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MessagePosté: 11 Jan 2011, 00:19 
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Je savais pas. Hallucinant en effet, tout ça pour un film qui a l'air tout basique.


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MessagePosté: 11 Jan 2011, 00:24 
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Alors sincèrement, visuellement, il ne l'est pas.
Le film allie le meilleur de l'anim traditionnelle et de l'anim en CGI, y a un vrai boulot qui a été effectué dessus.

Ensuite, un tel budget reflète aussi souvent des problèmes dans la prod, un parcours sinueux...le budget est pas toujours forcément à l'écran.

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MessagePosté: 07 Avr 2011, 02:10 
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Bon bah vu en retard, malheureusement pas en 3D, et si ce film confirme que la firme a retrouvé un peu de dignité et de self-estime depuis l'arrivée de Lasseter, j'ai quand même un peu l'impression que celui-ci la laisse coincée dans une impasse qui empêche chacun des films d'être réellement marquant.

Alors je préviens, parce que ce qui suit va sembler injustement sévère, que c'est sans doute leur plus belle réussite depuis longtemps. Mais c'est justement parce que le film laisse entrevoir beaucoup de possibilités qu'il dégoûte à ne rien savoir en faire de grand (ou alors on considère que c'est un produit lambda Dreamworks et on s'en contente, mais bon...)



Le meilleur du film, c'est son ambition de réveiller l'imagerie du conte, comme le montraient les premiers artworks qui faisaient saliver.

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Le film essaie donc de renouer avec le genre du merveilleux. Il y échoue sur un peu près tous les plans.
La photo (probablement la 3D aussi, j'imagine) cherche pourtant à entretenir l'émerveillement, dans une sorte d'explosion de couleurs maîtrisée. Les idées de lumière (les loupiotes qui illuminent la ville, la chevelure lumineuse sous l'eau) ou de décor (la tour au milieu de son fossé à la lumière ambiguë et changeante) sont bien présentes. En allant pour une fois plus loin que le conte, en explicitant le rôle de mère castratrice de la sorcière, en n'hésitant pas à jouer de la concurrence de séduction avec une fille qu'elle vampirise (comme dans leur tout premier long...), en acceptant une pincée de mort (un peu de sang, de menace de noyade, une corde de pendu qui traîne pas loin), le studio a compris ce qu'il devait travailler pour donner du poids à son film.

Par la sorcière donc surtout, par les jeux purement graphiques aussi (la révélation face aux fresques) il y parvient subrepticement, par intermittences, même si c'est jamais très long ou solide. Des plans comme ça, qu'il faut néanmoins attendre l'extrême climax pour à peine entrevoir :

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Je sais que le film ne peut pas être QUE ça sur 1h30, et que ca n'a de toute façon jamais été le but, le style et le talent de Disney d'étaler du sombre, du baroque ou de l'expressionnisme d'un bout à l'autre des films. Mais parce que le style des films sera justement toujours plus propret et cloisonné que les somptueux artworks, parce que le pur déchaînement graphique sera toujours neutralisé, les meilleures œuvres de la filmo (notamment les films des années 30-40 et des années 90) leur redonnaient de l'ampleur autrement, en confrontant le matériau à une réelle mise en scène : il y avait un travail solide, en dehors des pics sombres et maniérés, qui savait mettre ceux-ci en valeur aux moments-clé, menant le film dans son entier comme un tout cohérent, faisant poindre une vraie narration du découpage ; bref, prenant fermement le film en charge.

Or c'est impossible ici, le panier est percé de tous les côtés : pas un geste romantique sans qu'un personnage se sente obligé d'en ricaner, pas une envolée lyrique sans qu'un système rodé de chansons anonymes - devenues pure recette dont le film déroule le programme sans visiblement trop savoir pourquoi - vienne phagocyter toute possible ampleur... pas une idée qui ne passe au rouleau compresseur d'un point de vue inexistant, l'âme du film ne pouvant ressurgir que par ce genre de pics, petites percées formelles circonscrites. Le studio semble chercher tout au long du film ce qui fait le cœur palpitant de cette filmo, farfouillant dans ce qui lui reste d'automatismes quelconque recette, mais malgré toutes ses tentatives, l'ensemble reste irrémédiablement bloqué. C'est une distance définitive au premier degré qui est ici à l'œuvre : l'incapacité de faire une vraie scène, de prendre un risque dans le découpage et la narration, de taper du poing sur la table en imposant un point de vue, de percer le vernis du produit parfait sur-maîtrisé, sur-contrôlé, sur-aseptisé, dont ils ont malgré eux fondé le modèle en fin des années 90. Face à ce mur, aussi travaillée soit la lumière, aussi recherchés soient les enjeux du scénario, rien ne peut réellement se réaliser à l'écran : tout est là, en projet, mais sans réel effet.

