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MessagePosté: 01 Nov 2013, 12:23 
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Ca ne m'a pas déplu mais ça ne m'a pas intéressée non plus. Je suis restée complètement en dehors. Je n'aime pas du tout le perso d'Emma et je le trouve mal joué par Léa Seydoux en plus. Celui d'Adèle est mieux (même si la tête à claque est un peu difficile à accepter au début). Je n'ai pas l'impression d'être devant une grande histoire d'amour à cause de ça, j'ai l'impression d'être devant la grande histoire d'amour d'Adèle seulement.

En étant pas du tout dedans, des choses que je ne remarquais pas chez Kechiche dans ses autres films qui me plaisent m'ont saoulée ici comme le fait de manger hyper salement en s'en foutant partout et tout le temps par exemple.

Les 3 heures passent bien, la dernière heure est plus longue alors que bizarrement c'est la plus intense pour moi et celle que je préfère.


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MessagePosté: 01 Nov 2013, 12:53 
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Alabama a écrit:
le fait de manger hyper salement en s'en foutant partout et tout le temps par exemple.


Tu t'entendrais bien avec ma copine, elle me ressort ça à chaque fois qu'on parle du film. Adèle qui mâche la bouche ouverte ce genre de trucs.

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MessagePosté: 01 Nov 2013, 13:21 
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Alabama a écrit:
En étant pas du tout dedans, des choses que je ne remarquais pas chez Kechiche dans ses autres films qui me plaisent m'ont saoulée ici comme le fait de manger hyper salement en s'en foutant partout et tout le temps par exemple.

Tu n'avais pas vu La Graine et le mulet ?


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MessagePosté: 01 Nov 2013, 13:31 
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Déjà-vu a écrit:
Tu n'avais pas vu La Graine et le mulet ?


Si justement et j'ai beaucoup aimé. C'est pour ça que je disais que parce que je n'étais pas dedans cette fois ci, des choses recurrentes chez Kechiche m'avaient saoulée cette fois ci. A tel point que je me demande même si ce n'est pas encore plus prononcé que dans la graine et le mulet. Depuis hier soir j'essaie de me souvenir de moments précis de bouches sales dans la graine et le mulet et il ne m'en revient pas à l'esprit tellement c'était passé dans l'ambiance du film.


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MessagePosté: 01 Nov 2013, 13:34 
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Art Core a écrit:

Tu t'entendrais bien avec ma copine, elle me ressort ça à chaque fois qu'on parle du film. Adèle qui mâche la bouche ouverte ce genre de trucs.



Comme elle je ne trouve pas Adèle jolie, son visage est "grossier", sa bouche toujours ouverte, son regard avec les yeux un peu lourds style "veau" (un peu dans le genre de Loana à sa "belle" époque). Par contre, si elle a une démarche naze, je ne la trouve pas boudin, ta copine est plus dure que moi.

Mais comme toi, je trouve qu'elle a un truc génial avec ses cheveux dans ce film. Les espèces de faux chignons qu'elle se fait sans arrêt sont destroy mais sexy et lui vont bien.


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MessagePosté: 01 Nov 2013, 14:04 
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tu pointe vraiment qu' un détail du film. on doit la voir manger 3 fois des pâtes et s'en foutre 1 fois sur le menton


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MessagePosté: 01 Nov 2013, 14:10 
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cinégirl a écrit:
tu pointe vraiment qu' un détail du film. on doit la voir manger 3 fois des pâtes et s'en foutre 1 fois sur le menton


C'était un exemple de ce qui m'avait saoulée cette fois ci, c'était pas le seul truc.

Elle mange plein de fois des pâtes et toute la famille en a partout pendant longtemps, elle elle s'essuie avec sa manche, les huîtres sont mal mangées idem, le grec avec son copain, la bouffe à la fête chez elles etc. C'est toutes les scènes de repas. Ca n'est pas qu'elle qui mange salement c'est tous. Elle, elle mange juste la bouche ouverte en plus.


Dernière édition par Alabama le 01 Nov 2013, 14:13, édité 1 fois.

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MessagePosté: 01 Nov 2013, 14:12 
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C'est beaucoup mine de rien. Une fois, je dis pas, mais trois fois en gros plan à chaque fois, c'est pas innocent du tout. Puis ajoute à ça la morve, la bave etc...

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MessagePosté: 01 Nov 2013, 14:14 
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Antichrist
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Oui, il insiste beaucoup sur ça, sur les fluides, je crois que cela va avec sa conception de la passion, ça déborde, ça emporte tout, c'est primale.


