc ils ont choisi ça

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MessagePosté: 01 Juil 2009, 12:25 
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Si c'est sa mère qui lui coupait les tiffs, ça reste cohérent avec le titre.

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MessagePosté: 01 Juil 2009, 13:37 
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Matou miteux
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F-des-Bois a écrit:
Si c'est sa mère qui lui coupait les tiffs, ça reste cohérent avec le titre.


Je propose qu'il tue plutôt celui qui a fait la bande annonce.

http://www.filmdeculte.com/cinema/actualite/Jai-tue-ma-mere-9547.html

Tada.

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MessagePosté: 07 Aoû 2009, 14:01 
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Ce n'est pas tout à fait le film auquel je m'attendais (basé juste sur les échos de Cannes, je n'ai pas vu la b-a), ce qui ne veut pas dire que je suis déçu non plus. Quelques spoilers :

Déjà, je suis surpris que ce soit vendu comme un comédie, parce que je n’ai jamais trouvé que ça essayait d’être très drôle (ou alors je suis passé complètement a coté). Ensuite la deuxième surprise c’est que cette mère est tout à fait normale, en fait par du tout démoniaque/horrible comme le laissait présager le pitch, et c’est bien la gamin qui est un vraie tète à claque d’enfant gâté qui mérite des coups de pieds au fesses ! :) Ce retournement assez inattendu (pour moi), c'est ce que j'ai trouvé le plus intéressant dans le film : qu'on nous montre un personnage principal qui passe presque tout le film a avoir tort, à en vouloir à la mauvaise personne.

Dans l'ecriture, il ya un coté très premier degré qui-n’a-peur-de-rien qui donne sa force au film, mais tombe aussi plusieurs fois dans la maladresse un peu toc (les inserts face caméra, les ralentis à la Wong Kar Wai).

Sinon il n y’ a qu’une courte séquence ou j’ai effectivement reconnu Criquette. Comme quoi Anne Dorval est une vraie actrice.

4/6

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MessagePosté: 07 Aoû 2009, 15:54 
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Blissfully a écrit:
Stradlyn a écrit:
Faut être au Québec pour comprendre le Cricket Rockwell... Quoique j'ai cru comprende que "Le coeur a ses raisons" allait être adapté pour le marché français?


Ca a été diffusé ici aussi... bon, sur la TNT.

Et sur mes dvds aussi
Sinon, je n'ai rien à dire sur le film, je ne l'ai pas vu. Au revoir.


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MessagePosté: 30 Jan 2012, 20:36 
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C'est dommage que la moyenne d'âge du premier long se situe en fin de trentaine, et qu'on ait pas accès à tout un cinéma potentiel, à des films plus frais et fou, plus entiers, plus premier degré, plus rêveurs et moins usés.

Mais à quoi ça sert d'être jeune, d'avoir l'occasion de réaliser, si c'est pour s'y prendre comme ça ? Si c'est pour déjà jouer au cinéma de vieux, en disposant ses petites influences et ses modèles, je ne suis pas sûr qu'on y gagne au change... Bergala expliquait ça de manière très juste, en parlant de certains jeunes cinéastes : "Le coup de l'intimidation tous azimuts : regardez ce que je suis courageux, pur et dur, cultivé, ce que je filme bien, à quel point j'ai tout assimilé, tout compris, et comment je suis artistiquement hyper correct. (...) Si Godard peut faire les films qu'il fait aujourd'hui, c'est au terme d'un long parcours qui passe par la jeunesse de son propre cinéma. Ceux-là voudraient se placer immédiatement au stade de la maturité et de la maîtrise sans que leur cinéma ait jamais été jeune. C'est un peu asphyxiant et contre-nature".

