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MessagePosté: 19 Nov 2008, 22:48 
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Jericho Cane a écrit:
spongeyoda a écrit:
La fin est belle, mais pas "magnifique".

Si.


Oui.


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MessagePosté: 19 Nov 2008, 23:02 
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C'est d'la bombe. Je veux déjà le revoir. :)

James Gray, une valeur sur.


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MessagePosté: 19 Nov 2008, 23:06 
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Evidemment, c'est très très très très bien. Après, truc perso, j'ai calculé tout le dernier tiers, et voyait le film tel Nicolas Cage dans Next, et ça m'a pas mal sorti niveau émotion. Après, la scène de la plage c'est du vécu, donc ça fout pas mal de frissons.

Et quelle classe, quand même...Le rôle le plus solide de Gwyneth (avec les Tenenbaums), Joaquin qui est salement touchant. Et puis Isabella!

En fait, ça me gonfle de faire de l'éloge détaillée, j'ai envie de dire que ça me parle beaucoup, sans pour autant évoquer un truc précis, sinon un sentiment humain terrible, présent là, et qui en écrivant ces lignes est encore bien présent. Et ça c'est de l'or.

5+/6


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MessagePosté: 20 Nov 2008, 00:07 
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Au risque de me faire taper : j'ai pas aimé.
On dirait des gamins de 14 ans (ouaiiiis tu m'passes ton numéro pour qu'on s'envoit des textos?), je sais pas, j'ai pas accroché du tout.
Mais comme tous les films pseudo-romantiques de cette année en fait, sur le papier j'aime bien mais devant l'écran ça me touche pas une seconde.

2/6, pour Joaquin uniquement, que j'épouse même avec ses rondeurs (faut pas qu'il arrête sa carrière après ça).


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MessagePosté: 20 Nov 2008, 01:51 
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Antichrist
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Inscription: 04 Juil 2005, 21:36
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6/6

Man on the Beach

Un homme se tient debout, sur la jetée de Coney Island, une robe de mariée à la main. Il respire profondément et se jette à l’eau, au sens propre comme au sens figuré. Sa vie défile sous ses yeux. Son amour perdu. Son incapacité à lui donner un enfant. A la fin de La Nuit nous appartient, on avait quitté Joaquin Phoenix faussement réconcilié avec sa famille, lâché par sa compagne et entré dans les rangs de la police malgré lui. Si Two Lovers n’est aucunement la suite du précédent et vertigineux film de James Gray, il en assure la continuité par le choix de son acteur principal et la tonalité dramatique de ces premiers plans qui hanteront longtemps la mémoire du spectateur. Malgré ses facéties au quotidien, Leonard est un homme au cœur brisé, en équilibre constant entre le pathétique dépressif et l’euphorie d’une passion naissante. Le titre - Two Lovers - est un habile trompe l’œil. Si ses précédents longs-métrages avaient les apparats du polar, celui-ci révèle les sentiments de ses personnages sans le truchement d’un genre. Film sur le renoncement de l’Amour, avec un A majuscule, Two Lovers est le Tosca de James Gray, l’amoureux d’opéra, une histoire simple, « simpliste » même, ont protesté les anti, mais à la force tellurique qui renverse les montagnes et fait saigner les cœurs des plus endurcis.

Fenêtre sur cour

Cinéphile devant l’Eternel, l’auteur de Little Odessa inscrit son film dans l’histoire du cinéma américain et l’on retrouve ainsi, dans Two Lovers des motifs propres aux films d’Alfred Hitchcock – l’espionnage de Michelle, voisine trop belle pour le pauvre Leonard, la folie permanente du personnage principal, «Scottie » des temps modernes, hanté par la femme qui l’a quitté – ou de Woody Allen - Match Point, bien sûr, avec l’opposition entre la blonde et la brune, la passion et la raison -. Jamais depuis Manhattan, New York n’avait été aussi bien filmé, dans son opposition brutale entre le monde d’en-haut, symbolisé par Michelle et son compagnon, homme marié qui fréquente les salles d’opéra et les grands restaurants, et celui des travailleurs d’en-bas, les « gentils » de Brooklyn, qui dansent sans penser à leur image et n’ont pas assez d’argent pour payer le taxi du retour après une virée en boîte de nuit. James Gray ne force pas le trait, mais le dénouement du film laissera un goût amer dans la bouche. Sur le plan sentimental, aussi, la lutte des classes existe toujours…

