Forum de FilmDeCulte

Et donc tu n'as pas lu l'échange, ou alors ce que tu penses du fond t'empêche de lire correctement ceux qui pensent différemment de toi (comme quoi ce que tu penses du fond est peut-être un problème).

"Pas spécialement détestable", dans le contexte du débat avec C., revient à dire "toi tu trouves ça détestable, moi pas spécialement". Ce qui ne veut évidemment pas dire que je trouve ce texte "détestable mais pas trop", sauf pour les gens peu subtils...

Et donc, si je ne trouve pas détestable cette manip, je peux la trouver légère, et convenir que c'est évidemment nul venant de types dont le boulot est d'être aussi précis que possible.



C'est ton autobiographie ?

Tu es en tous cas remarquable dans ta constance - maintenant tu sembles savoir ce que je pense du fond. Bientôt, tu m'expliqueras ce que j'ai voulu dire même si ce que j'ai écrit ne le signifie pas.




Cela doit être cela, je suis peu subtil, incapable de voir que

- pas spécialement détestable
- seulement très léger
- moins acceptable
- évidemment nul

signifient la même chose.

Isabelle de Portugal parlait aussi bien le portugais que l'espagnol.




CQFD.

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There is no such thing in life as normal

Si tu es devin comme tu relis le passé, on est mal barré. Où ai-je dit que je "savais" ce que tu penses ? Je dis seulement que tu as lu nos échanges avec une méchante partialité, et que c'est peut-être bien lié à ce que tu penses du fond, c'est tout. Mais vas-y, je t'en prie, continue à fantasmer que je suis un stalinien.



Sortir de leur contexte quatre adjectifs pris au hasard sur cinq pages d'échanges, et prétendre ensuite que je veux leur faire dire la même chose... Pfff.

Bon, on va en rester là, c'est mieux pour tout le monde.

Iln'y a aucun hasard ou (hors) contexte, ce sont les quatre expressions que tu as utilisées pour donner ton avis sur le procédé des journalistes.

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There is no such thing in life as normal

Depuis quand utiliser quatre expressions pour parler d'une chose les rend synonymes ? Putain, ce que t'es nul...

T'es quand même vachement agressif pour quelque qui passe son temps à se plaindre que les autres le sont et te prennent de haut.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

C'est ça, ferme les yeux sur les conneries que profère ton pote !

Là n'est pas la question : il est calme est pas agressif du tout. Pas toi.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Je ne suis pas dupe de ton mépris, encore moins de celui de ton copain. Je préfère encore qu'on me traite franchement de salaud. Vous, c'est par petites touches, sous-entendus, pseudo-questions inquisitrices, gloussements complices de types imbus de leur supériorité fixée par avance sur toute personne ayant le tort de sembler (de très très loin) gauchiste ou antifa.

Sauf que ton pote vient juste d'étaler sa bêtise crasse et, vois-tu, j'en profite un peu. Ça me détend.

Mais c'est incoyable, ça : je suis pas d'accord avec toi, je débats avec un peu de vigueur, ça ne veut en aucun cas dire que je te méprise.
Tu aurais pas un ptit complexe d'infériorité de derrière les fagots, toi ?

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Non, pas spécialement. Depuis que j'interviens par ici, tu me soupçonnes à bas mot d'être de parti-pris, et tes récents clins d'oeil à ton pote sur mon "peu de subtilité" ont enfoncé le clou. Tu ne me la feras plus. Et si tu ne comprends pas qu'on peut légitimement se sentir méprisé par tes questions-réponses qui, sous prétexte de "désaccord", réduisent ton interlocuteur à un cliché ambulant, c'est qu'il te manque un grain.

Oui, donc, c'est une attaque sur ta façon d'exposer tes arguments.

En quoi est-ce que ça signifie que je te méprise ?

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

D'une, je ne te méprise pas, car dans cette hypothèse, je ne perdrai pas de temps à essayer de débattre avec toi.

De deux, je n'ai jamais pensé que tu étais un salaud et je doute que tu puisses exciper le contraire dans un seul de mes écrits.

De trois, le petit air de supériorité, c'est en général toi qui le prends avec tes interlocuteurs, disqualifiant leur discours par pétition de principe.

De quatre, à part les "fa", tout le monde est "antifa", non ?




Je pense qu'il vaut mieux effectivement arrêter les frais, tu t'enfonces, et tu es manifestement incapable de comprendre - je n'ai plus la faiblesse de croire que c'est sans doute parce que tu n'en as pas envie.

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There is no such thing in life as normal

C'est marrant cette impression de déjà lu....

Le jour où tu comprendras que je t'adore (mais vraiment), Juan, on aura fait un grand pas dans notre relation.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."