Dolan n'en est pas tout à fait là, il y a chez lui un peu d'air, de candeur, de non-maîtrise. Mais l'immaturité du film est tout de même usante : dans la pose, dans les citations, dans les effets de pacotille qui s'improvisent mise en scène. Ça finit au forcing à fonctionner à peu près, parce que l'inconscience de Dolan fait que ça reste assez cash, mais entre ce premier essai et le moment où cette filmo atteindra éventuellement la maturité, je soupçonne une série de films extrêmement pénibles. Parce que si le film parvient à être "personnel", c'est simplement par la charge autobiographique (pas certain que ce soit sa vie, mais on est à pied joints dans l'adolescence, qu'on sent encore très proche) - cinématographiquement, à part un fonctionnement en tableaux intriguant, mais qui peine à réellement convaincre, le reste tient au pillage organisé de tout ce que le jeune-cinéma-d'auteur peut offrir de plus attendu.

Je suis toujours surpris de voir certains cinéastes débutants partir non de l'envie saine de nous montrer quelque chose, de nous faire partager une envie et d'assouvir une nécessité, mais plutôt d'être occupés à d'abord s'inventer un style ; ça me fait penser à ces artistes d'art contemporain qui arrivent dans la profession comme on se ferait une place sur le marché, en se demandant qu'elle voie stylistique et/ou thématique ils vont bien pouvoir s'approprier, pour avoir leur petit carré chasse-gardée. Ce genre de choses se construit en partie inconsciemment, sur la longueur, sinon ça s'écroule comme un joli château de cartes. Bref...

Anne Dorval est très bien.


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MessagePosté: 31 Jan 2012, 02:36 
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Bon, là je dois dire que je trouve ton texte un peu prétentieux mon cher Tom. Sans rancune j'espère.

Dolan a fait son premier film car il était prêt à le faire. Il en avait l'énergie.

J'ai l'impression que tout ce que tu reproches à Xavier Dolan (sa pose, ses citations, ses effets de pacotilles) se retrouve un peu dans tes textes quand tu ne sais pas trop de quoi tu parles. Plutôt que de t'avouer vaincu devant l'oeuvre d'un cinéaste (jeune de surcroît) qui n'est pas arrivé à te toucher, tu te lances dans une entreprise de sur-analyse qui n'a pas tellement sa place, et qui est surtout hyper condescendante et suffisante, aidé de vieux et grands noms intouchables comme Godard et Bergala.

Je ne veux absolument pas défendre J'ai tué ma mère. D'ailleurs je n'ai pas tellement aimé le film moi non plus. Mais j'estime qu'un cinéaste à le droit de vivre sa jeunesse de cinéaste comme il l'entend. Et ça ne diminue en rien la vitalité d'une oeuvre de jeunesse qu'elle soit pétri de référence. Au contraire! C'est la preuve d'un désir de raconter tout de suite, maintenant, sans l'expérience nécessaire, une histoire qui vient des tripes (J'ai tué ma mère est une auto-biographie de la jeunesse de Dolan). C'est d'ailleurs pourquoi le film n'est pas prétentieux, et qu'il ne se fait pas vieux dans son approche. Il a été conçu dans l'urgence, avec comme seul langage des références cinématographique acquises dans l'adolescence. Elles sont visibles, mais Dolan a choisi de les assumer. Non par prétention, mais parce qu'elles sont ce qu'il connaît du cinéma. Dolan ne se cherche pas un style, il sait parfaitement ce qu'il aime! Godard (s'il faut un nom) a fait la même chose à ses débuts, il s'est mis à faire des films avec ce qu'il connaissait. Comme a peu près n'importe qui. Truffaut a rendu hommage à Hitchcock dans La Peau Douce.

Est-ce que tu vas me dire que Hitchcock est une référence moins "poseuse", car plus proche d'un cinéma populaire. Donc la pose chez Dolan serait d'utiliser le langage des cinéastes considérés "auteur"? En même temps, c'est un peu n'importe quoi, car ces "auteurs" qu'il admire sont en grande partie ceux de la Nouvelle Vague (ceux là même qui ont été inspirés par le cinéma américain).