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MessagePosté: 01 Nov 2013, 14:49 
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L'impertinent pertinent
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La Graine et le mulet, c'était moins sexy et déjà tout autant la fête de ce point de vue : les larmes jusqu'à la morve, le repas de famille où on y va avec ses gros doigts pas lavés, en se suçant les pouces, en faisant du bruit, en attrapant les os de poulet avec les pinces etc. Hafsia Herzi qui bouffe une bouillabaisse dans la chambre de son père, alors que deux cousinbs la regardent avec appétit... au moins ça vient contrebalancer tous ces films où les gens ne mangent pas, ne pissent pas, ne boivent pas...

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MessagePosté: 01 Nov 2013, 15:46 
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Karloff a écrit:
Oui, il insiste beaucoup sur ça, sur les fluides, je crois que cela va avec sa conception de la passion, ça déborde, ça emporte tout, c'est primale.


ça a l'air bien.


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MessagePosté: 02 Nov 2013, 00:30 
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J'ai pas trouvé ça super bon. Pour remettre dans le contexte (même si pourtant à la base ce genre de ciné n'est pas ma came), j'aime beaucoup L'esquive et je suis impressionné (tout en étant parfois lourdé) par l'ampleur de La graine et le mulet.

Le film a cette qualité de se suivre très aisément, ça coule tout seul, parce que la vie y est admirablement capturée et que la matière est aimable : c'est un lycée, c'est jeune, c'est plein de vie, c'est une série de premières fois et de leurs frémissements... L'absence d'inquiétude, de résistance, de morbidité, donnent l'impression que l'appétit de vie du cinéma de Kechiche s'est débarrassée de tout ce qui pouvait faire effet de résistance, au point que ça semble parfois presque trop "facile" pour lui - mais cette simplicité nue, nouvelle et dangereuse, est aussi une qualité. Je ne renie donc pas les très belles scènes (celle au bar nocturne par exemple, baignée dans cette étrange lumière solaire), et le côté captivant de cette façon dont on s'accroche à ce personnage et à ce visage, pour ne plus jamais le lâcher.

Cette ambition totalisante (toute la jeunesse d'Adèle, tout ce qu'elle va vivre, toutes les émotions qui vont la traverser) force la sympathie. Elle se traduit par un refus de l'ellipse (on ne nous épargnera rien : l'intensité des moments-clé de sa vie se vivra avec elle, en entier, d'un bout à l'autre de chaque situation, sans échappatoire pour notre confort - d'où les scènes de sexe vécues d'un bout à l'autre, ou les moments de lourd gêne subis entièrement). Mais cette construction qui s'interdit l'évocation, qui refuse la partie pour le tout, dégueule un film bizarrement programmatique, où l'on va par exemple amener le petit ami dans une scène, le baiser dans la suivante, le rejeter sur un banc dans la troisième. Pas que je trouve que ce personnage (assez vide par ailleurs) devrait avoir plus d'importance, mais le récit dans son ensemble apparaît du coup assez schématique, comme si chaque moment était condamné au symbolisme (le repas aller chez les parents bourges et le repas retour chez les parents popu ; le moment où Adèle va sentir qu'elle est étrangère au milieu élitiste de l'art ; etc.), symbolisme par ailleurs lourdement teinté d'idéologie. De cette approche, Kechiche tire parfois des effets narratifs plus poétiques (par la manière, par exemple, dont il amène brutalement un plan d'Adèle écroulée de sommeil dans son lit par plusieurs fois au début du film, tel un narrateur reposant sa marionnette pour la nuit après chaque séquence). Mais par ce système-même, la relation que le film décrit n'existe presque pas : on la voit démarrer, on la voit en crise, mais ce gros bloc de dix ans, ce quotidien du couple, on le ressent finalement peu. C'est aussi pour cela que les scènes avec les gamins, diverses et moins programmatiques, m'apparaissent comme de vraies respirations.

De toute façon le souci n'est pas là : plus le film va vers la crise du couple, plus je le trouve chiant et aplati. Le film a ce beau projet de filmer la construction d'une jeune fille, sa maturité gagnée pas à pas, de la regarder grandir : or ce personnage qui jamais ne s'affirme est toujours utilisé de la même manière par le cinéma de Kechiche qui a besoin d'en bouffer la stupeur et les larmes, de manière égale à 15 comme à 25 ans. Contrairement à vous, je ne suis pas fan du tout de la scène au bar (vers la fin) où j'ai l'impression de voir Kechiche se ré-embourber dans la caricature d'un cinéma franchouillard, et je suis plutôt content du jeu de Seydoux au fur et à mesure qu'on avance, de son personnage, tant Adèle n'est plus utilisée que pour son air de veau bêta dont on va aller pêcher une énième trace de morve pour m'émouvoir...

