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MessagePosté: 27 Juin 2013, 18:44 
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Déjà-vu a écrit:
Défloration au fer rouge dès sa première rencontre avec Superman d'une Lois Lane qui parle de "concours de bites" dans sa première scène parce qu'elle est moderne et qu'elle a eu le Pulitzer. SUBTILITE.


Non mais ça c'est clair, mais qu'importe :)


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MessagePosté: 28 Juin 2013, 15:23 
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De base je ne suis pas un grand fan de Superman, j'ai vu que le film de Singer, et je ne connais pas très bien Krypton, son histoire, les personnages.

Même si on ne voit pas les parents qui découvrent l'enfant/sa découverte de ses pouvoirs (et encore c'est pas un reproche), et que ça aille peut être un peu vite à certains moments, ça ne m'a pas empêché pour apprécier ce film, d'être ému pendant certains flashback. J'ai kiffé. J'attends la suite avec impatience.

4,5/6
Voire du 5 avec une deuxième visionnage.

_________________
1er extrait étudié "Les dents de la mer", 1er conclusion : "On s'en fiche de la règle des 180 degrés".


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MessagePosté: 28 Juin 2013, 21:50 
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C'est assez surprenant, après une décennie qui a tenté par tous les moyens de justifier, de transformer, ou simplement de se conformer au kitsch coloré des comics adaptés, de voir Snyder s'en foutre un peu et prendre l'imagerie importée comme elle vient (le goût confirmé pour les icônes naïves - vue de baleines, champ de crânes, planète qui brûle -, ou la tendance-gag à l'homo-érotisme, offrent certes déjà un cadre qui peut accueillir ça plus facilement). A peine les zooms sur SFX, tic foireux, viennent trahir un vague réflexe vériste... On pourrait blagouner sur Superman lisse comme une poupée Ken, gominé et tout rasé, qui sort du vaisseau où il était rentré en semi-bucheron : c'est moins l'affaire d'un problème de continuité que celui d'un parti-pris - accepter comme telles les conventions du mythe, ce qui est la ligne adoptée par l'ensemble du film.

Superman est donc presque immédiatement Superman, le personnage est déjà opérationnel et sorti de ses dilemmes moraux, le vaisseau est immédiatement découvert, Loïs reconnaît un alien en lui dès leur première rencontre, il la transperce dès leur première scène, elle ne sera par la suite que fière de son homme qui-est-le-plus-fort... Il y a une certaine impatience, un côté cash, dans ce scénario bizarre et assez réjouissant, qui donne l'impression d'un enfant à l’œuvre : qui irait droit vers ce qu'il a envie, qui ne veut pas s'emmerder à douter de son héros ou à le rendre faible, qui veut tout suite utiliser ses jouets - attitude qui trouve son répondant parfait dans l'action démesurée jusqu'à l'absurde de la deuxième partie, qui fait fi de toutes les règles physiques et qui détruit New York comme un gamin retournerait sa chambre.

Si l'on passe sur l'intro indigeste, où la saturation pénible d'évènements n'a d'égal que le rollercoaster nauséeux de la caméra, j'ai plutôt bien aimé ce scénario curieusement imprévisible, pas forcément à illustrer les étapes attendues, pas occupé à approcher celles-ci par l'angle le plus logique. C'est surtout l'absence de saturation thématique, qui m'a toujours un peu gavée dans le film de super-héros (la question morale à exposer, à travailler, à exploiter...), qui renouvelle l'approche : je serais par exemple bien incapable de me souvenir d'une maxime quelconque répétée d'un bout à l'autre du film. Le tourment intérieur est comme délaissé, balayé d'un revers de main.

Alors forcément on arrive à un film pas très impliquant : je ne suis pas touché par grand chose là-dedans (ni le couple de parents ayant conçu leur enfant naturellement, ni le sacrifice au chien, ni l'extinction de la race... je suis un spectateur volontaire mais je vais pas non plus relier les points tout seul, à un moment il faut aussi que ça intéresse un peu le film pour que j'accepte de m'investir). Dans l'action, le film s'abstrait d'ailleurs assez vite de figurants ("Pour un humain que tu sauves j'en tuerai 1000" dit la méchante à Superman - pas la peine, tu sais, il fait déjà très bien ça tout seul). La vitesse supersonique transformant chaque déplacement en déflagration, transférant la violence des coups sur la destruction des bâtiments adjacents, le tout lié aux perspectives folles qu'apporte la 3D : tout cela crée vraiment une cinéma d'action renouvelé et motivant. Et, pour faire plaisir à Déjà-Vu, je ferai remarquer que ces bastons qui ne sont presque plus que du rythme (regardez donc la machine des méchants : pesanteur/apesanteur, compression/décompression, c'est une beatbox visuelle !), nous mène encore une fois vers quelque chose qui tient de l'expérience sensorielle - de la pure attraction foraine peut-être, mais je trouve ça diablement bien mené, et étonnamment peu foutoir.

