Forum de FilmDeCulte

La question c'est de savoir pourquoi tu t'obstines... T'as pondu un putain de pavé que personne ne lira jusqu'à la fin tellement tu t'appliques pas. Fais un effort putain.

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

Sous les pavés, la plage. C'est pour cela que je m'obstine, je veux atteindre Ostende.

Ce brol c'est Zardoz avec Castle à place de James Bond

Meth. Not even once.

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Il doit se défoncer la tronche autant qu'il défonce les topics.

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The world needs bad men. We keep the other bad men from the door.

C'est vachement élégant.

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La question c'est de savoir pourquoi il s'obstine.

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The world needs bad men. We keep the other bad men from the door.

Moi j'ai tout lu et je trouve que Gontrand est souvent dans le vrai. Pendant les 30 premières minutes j'étais pas loin d'avoir le même ressenti que lui (je voyais s'accumuler les incohérences et les ficelles grossières du scénario), j'ai fini par en faire totalement abstraction envouté que j'étais par la forme classieuse que prenait le film. Je n'ai plus du tout était offusqué par ses travers (que je prenais plus comme du second degré) et je me suis laissé allé à ce que j'ai avant tout vécu comme une expérience sensorielle. J'avoue qu'une semaine après les sensations s'estompent et les ficelles redeviennent grosses, j'en conserve un bon souvenir mais le film redescend tout de même un peu dans mon estime.

Il y a quand-même la scène hyper-clichée (et le mot cliché est une litote) où la scientifique efface le bas d'un tableau blanc, son collègue dit "non pas mes équations", et elle explique aux militaires que "What do you want?" est une phrase interrogative avec des pronoms, et que l'on ne sait même pas s'ils ont des pronoms. Bonjour le renouvellement du genre. Pas sûr que cela soit super-passionant à jouer pour Adams.

Quant au récit, je ne déconne pas, il me semble fortement inspiré de Zardoz de Boorman (l'enjeu de monter ou pas dans la navette est filmé de la même manière, tout comme l'idée d'arme comme potlach, et la fin sur la procréation du couple central), en plus plombant.

Sinon tu as tord sur un point, ce ne sont pas deux linguistes mais une linguiste et un physicien

Ha oui d'ailleurs, la scène de séduction: "tu sais même un spécialiste de la communication peut être célibataire", c'est bouleversant, quelle finesse d'écriture.

Moi aussi j'ai lu jusqu'au bout.

Donc lorsqu'une idée est contraire à la norme, on l'écarte comme si c'était du trolling?

Assez d'accord avec les critiques du SuperGontrand. Le pire, c'est qu'entre les mains d'un réalisateur plus désinvolte, ces éléments auraient pu passer. Mais le film se prend tellement au sérieux, atteint un tel degré d'auto-satisfaction dans son premier degré que toute cette psycho-pop digne d'un mag pour tantine paraît tout de suite risible. Le film clinique qui n'a aucune saveur, mais AUCUNE. Au pire, on pourrait dire qu'il a le parfum de la pharmacie du coin.

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Pitié, par l'argument du martyr.

Personne n'a évoqué le fond du texte de supergontrand mais la forme, rédhibitoire.

Moi aussi j'ai lu (le début, après j'ai survolé) et j'ai rien à répondre, son avis se tient.


À lire tes tentatives de formules choc, on constate que tu t'y connais en auto-satisfaction.

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Je ne vais pas jouer au martyr, ayant sans doute des torts, dû à al forme de l'expression, mais l'apostrophe avec l'injonction de mon vrai prénom est venue à peine deux minutes après l'envoi du message. Il serait avantageux pour tous que la rigueur dans l'application des principes de modération et le respect de l'identité des intervenants soit un peu moins dépendants du degré de désoeuvrement des modérateurs. Après, c'est juste mon avis.

ZÉRO. NUL.

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique