Forum de FilmDeCulte

C'est clair.

C'est très Bisounours ce que je vais dire, mais bon qu'on aime pas, je m'en fous, mais y a la manière de le dire (surtout sur un film aussi INOFFENSIF que ROCKY BALBOA quoi).

Je te jure un jour un mec écrit ça sur un truc que j'aurai fait, je prends les armes hein...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Y'a des fois faut pas chercher à justifier ce que déblatère un idiot pendant 10 pages. Si lui même cherche autant à justifier ses conneries c'est qu'au final il n'a rien à dire d'interessant. Les blagues les plus courtes sont les meilleures. Et là c'est juste une grosse intox. Il devait sérieusement se faire chier.

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"Si tu vis dans l'ombre, tu n'approcheras jamais le soleil." Mesrine-L'instinct de mort.

Alors là, franchement je ne te suis pas. Ce papier est absolument horrible pour la simple et bonne raison qu'il a été écrit avec mépris et que le mépris (sentiment pas essence paresseux) n'est jamais constructif (contrairement à la haine ou le ressentiment). Et quand je lis ce genre de chose dans une critique :

Je me dis que le mec a un sérieux problème car, outre le fait que je ne vois pas le rapport avec le film en question, je trouve cette blague d'un goût douteux. Simplement parce qu'il avait envie de dire du mal de Schwartzman (que personnellement j'ai bien aimé dans Rushmore), comme ça, gratuitement, parce que son opinion (que je respect, c'est pas la question) prévaut sur le sujet de l'article.
Tu dis que c'est une critique argumentée mais finalement il ne fait que décrire le film (plus qu'il ne le décrypte) en disant que c'est artisanal, modeste, nostalgique (effectivement, et c'est pour ça que je l'ai aimé) mais il en déduit sans vraiment le démontrer que c'est à mettre sur le compte d'intentions purements mercantiles (donc sans sincérité), que c'est juste un calcul pour séduir les foules et rapporter du fric. A ce tarif là les films d'Ozu aussi !
Et quand il commence à aborder l'aspect politique du film on se dit que c'est vraiment sorti de nul part, car ça ne tient que sur l'axiome "croire en ses rêves pour être soit-même est un discour libéral" et je trouve ça un peu léger comme vision (d'autant plus que je ne suis pas tout à fait certain que ce soit le discour du film).
Globalement cette article sent à plein nez le mec qui n'a pas trop aimé le film (ça c'est son droit le plus absolu) et qui surtout ne supporte pas le nombre de bonnes critiques qu'a le film (ça je peux comprendre aussi, je ressens ça tout le temps) mais qui du coup préfére rédiger par rapport à ça, en voulant assoire son point de vu sur celui des autres, en tombant dans une démarche démonstrative assez pauvre, parce que méprisante (donc) et pas trés honnête.

J'ai l'impression d'être dans RESERVOIR DOGS, quand Mr Orange, le mec qu'on attendait plus, flingue Michael Madsen au dernier moment, se révelant soudain être un gentil, en fait.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

comme il n'a rien à dire, il essaie d'exister en se démarquant. Ca me rappelle ce journaliste qui avait analysé Amélie Poulain comme un film puant de propagande d'extrême droite.

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Tennis de Table Bordeaux

Oui alors ça c'est vraiment le pire passage, quand il rapporte la préssuposé génése du film, fondé uniquement sur des préjugés idiots et faciles (du genre Stallone est un milliardaire pourris et cynique, il attend que ça se passe dans sa villa, il a fait que des films de crétins etc...). C'est d'autant plus pitoyable que, comme tu l'as dit, le mec ne connait pas du tout la carrière de Stallone, et il n'a même pas cherché à se documenter pour écrire son papier...

Parle pas trop vite, j'ai pas encore répondu à Scythe-Meister sur Munich...

Ouais, Kaganski. Mais à la rigueur y'avait un minimum d'argumentation là, même si ça semblait bien tiré par les cheveux...
Et tu m'as toujours pas dit d'où tu me connaissais ?!

Si si il l'a dit.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Moi cette avalanche de 6 me fout les boules... Ca me paraît abusééééé mais bon je peux pas juger. Le film sort demain ici.

Problème: j'ai vu le 2, le 3, le 4, mais jamais le 1 ni le 5.

Donc non seulement je suis loin d'être fan (Rocky ne fait pas du tout partie de ma cinéphilie), mais en plus je risque simplement de passer à côté, non...?

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Aïe... c'est justement les deux dont il se rapproche le plus.

Tu vas peut-être être victime du syndrôme Noony et la nostalgie n'aura pas d'effet sur toi...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Je suis en gros dans le même cas que toi et j'ai été sacrément étonné de l'avalanche d'avis dithyrambiques ici. Le film joue énormémement sur la nostalgie et quand Rocky ne signifie pas grand chose, tu peux ne pas être touché. Personnellement, je trouve le film simple, plutot bien fait formellement (sauf quelques choix de réalisation douteux détaillés par Cosmo dans son avis), très "premier degré" et naïf quand Stallone débite sa philosophie de vie. Après, il est ultra référentiel et par là même pas forcément super constructif (ça reste très refermé sur le perso de Stallone).

Le combat est très bien et fait bien vibrer.

C'est exactement ce que je crains... Alors peut-être que c'est foutu d'avance... Et voir le 1 juste avant risque de nuire à la vision du 6... Je fais quoi?

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

C'est pas comme si tu méritais tellement mieux...

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j'ai particulièrement aimé le moment où Stallone reçoit le coup le plus violent à la tête et met un genou à terre.



l'agression de cour de récré, c'est le mode d'expression de base de ce forum. J'étais persuadé que ça convenait à tout le monde. Je me suis trompé, apparemment.

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Tennis de Table Bordeaux