L'ensemble glisse un peu sur l’œil parce que tout ça n'émeut et n'implique jamais vraiment, quoique le film soit parfois un peu touchant dans ses situations les plus basiques (la scène d'interrogatoire réjouissante, Superman pas content qu'on ait touché à sa mère...), ou pour quelques acteurs (Amy Adams et Kevin Costner, surtout). L'impression de passer la séance dans un shaker commence aussi à fatiguer un peu (le mixage, mollo...), et le film arrive à un tel point de démesure dans ses fantasmes de destruction qu'on se dit qu'Hollywood va devoir se focaliser sur autre chose (et ranger au placard la redigestion du 11 septembre qui commence de plus en plus à évoquer la copie d'un bon élève appliqué). Mais je trouve ça plus réjouissant que le côté totalement plastique/fétichiste/artificiel que peut parfois avoir le cinéma de Snyder : c'est plus proche de l'énergie bouillonnante et un peu indigeste d'un Watchmen, ce qui reste pour l'instant, je trouve, la voie la plus prometteuse de son cinéma.


Dernière édition par Tom le 28 Juin 2013, 22:18, édité 3 fois.

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MessagePosté: 28 Juin 2013, 21:57 
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Je le connaissais pas, mais je l'ai trouvé bien mauvais...


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MessagePosté: 28 Juin 2013, 22:06 
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Dans Chronicart (Momcilovic), une critique relativement positive (3/5) dont un passage intéressant remet le film en perspective dans le ciné hollywoodien contemporain :

Citation:
En attendant de savoir si Hollywood survivra à l'été (la récente prophétie de Spielberg à ce sujet ne faisait que corroborer l'inquiétude, générale, d'un système dépassé par la logique absurde des tentpoles), il serait bienvenu de se demander si le public, lui-même, saura survivre aux blockbusters. De Man of Steel, comme de Star Trek Into Darkness ou du prochain et très mauvais World War Z, le spectateur moyen ressortira au mieux un peu secoué, au pire durablement spasmophile, en tout cas avec le sentiment déplaisant d'avoir été le cobaye d'une démonstration de force physiquement harassante. Il risque surtout d'avoir du mal à nommer ce qu'il aura vu, à dire quels ingrédients auront pu réveiller la mémoire de son palais, dans cette marmite d'apocalypse où l'industrie l'aura enfermé pendant plus de deux heures. Une dizaine d'années après son comeback, le film de super héros n'est plus un genre aujourd'hui, c'est un récipient où brasser des savoir-faire (Man of Steel relève indistinctement de la SF, de la fantasy, du récit d'apprentissage pour alien façon Starman, du film catastrophe, comme du film d'invasion extraterrestre), pour finalement les égaliser sous le feu d'un spectacle de destruction massive rejoué ad nauseam. D'ailleurs, c'est simple : il est à peu près impossible de distinguer le finale de Man of Steel de celui d'Avengers.

Que les deux films se concluent sur le même spectacle (la démolition interminable de New York - ici Metropolis) appelle deux commentaires au sujet d'Hollywood, l'un du côté de l'économie, l'autre du côté de l'imaginaire. Côté économie : rien ne dit mieux la panique actuelle des grands studios que cette surenchère, qui atteint dans le finale de Man of Steel des proportions irréelles. C'est un spectacle intéressant évidemment, fascinant même quand sa gratuité le fait tendre vers un horizon de pure abstraction - et Snyder excelle dans ce registre, on y revient. Il n'en révèle pas moins de la part des studios un réflexe aussi désespéré qu'absurde, équivalent à celui d'un petit garçon qui, craignant qu'on ne sonne trop tôt la fin de la fête, allumerait d'un coup tous les pétards qu'il a en poche, pour regarder son butin exploser furieusement mais sans joie sur un bout de trottoir. Côté imaginaire, ensuite : on en revient, forcément, au 11 septembre. Là dessus, les immeubles éventrés de Man of Steel, comme ses quidams figés dans la poussière grise, ne laissent planer aucune ambigüité. Qu'ont-ils à dire ? Rien de plus qu'Avengers, et c'est surprenant tant le film de Joss Whedon semblait s'offrir à ce sujet comme une pure et simple liquidation. Le 11-Septembre au cube qui clôt Man of Steel révèle alors une autre impuissance : Hollywood, visiblement, estime n'avoir pas encore totalement repris à Al-Quaïda son leadership sur l'imagerie de la catastrophe.