Il y a un moment où l'interminable constat des choses ne produit plus rien que le simple spectacle d'un savoir-faire ("ça a l'air tellement vrai"), et où l'émotion qu'on peut ressentir ne vient plus que d'un effet d'identification mimétique aux moments qu'on aurait soi-même vécu - là où la décharge de vie des deux autres films de Kechiche menaient à une apothéose narrative, comme si de l'entrelacs réguliers de poussées d'énergie finissait petit à petit par émerger un récit. Ici, la logique d'épuisement des acteurs et du spectateurs ne se joue plus à la scène mais au film entier, bien décidé à faire sentir les années qui passent par cette logique continuelle de "constat des choses" - ce vieux défaut du naturalisme, dont Kechiche, malgré toutes ses qualités, n'est visiblement pas exempt.

Pas parlé des scènes de cul tiens... Elles s'insèrent plutôt bien et naturellement dans le film, même si les quelques plans larges ont un côté incongru (type "et hop, une nouvelle position") qui casse un peu le truc (et provoque le gêne) dans la plus longue d'entre elles.


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MessagePosté: 02 Nov 2013, 02:03 
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Tom a écrit:
Cette ambition totalisante (toute la jeunesse d'Adèle, tout ce qu'elle va vivre, toutes les émotions qui vont la traverser) force la sympathie. Elle se traduit par un refus de l'ellipse (on ne nous épargnera rien : l'intensité des moments-clé de sa vie se vivra avec elle, en entier, d'un bout à l'autre de chaque situation, sans échappatoire pour notre confort - d'où les scènes de sexe vécues d'un bout à l'autre, ou les moments de lourd gêne subis entièrement). Mais cette construction qui s'interdit l'évocation, qui refuse la partie pour le tout, dégueule un film bizarrement programmatique, où l'on va par exemple amener le petit ami dans une scène, le baiser dans la suivante, le rejeter sur un banc dans la troisième. Pas que je trouve que ce personnage (assez vide par ailleurs) devrait avoir plus d'importance, mais le récit dans son ensemble apparaît du coup assez schématique, comme si chaque moment était condamné au symbolisme (le repas aller chez les parents bourges et le repas retour chez les parents popu ; le moment où Adèle va sentir qu'elle est étrangère au milieu élitiste de l'art ; etc.), symbolisme par ailleurs lourdement teinté d'idéologie. De cette approche, Kechiche tire parfois des effets narratifs plus poétiques (par la manière, par exemple, dont il amène brutalement un plan d'Adèle écroulée de sommeil dans son lit par plusieurs fois au début du film, tel un narrateur reposant sa marionnette pour la nuit après chaque séquence). Mais par ce système-même, la relation que le film décrit n'existe presque pas : on la voit démarrer, on la voit en crise, mais ce gros bloc de dix ans, ce quotidien du couple, on le ressent finalement peu. C'est aussi pour cela que les scènes avec les gamins, diverses et moins programmatiques, m'apparaissent comme de vraies respirations.

Ca explicite bien ce qu'on essayait de dire plus haut sur la "banalité" du film.

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MessagePosté: 02 Nov 2013, 10:16 
Karloff a écrit:
Oui, il insiste beaucoup sur ça, sur les fluides, je crois que cela va avec sa conception de la passion, ça déborde, ça emporte tout, c'est primale.

Tout ce que je déteste et que je n'ai pas envie de voir, je ne comprends pas l'intérêt d'insister de la sorte sur la morve, la bave, la graisse de la nourriture qui dégouline,...


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MessagePosté: 02 Nov 2013, 14:56 
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Robot in Disguise
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snaky a écrit:
Karloff a écrit:
Oui, il insiste beaucoup sur ça, sur les fluides, je crois que cela va avec sa conception de la passion, ça déborde, ça emporte tout, c'est primale.

Tout ce que je déteste et que je n'ai pas envie de voir, je ne comprends pas l'intérêt d'insister de la sorte sur la morve, la bave, la graisse de la nourriture qui dégouline,...

Contrairement à vous, j'ai pas l'impression qu'il insiste dessus au sens où il va chercher ça exprès dans ses rushes pour le mettre dans le film. Je pense au contraire qu'on est face au syndrome typique du truc qu'on remarque parce que c'est dans un film mais qu'on aurait même pas percuté dans la vraie vie (franchement, on aurait fait un gros plan sur ma copine et moi en train de bouffer tout à l'heure, ça aurait été pareil que dans le film, pas besoin de se forcer).

Faut dire aussi que dans un monde où, sur tous les tournages, les acteurs font semblant de manger pour pas être gavés, sirotent leur bière délicatement pour pas créer de faux raccord, on ne peut qu'applaudir un mec qui laisse une réalité se dérouler pour de vrai devant lui et va la capter, peu importe la morve ou le mangeage bouche ouverte qui en ressortira obligatoirement.

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