How I Met your Mother

Double du cinéaste à l’écran, Joaquin Phoenix, pour son dernier rôle annoncé comme acteur de comédie, incarne à la perfection les fêlures profondes du héros de Two Lovers. Avec une voix assurée et une fébrilité de tous les instants, qui tranche tellement avec sa silhouette, épaisse et lourde, Leonard est dans un état de lutte permanent, en guerre contre les idées sombres et les volutes empoisonnés de l’amour. Faut-il se perdre corps et âme dans une relation amoureuse ou rester à sa place et épouser le choix de ses parents ? Sans jamais forcer le trait, James Gray nous fait ressentir le dilemme d’un être perdu car amoureux de la fille qu’il ne faut pas. Adaptation d’une courte nouvelle de Dostoïevski, Nuits blanches, Two Lovers porte magnifiquement son titre. Sauf qu’il ne s’agit pas des amoureux attendus…. Enfin, il faut parler de la réalisation, d’une perfection absolue dans le tempo, avec des séquences de pure magie comme l’utilisation des photos de Leonard en guise de transition ou le regard beau et franc d’Isabella Rosselini, sur son fils désemparé. On connaissait le James Gray auteur de polars crépusculaires, plus purs que n’importe quel diamant noir façonné par Hollywood, Two Lovers, nous dévoile une nouvelle facette d’un cinéaste surdoué, boudé dans son pays mais acclamé en France. Pour une fois, soyons fiers de notre pays…


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MessagePosté: 20 Nov 2008, 08:28 
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_ZaZaZa_ a écrit:
Mais comme tous les films pseudo-romantiques


Explique le "pseudo".


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MessagePosté: 20 Nov 2008, 10:29 
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Inscription: 10 Jan 2007, 22:02
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Localisation: Prout !
_ZaZaZa_ a écrit:
Au risque de me faire taper : j'ai pas aimé.
On dirait des gamins de 14 ans (ouaiiiis tu m'passes ton numéro pour qu'on s'envoit des textos?), je sais pas, j'ai pas accroché du tout.
Mais comme tous les films pseudo-romantiques de cette année en fait, sur le papier j'aime bien mais devant l'écran ça me touche pas une seconde.

2/6, pour Joaquin uniquement, que j'épouse même avec ses rondeurs (faut pas qu'il arrête sa carrière après ça).


sans coeur !

_________________
On a frôlé la fissure anale...

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MessagePosté: 20 Nov 2008, 10:32 
Lu sur un autre forum :