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MessagePosté: 28 Juin 2013, 22:33 
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C'est sûr qu'on reste médusé devant les dommages collatéraux et l'inconséquence hollywoodienne.


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MessagePosté: 29 Juin 2013, 10:10 
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Sentiments contrastés au lendemain de la vision du film. D'un côté à la sortie du film, j'étais plutôt content. Enfin un film ou livre sur Superman qui ne me déplait pas. Ce superhéros m'a toujours ennuyé et cela malgré mes multiples tentatives de lecture de comics ou il apparait. De même, les précédentes adaptions ciné provoquent chez moi un ennui poli. Alors quand je sors de celui ci en ayant passé un bon moment, je ne peux pas faire ma fine bouche. Ils ont réussi à gommer ce côté boyscout qui m ’insupportait dans les Superman. De plus, on assiste à un blockbuster non chichiteux. Le film envoie du lourd et dans le genre film vide cerveau de plaisir coupable face à des destructions de masse, il va être difficile d'aller plus loin. Le final dans la ville est énorme limite pachydermique mais provoque la banane si on a mis son cerveau en mode off sur l'aspect invraisemblable du truc. Mais merde à la fin, on est là pour cela. Du moins moi.
De même, le film est un pot pourri de diverses influences qui sont presque toutes passées dans la culture basique de masse. Le film puise dans la littérature, les comics, les mangas et d'autres longs métrages pour en faire une mixture facilement digeste. Là ou Tarantino se réfère à des films que personnes (ou peu) ont vus à part lui, Snyder n'hésite pas à s'inspirer d’œuvres nettement plus connues et accessibles à tous. La première partie sur Kripton est un hommage réussi dans tous ses aspects kitchs au space opéra que le regretté Jack Vance aurait pu écrire. Cet aspect prémâché du film si il provoque un plaisir immédiat du fait d'être en terrains connus est aussi la grande limite du film.

En effet, d'un autre côté dès qu'on réfléchit posément au film ( ici nuitamment pour moi), le jeu des comparaisons né des multiples influences du film nuit fortement aux films. Quand on pense aux budgets du film, aux précédents blockbusters existants et même à des petits films ( Chronicle), on est en droit d'en vouloir plus et mieux. Quand je pense à d'autres blockbusters ou d'autres films, il y a toujours des scènes ayant fortement imprimé ma rétine qui reviennent à l'esprit. Dans Avengers, il y a la scène finale dans la ville. Celle dans Man of Steel est plus énorme plus longue mais m'a moins plu. Tout simplement car elle est moins diversifiée. Dans Avengers, on a un film d'équipes et cela permet une plus grande variété d'actions dans ce final. Dans Man of Steel, cela se réduit à je te tape, tu voles loin, tu te fracasses dans un immeuble qui se brise. Et cela répétait ad nauséum.
Dans Iron Man 3, la scène de destruction de la villa Stark me revient en tête dès que je pense au film. Dans X-Men 2, on a a la brillante scène du début avec diablo. Dans Incassable, il y a la scène du réveil à l'hôpital, etc.
Pour Man of Steel, je suis à moins de 12 heures de la vision du film et déjà le souvenir du film s'estompe sans que rien ne reste durablement.
Je n'ai jamais été adepte de Zack Snyder en tant que réalisateur. Tout juste retiens je l'armée des morts qui ne m'avait pas déplu en salle à l'époque mais que je n'ai pas revu depuis. J'ai abandonné Sucker Punch au bout de 40 minutes. Je trouve 300 visuellement horrible et narrativement lourdingue. Je n'aime pas Watchmen mais j'aime trop le comics de départ pour être objectif. Donc à mes yeux, Man of Steel est un progrès dans la carrière du réalisateur. C'est loin d'être exemplaire pourtant. Il y a déjà un ressenti subjectif. Le film n'arrête jamais durant 2 heures 20. Il ne se pose jamais. Malgré ce rythme éreintant, j'ai parfois trouvé le temps long sans pouvoir mettre le doigt précisément d’où vient ce sentiment. Étonnement, je trouve les rares scènes calmes avec plus de cachets que les scènes d'action. Snyder m' a surpris favorablement dans son style visuel lors des flashbacks. Par contre, les combats sont souvent illisibles. Cela secoue dans tous les sens. On ne voit souvent plus qui fait quoi. Cette manière de filmer donne un peu mal à la tête et je n'ose penser à ce que cela donne en 3d.

