Forum de FilmDeCulte

D'ailleurs, dans Superman IV, un cheveu de Superman résiste à une boule de béton de plusieurs centaines de kg...

Superman IV, quoi...

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Mais est ce qu'il les coupe, ou les coiffe-t'il avec...

Arrête, c'est sans doute la meilleure idée du film.

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Pour le rasage il y avait l'idée dans un des liens posté par Qui Gon qu'il utilisait sa heat vision et la faisait rebondir sur un miroir.

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CroqAnimement votre

C'est l'explication officielle, oui.

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J'ai pas vu, mais là comme ça il me semble que n'importe quel cheveu pourrait résister à ça.

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

Je crois qu'elle tient la boule dans un musée ou un truc du genre.

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Et comment ça se fait que les kryptoniens parlent tous un anglais parfait? C'est le détail qui m'a fait le plus tiqué dans le film.

LOOOOL

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Meilleur fil du moment sinon, c'était prévisible, mais c'est bien! animation!

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Yo les quiches, je peux aller voir le film en imax 3D à San Francisco. 3D pas trop handicapante ? Imax qui vaut le coup ? Salle de qualité ? De toute façon je cherche à m'occuper pendant que Ma copine va shoppinger. Donc si c'est pourri, jvais le voir dans une salle normale.

Là comme ça j'aurai tendance à dire "salle normale" tellement la 3D est foutage de gueule, mais l'Imax chais pas.
Gare aux gros en tout cas !

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Netflix les gars, Netflix.

Oh la belle mélasse narrative... Déjà ce prologue où on a le sentiment de voir résumé de manière fatiguante en 15 minutes ce qui pourrait faire un film entier (coups d'état express, évasion accéléré pour faire visiter Krypton et ses arcanes, apocalypse... le tout agrémenté de dialogues qui étalent là plupart des enjeux à venir). Je crois qu'on ne peut pas commencer de façon plus catastrophique un film que par ce mini "Dune" pénible, en dépit du charisme de Crowe...

La demi-heure qui suit donne le sentiment d'un scénariste en train de se faire du mal à essayer de raconter un peu différemment du très classique en passant par une série de contr-clichés (toutes ces horribles scènes de Clark au travail, avec sa musique de routier) et de ratages (flash backs souvent assez raides alors que leur contenu est plutôt chouette, comme ce passage horrifique en salle de classe et le plupart des échanges avec les parents, même la scène de bus...). La relation avec Loïs et l’enquête journalistique aurait pu être par exemple un point de vue intéressant pour l'intégralité de la première partie, et ça donne des choses chouettes, mais là aussi c'est juste intégré également n'importe comment. Le passage dans la Forteresse / Vaisseau et son boucan en Antartique est assez artificiel également, mais il y a toujours des détails assez sympas (la cautérisation de la blessure de Loïs).

Enfin bon on ne sent jamais les prises de conscience de Clark durant toute cette première partie, son évolution... On a plus le sentiment d'un besoin maladif de tout précipiter dans un nœud central à l'écran où tout se déroule sur la même échelle, où l'évolution des situations n'existe pas mais tout se doit d'être étalé. De fait le principe c'est que tout coïncide, résolution intérieure du personnage et son apparition au grand jour, attaque des super-méchants vengeurs, comme tout se devait se jouer à ses 33 ans comme pour l'autre fils de charpentier... Concentration maximum.

Passé ça j'avoue que j'ai pris un panard pas possible sur toute la dernière heure, une fois que les situations sont posées et que le film peut commencer à exister, même si c'est dans l'affrontement et le dantesque. Le duel Kal-El / Zod est le plus intéressant finalement et cet aspect "invasion E.T comme si vous y étiez" pas trop mal foutue. Le côté titanesque généralement m'a plus, et l'aspect presque désarmant que prend la mise en scène vis à vis de ça, en étant dans l'idéal immersif tout en ayant l'air de se dire en permanence qu'il y a un grand nombre d'éléments juste impossible à capturer, et le film en crée une dynamique par ses effets de "zoom" si l'on peut dire (pas l'impression qu'on puisse appeler ça ainsi). Au final le film dépasse souvent l'entendement et ne s'appuie pas juste sur le spectaculaire. Mine de rien on peut aussi en sortir en songeant à pas mal de choses même si elles sont juste balayées, mais c'est tout aussi bien: métaphore du choc des civilisations, vision du totalitarisme, même les gaz de schistes tiens... Avec ce paradoxe de délire nietzschéen et cureton du Kansas mêlé.

Grave adoré la dernière scène spécial "reboot" . Malgré 3/4 scènes seulement, Costner enfonce beaucoup de monde, pas détesté Amy Adams, Diane Lane et Fishburne est sympas dans ce rôle, même Chris Méloni dans le bon m'létaire de service. Cavill pas plus que ça cependant et Shannon m'a un peu fatigué aussi...

J'aime l'intervention de ZOD sur les TV du monde entier.

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Il y avait déjà les "dumb zooms" de Paul Greengrass et des "dumb CGI zooms" dans Avatar.

Défloration au fer rouge dès sa première rencontre avec Superman d'une Lois Lane qui parle de "concours de bites" dans sa première scène parce qu'elle est moderne et qu'elle a eu le Pulitzer. SUBTILITE.

Oui, ils ont le mérite d'avoir trouvé un intérêt narratif qui justifie le "diaporama pour que le marché international se sente concerné".