C'est facile de se lancer à pied joint dans la sur-intellectualisation du pourquoi et du comment d'une première oeuvre d'un jeune cinéaste. Mais il faudrait peut-être d'abord s'informer sur le dit cinéaste avant de se lancer. ;-)

Si ça peut t'aider, Xavier Dolan, fils d'acteur, enfant vedette, doubleur de films (la voix de Ron dans Harry Potter), a abandonné l'école assez tôt. Son adolescence difficile et immobile va le pousser a bout, ce qui l'entraîne par nécessité à écrire une nouvelle à 16 ans qu'il va adapter 3 ans plus tard en vue de tourner son premier long métrage, J'ai tué ma mère (basé sur ses problèmes filiaux avec sa mère et ceux reliés à son homosexualité). Le scénario a été refusé par tous les organismes de subventions fédérales aussi bien que provinciales. Il a donc tourné la moitié du film avec l'argent que certains de ses oncles et des amis de la famille ont décidé de lui avancer. C'est en montrant les images qu'il avait tourné qu'il a pu convaincre les organismes de financer la deuxième phase du tournage.

Moi c'est ça que je trouve beau. Il s'est levé de son cul et l'a fait son film. Il l'a peut-être fait d'une manière effronté, avec les moyens du bord (autant financier qu'intellectuel), mais il a osé. Et ce seul geste montre qu'il était prêt.

Au départ, par automatisme, moi aussi j'ai démoli la démarche de Dolan (que je trouvais prétentieux). Mais je ne voulais pas admettre qu'il était culotté. J'étais jaloux...

Bon, je trouve toujours le film aussi faible. Mais un moment donné, il faut laisser ses concepts de ce qu'est le cinéma de côté et se laisser aller devant la force brute d'un film. Depuis que j'ai vu son deuxième film, Les Amours Imaginaires (un de mes films préférés, plus désinvolte, ludique, et maîtrisé que son premier), je me rends compte à quel point J'ai tué ma mère est un film important qui tient d'une démarche cohérente.

Tout ça pour dire que tu devrais t'informer sur la génèse d'un film pour mieux te laisser porter et comprendre la démarche d'un cinéaste. Il y a une tendance ici de critiquer le petit film québécois d'une drôle de façon quand il vient s'échoir sur vos écrans je trouve. Une façon qui témoigne d'une méconnaissance du Québec et un manque d'intérêt général à connaître ce Québec (primordial pour bien apprécier des films comme Curling et En Terrains Connus). Le problème est que ces films s'échoient sur vos écrans sans que personne n'en ai entendu parler (et ça va aussi pour Dolan, que tout le monde a connu d'un buzz complètement déphasé à Cannes. Un buzz qui vendait une fausse image du personnage ).

Je me trompe peut-être, mais l'une des raisons pourquoi le "petit" film est tant critiqué ici c'est qu'on ne l'attends pas tellement (ou si oui, avec une brique et un fanal). On va porter en triomphe les Cheval de Turin et consorts, car ils sont déjà précédé de l'aura mystique que les échos ont fait parvenir. Tandis que dans les sections News et Bande-Annonces, les topics alimentent l'intérêt exclusivement sur les films de super-héros. L'intérêt n'est jamais alimenté pour le petit film. Et là, je ne fais pas une critique. Je constate quelque chose. Moi-même je préfère blablater sur le prochain Blockbuster. Et c'est tout à fait vérifiable ici. Le petit film inattendu précédé d'aucun buzz (ou encore d'un buzz démesuré) ne suscitera pas une ouverture franchement passionnée, au pire du snobisme. Ce que je ne comprends pas, c'est ce mouvement typique du cinéphile d'aller voir un film coûte que coûte, à froid, même si l'idée n’enthousiasme pas. Alors que tout ce qui précède le visionnement est hyper important. Il faut se préparer un minimum à un film. Il faut s'informer, et surtout éviter coûte que coûte la facilité de se placer au-dessus d'une oeuvre toute fragile. Je ne crois pas que la petite oeuvre mérite le même traitement que le dernier Von Trier. C'est insensé.

Ceci dit, tu as droit à ton appréciation du film. Je ne comprends juste pas pourquoi ton texte essaie de catégoriser, de sur-analyser, de mettre en boîte d'une façon si péremptoire Xavier Dolan, alors que c'est un tout jeune cinéaste qui vient d'éclore et qui a tout a prouver.

Je te conseille de voir Les Amours Imaginaires. J'ai été sur le cul, et j'ai ravalé tout ce que j'ai pu dire sur Dolan dans le passé. ;-)

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