Non là ou le bas blesse beaucoup dans le film, c'est dans la direction d'acteurs et peut être même en amont le casting. D'un point de vue stature et picturalement , Henry Cavill est Superman. Quand il ne parle pas, cela passe bien. Mais dès qu'il ouvre la bouche ou que la scène nécessite d'autre capacité de jeu que celle du physique, il n' y a vraiment plus personne.
Costner en 4 scènes et même pas 10 minutes à tout casser dans le film écrase en jeu l'ensemble du casting. Il est d'ailleurs insultant qu'on en offre si peu à cet acteur. Russel Crowe fait du Russel mais le fait bien. J'ai l'impression de voir toujours la même interprétation de film en film. Amy Adams n' a pas grand chose chose à se reprocher. Son personnage est incroyablement mal écrit. Il ne sert tellement à rien que les scénaristes ont dû utiliser un obscur Deus machina pour justifier sa présence plus longue dans le combat final. Michel Shannon campe un bon méchant mais surjoue à mort. J'ai malheureusement vu le film en vf. Cela doit mieux passer en VO.

Et puis il y a le scénario qui ne tient absolument pas les promesses de la bande annonce. On nous promettait une refonte totale du personnage, de s'intéresser plus à l'individu qu'était Superman avant de devenir le mythe. De ce point de vue là, le film est un échec. Ce n'est pas le début et les quelques flashbacks qui vont donner du background et de l'épaisseur au personnage. Le parallèle entre l'histoire de Superman et du Christ n'est pas du meilleur goût. Comme Jésus, Clark a toujours eu comme mission d'être un prophète protecteur pour les terriens si ils sont bons et destructeurs si ils deviennent mauvais. C'est son Papa Dieu qui l' a programmé ainsi. Heureusement son Papa terrien et humain l'a cadenassé et entravé dans sa jeunesse malgré des coups d'éclats ( comme Joseph avec Jésus au temple, etc). Et puis il se révèle à 33 ans au monde dans toute sa splendeur divine. Le côté divin de Papa kriptonien est renforcé par l'aspect je parle aux gens malgré ma mort. J'avais tout prévu etc. Mwouiaf.

Enfin surtout le film échoue totalement à émouvoir. Les décès n'attristent pas. L'histoire d'amour parait tomber du ciel et fait très forcée. Le final énorme est désamorcé par l'incapacité du cinéma ricain à montrer des morts. Parce que oui les Kriptoniens sont quasi invincibles sur terre mais les humains doivent se faire décimer par cette bataille dans la ville. Et pas un mort visible. De même, il faudrait que les américains se remettent du 11 septembre. Ce fut un drame monstrueux et justement essayer de copier cet événement tragique dans tous les blockbusters avec ces destructions de masse de villes et d'immeubles sert peut être de catharsis mais le problème est que les images réelles du 11 septembre sont dans la tête de tous les gens et malheureusement beaucoup plus fortes que tous les ersatz hollywoodiens.

En conclusion un film divertissant mais qui s'émiette dès qu'on y réfléchit un peu. 2.5 à 3/6


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MessagePosté: 02 Juil 2013, 21:10 
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MessagePosté: 02 Juil 2013, 21:19 
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Garçon-veau
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Alors tes notes sans avis ou remarques c'est vraiment le truc le plus inintéressant du monde hein.
Pour ça ya le top, ça suffit en fait.

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Netflix les gars, Netflix.


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MessagePosté: 02 Juil 2013, 21:20 
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Le Cow-boy a écrit:
Alors tes notes sans avis ou remarques c'est vraiment le truc le plus inintéressant du monde hein.
Pour ça ya le top, ça suffit en fait.


Mec, tout le monde n'a pas les moyens de se payer un clavier.

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique


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MessagePosté: 02 Juil 2013, 21:41 
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Du respect pour les handicapés.
Peut-être que Benoit n'a pas de bras (pas de chocolat donc) et ne peut taper qu'avec son nez. D'où la longueur de ses messages


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MessagePosté: 02 Juil 2013, 22:05 
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Le Cow-boy a écrit:
Alors tes notes sans avis ou remarques c'est vraiment le truc le plus inintéressant du monde hein.



Je sais Cow-boy.

Le Cow-boy a écrit:
Pour ça ya le top, ça suffit en fait.


Oui c'est vrai.


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MessagePosté: 03 Juil 2013, 08:47 
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Putain, sérieux mec
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Pourquoi y a des images de merde partout là?

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MessagePosté: 03 Juil 2013, 10:22 
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Schtroumpf sodomite
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Localisation: Arkham Asylum
Putain, t'as tout raté.

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N'écoutez pas Film Freak


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MessagePosté: 03 Juil 2013, 14:33 
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Inscription: 17 Aoû 2005, 14:46
Messages: 3803
Localisation: Dans le nord du sud.
Tetsuo a écrit:
Putain, t'as tout raté.


Il est pas le seul. qu'est-ce qui s'est passé ?


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