Citation:
Désolé de venir mettre un bémol à l'enthousiasme naissant mais j'ai trouvé ce nouveau film de Gray assez consternant...Pourquoi ? Je vais tenter de m'en expliquer.
Je ne sais plus qui disait cela, à l'occasion du dernier festival de Cannes, mais l'auteur avouait que le cinéma de James Gray était un cinéma épais, lourd. Il mettait son idée à l'épreuve de toute la carrière du réalisateur. Je ne serais pas aussi dur que lui : je sauve Little Odessa qui reste pour moi son meilleur film, sec, dur, sobre, bien joué, à l'ambiance russe bouleversante, The Yards et La Nuit, films inégaux mais munie d'une belle âme et traverser de fulgurances. Mais aucun de ses films ne m'a totalement possédé. Ce qui, à la rigueur, pouvait apparaitre comme une force est devenu, avec le temps, carence. Et, celle-ci s'exprime d'autant plus que Gray s'est -enfin ?- débarrassé des oripeaux du polar pour s'attaquer à la matière même de ses films : l'émotion. A priori, rien de plus beau sur le papier que le dilemme amoureux, surtout pour un cinéaste habité par les pérégrinations sentimentaux, les élans lyriques et tout le toutim. Or, là...rien à faire, ça ne marche pas. Il suffit presque du plan d'ouverture pour se rendre compte de la profonde inanité du projet : ralenti pompier soulignant d'entrée de jeu le drame qui se prépare, musique comme alourdie, un gus qui traine les seuls souvenirs de son mariage raté et patatra...au bouillon ! Une fois dans l'eau et bien décidé à en finir, notre gus a, ce que l'on appele un souvenir, un flash-back qui nous indique, à nous spectateurs heureux, qu'il appartient à cette race déçue, blessée, fucked par l'amour. Rien que les 10 premiers minutes de Two Lovers, y a de quoi chauffer l'état de New-York pour tout l'hiver ! Maladroit, lourd, empesé...faudrait vider le champ lexical de la pesanteur pour caractériser cette ouverture et les minutes suivantes constituant le corps du film.
Après, rien que du marivaudage de bas étage avec le gus tiraillé entre les deux bombes de son immeuble, dérive pour le moins transgressive puisqu'elle a lieu devant le regard approbateur parental (Pauvre Isabella !). Je suis désolé de dire cela mais j'ai l'impression d'avoir affaire à un cinéaste un peu benêt, gentiment infantile dans sa manière de représenter le dilemme amoureux, le déséquilibre et la blessure amoureuse. Two lovers n'est une enfilade de clichetons tous plus insipides les uns que les autres qui surprend par sa totale absence d'intensité dramatique, par le convenu des situations stéréotypées lui servant de charpente, par la peinture sclérosée et grossière des sentiments, par l'inflation dont chaque scène souffre. Pas un moment ne sonne, pas une ligne de dialogue ne marche, pas un sourire ne touche. Dans ce cas, difficile d'être ému par les grimaces du sieur, de compatir pour le jeu outrancier, très actor's studio, de Joaquim; manifestement pas très à l'aise dans un rôle proche de Forrest Gump. Pooooouuuurquoi diable ce traitement ?! La grâce, hein qui ?! La mise en scène suit sa ligne, qu'importe la mise en scène réduite à un découpage quelconque et photo marron.
Je vais arrêter ici le carnage. Je conclurais en précisant que ce n'est certainement pas la fin, en forme de point d'interrogation avec ce regard caméra, qui m'incitera à réfléchir. James, un conseil, avant de solliciter péniblement la connexion neuronale, contente toi de faire correctement ton boulot. Ta palette claire-obscure peine à dissimuler les trous...

2/6


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MessagePosté: 20 Nov 2008, 10:39 
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Pourquoi mettre cette critique ici ?


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MessagePosté: 20 Nov 2008, 10:44 
the black addiction a écrit:
Pourquoi mettre cette critique ici ?

Pour savoir ce que vous en pensez.


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MessagePosté: 20 Nov 2008, 10:46 
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Il sort tous les clichés du gars qui n'aime pas un film d'amour, à part ça hein...


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MessagePosté: 20 Nov 2008, 12:00 
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SPOILERS

Voilà James Gray de retour avec son écriture affective de genres, il avait déjà réalisé un film important pour moi l’année dernière, je ne m’attendais pas à ce qu’il réédite l’exploit. Pourtant ce Two Lovers est vraiment quelque chose d’énorme qui vient boucler la plus grande année ciné de la décennie en ce qui me concerne, c’est vraiment au-delà de toutes mes espérances.