Le seul élément du merveilleux qui survit, comme dans les phases les plus vides de l'histoire du studio, c'est finalement l'animation, le plaisir du mouvement - seul élément digne de l'imagerie du conte qui est là, tangible, vivant à l'écran : les jeux de chevelure (ou toute autre phase de célébration du mouvement, comme la scène de danse, seule véritable "scène" à proprement parler d'ailleurs).

Pour le reste, le film se suit agréablement, car question humour, cartoon, rythme, le studio a su trouver une efficacité qui lui est propre : on sent fuser les idées sans que cela ne brise une certaine tendresse pour les personnages, dont les échanges restent sympathiques. Mais ça ne fait évidemment que divertir un ensemble qui ne sait pas trop quoi en faire non plus, et quand ca consiste à sortir l'habituelle panoplie de persos secondaires fonctionnels, on se dit que toute cette vitalité très balisée n'est qu'un élément de contrôle de plus...

Bref, c'est plaisant, mais ils sont dans un beau merdier, là.


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MessagePosté: 01 Sep 2012, 01:12 
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Belle surprise pour ma part. Je rejoins en tout point l'avis de bob.

Et très surpris par l'aspect "sage" du film. Y'a pas de scène d'action ultra bourride, de poursuite hystérique. Un peu de traque au milieu, mais le climax est plus mental que visuel, ça se règle dans un lieu confine à 3, bref, j'ai trouve ça agréablement surprenant.

Et puis les mecs ont du talent pour montrer raiponce comme la meuf dont tu tombes amoureux direct. Elle est rudement bonne, et elle répand la joie partout ou elle passe. Ca fait très tarte écrit comme ça, mais dans le film ça marche super bien.


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MessagePosté: 01 Sep 2012, 03:09 
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Inscription: 24 Juin 2009, 12:09
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deudtens a écrit:
Belle surprise pour ma part. Je rejoins en tout point l'avis de bob.

Et très surpris par l'aspect "sage" du film. Y'a pas de scène d'action ultra bourride, de poursuite hystérique. Un peu de traque au milieu, mais le climax est plus mental que visuel, ça se règle dans un lieu confine à 3, bref, j'ai trouve ça agréablement surprenant.

Et puis les mecs ont du talent pour montrer raiponce comme la meuf dont tu tombes amoureux direct. Elle est rudement bonne, et elle répand la joie partout ou elle passe. Ca fait très tarte écrit comme ça, mais dans le film ça marche super bien.


Je le remate quasi une fois toutes les deux semaines depuis la sortie, grand fan du film, plein de trucs cools, une ou deux chansons sympas, sidekicks pas relous et grosse bonne humeur. Puis putain, c'est beau!

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MessagePosté: 01 Sep 2012, 09:33 
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offert à ma fille, il y a un moi set déjà vu 3 fois. Les enfants de 3 ans sont assez mono maniaque. J'ai été agréablement surpris. Le film est très beau et l'animation fluide. L'humour est très réussi. J'aime beaucoup Maximus le cheval et le voleur. Il y a malheureusement des chansons mais 2 sont très drôles.

Mon bémol reste sur la narration poussive. Le début est assez raté et l'excès de voix off énerve. De plus, pourquoi appeler ce film Raiponce ( qui est une salade) si on change cela pour une fleur magique?