Two Lovers, pourtant trois personnes sont présentes sur l’affiche. Déjà le drame selon Gray est en place, cet éternel cycle vers l’avant, cette réciprocité inatteignable. Tous les protagonistes sont tristes dans leur exposition, ils aiment dans le vide, l’amour de l’être aimé va dans une autre direction. Two Lovers, mais il ne s’agit pas de leur histoire mutuelle, c’est une confrontation de romance en inadéquation. Du coup, ce qui importe le plus n’est pas l’amour mais le regard sur l’être aimé, l’être seul qui combat, l’écriture affective de Gray sert à merveille ce sujet, cette histoire de regard permanant. Une idée d’un cinéma épuré, écarté de presque tous les contextes (car l’amoureux oublie tout, d’où il vient et là où il doit normalement aller), qui découle sur la création d’un des décors de cinéma les plus formidable depuis longtemps. Un décor qui permet tous les agencements possibles de regards et de fascination. Un symbolisme vivant. Comment la simple cour d’un immeuble devient l’incarnation parfaite de l’amoureux face à son fantasme… l’espace séparant les deux lieux s’éteint au fur et à mesure que le film avance, que l’obsession prend le pas sur la raison. Il y a donc cette idée chez Gray, depuis le début de sa carrière, de s’attacher de manière radicale au genre, à l’essence des genres, et c’est cet attachement absolu qui fait qu’il s’en détache finalement pour transformer ses films en objet extrêmement personnel. James Gray, comme Ferrara, est un cinéaste qui ne peut pas filmer loin des genres, ce sont ces archétypes qui contiennent l’essence de leur cinéma.
Après on peut toujours évoquer Visconti et Coppola… Mais Coppola à besoin d’un contexte particulier pour réussir une histoire d’amour, comme dans Jardin de pierre par exemple, ou encore Peggy Sue… Ca doit passer par une originalité de l’histoire, alors que James Gray arrive à faire ce que seul Garrel et Lynch ont réussi récemment, c'est-à-dire toucher à l’essence même d’une thématique, en l’occurrence c’est l’amour chez ces trois cinéastes. Curieuse coïncidence.

Des agencements d’une grande simplicité, mais toujours traité avec passion, car il y a toujours un passionné dans ce film. Deux scènes d’amour, l’une centrée sur le visage de Vanessa Shaw en train de jouir (grande scène forcément), l’autre sur le visage de Joaquim… on est sur le visage du passionné, constamment. C’est la magie de ce film, l’observation de la passion isole les personnages, ils sont seuls dans leur affection. C’est triste et grave, et chaque séquence est habitée par cette idée.
Bon il est évident, je vais pas répéter ce que les autres ont dit, que c’est un film qui touche à la même thématique que We own the night, la thématique sordide de la perte de liberté, de l’obligation de se raccorder au monde, de l’impossibilité de rompre l’atavisme, tant de thématiques qui n’en font qu’une pour découler sur ce tout affecté comme rarement chez un cinéaste actuel.
Mais avec le thème de l’amour Gray plonge de plus en plus dans l’épure pour toucher à l’essence de cette thématique. Il s’en rapproche, éradique au fur et à mesure tout ce qui peut mettre le spectateur à distance de cette idée (je serais surpris de voir des malentendus comme à la fin de We own the night là), tout devient clair, limpide et douloureux. De plus en plus sensorialiste et évanescent… jusqu’où ? je sais pas mais j’ai hâte de voir.

Bon je n’ai pas envie de m’éterniser, en plus je ne trouve pas trop les mots pour en parler, je suis en panne sèche. Je peux juste rajouter que les séquences sur le toit sont extraordinaires, dignes d’un film de Kazan ou de Ray dans ce symbolisme perturbant, ce décor glacé où se retrouvent les amoureux déchus. Tout simplement bouleversant, la morphologie des décors est immersive comme jamais, chaque décors appelle un traitement visuel et sonore différent, comme si ces décors étaient des mondes différents… La femme est dans l’immeuble d’en face, qu’est ce que c’est loin…


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MessagePosté: 20 Nov 2008, 12:03 
Wow. :D


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MessagePosté: 20 Nov 2008, 12:04 
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Quoi ?


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MessagePosté: 20 Nov 2008, 12:05 
the black addiction a écrit:
Quoi ?

Ben rien, c'est beau. :P


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