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MessagePosté: 21 Aoû 2016, 14:20 
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1. Blanche-Neige et les Sept Nains (Snow White and the Seven Dwarfs) — David Hand, 1937
2. Pinocchio (id.) — Hamilton Luske, Ben Sharpsteen, 1940
3. Fantasia (Walt Disney's Fantasia) — Ben Sharpsteen, 1940
4. Dumbo, l'éléphant volant (Dumbo) — Ben Sharpsteen, 1941
5. Bambi (id.) — David Hand, 1942
6. Cendrillon (Cinderella) — Ben Sharpsteen, 1950
7. Alice au pays des merveilles (Alice in Wonderland) — Clyde Geronimi, Wilfred Jackson, Hamilton Luske, 1951
8. Peter Pan - Clyde Geronimi, Wilfred Jackson, Hamilton Luske, 1953
9. La Belle et le clochard (Lady and the Tramp) - Clyde Geronimi, Wilfred Jackson, Hamilton Luske, 1955
10. La Belle au bois dormant (Sleeping Beauty) - Clyde Geronimi, 1959
11. Les 101 dalmatiens (One Hundred and One Dalmatians) — Clyde Geronimi, Hamilton Luske, Wolfgang Reitherman, 1961
12. Merlin l'enchanteur (The Sword in the Stone) — Wolfgang Reitherman, 1963
13. Le Livre de la jungle (The Jungle Book) — Wolfgang Reitherman, 1967
14. Les Aristochats (The Aristocats) — Wolfgang Reitherman, 1970
15. Robin des Bois (Robin Hood) — Wolfgang Reitherman, 1973
16. Les Aventures de Bernard et Bianca (The Rescuers) — Wolfgang Reitherman, John Lounsbery, Art Stevens, 1977
17. Rox et Rouky (The Fox and the Hound) — Ted Berman, Richard Rich, Art Stevens, 1981
18. Taram et le Chaudron magique (The Black Cauldron) — Ted Berman, Richard Rich, 1985
19. Basil, détective privé (The Great Mouse Detective) — Ron Clements, Burny Mattinson, David Michener, John Musker, 1986
20. Oliver et Compagnie (Oliver & Company) — George Scribner, 1988
21. La Petite Sirène (The Little Mermaid) — Ron Clements, John Musker, 1989
22. Bernard et Bianca au pays des kangourous (The Rescuers Down Under) — Hendel Butoy, Mike Gabriel, 1990
23. La Belle et la Bête (Beauty and the Beast) — Gary Trousdale, Kirk Wise, 1991
24. Aladdin (id.) — Ron Clements, John Musker, 1992
25. Le Roi Lion (The Lion King) — Roger Allers, Rob Minkoff, 1994
26. Pocahontas, une légende indienne (Pocahontas) — Mike Gabriel, Eric Goldberg, 1995
27. Le Bossu de Notre-Dame (The Hunchback of Notre Dame) — Gary Trousdale, Kirk Wise, 1996
28. Hercule (Hercules) — Ron Clements, John Musker, 1997
29. Mulan (id.) — Tony Bancroft, Barry Cook, 1998
30. Tarzan (id.) — Chris Buck, Kevin Lima, 1999
31. Fantasia 2000 (id.) — Don Hahn, Pixote Hunt, Hendel Butoy, Eric Goldberg, James Algar, Francis Glebas, Paul & Gaëtan Brizzi, 1999
32. Dinosaure (Dinosaur)— Ralph Zondag, Eric Leighton, 2000
33. Kuzco, l'empereur mégalo (The Emperor's New Groove) — Mark Dindal, 2000
34. Atlantide, l'empire perdu (Atlantis, the Lost Empire) — Gary Trousdale, Kirk Wise, 2001
35. Lilo & Stitch (id.) — Dean DeBlois, Chris Sanders, 2002
36. La Planète au trésor, un nouvel univers (Treasure Planet) — Ron Clements, John Musker, 2002
37. Frère des ours (Brother Bear) — Aaron Blaise, Robert Walker, 2003
38. La Ferme se rebelle (Home on the Range) — Will Finn, John Sanford, 2004
39. Chicken Little (id.) — Mark Dindal, 2005
40. Bienvenue chez les Robinson (Meet the Robinsons) — Stephen J. Anderson, 2007
41. Volt, star malgré lui (Bolt) — Byron Howard, Chris Williams, 2008
42. La Princesse et la Grenouille (The Princess and the Frog) — Ron Clements, John Musker, 2009

43. Raiponce (Tangled) — Nathan Greno, Byron Howard, 2010

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Bon bah là aussi, j'avais tout dit:
Film Freak a écrit:
Bah putain la surprise...

J'ai trouvé ça vraiment très bien alors que la bande-annonce me faisait penser à un truc DreamWorks et en fait pas du tout, Disney renoue avec le conte de fées et cette histoire de princesse est encore plus efficace que l'autre princesse Disney de cette année. D'autant plus que si ce dernier présentait via son animation traditionnelle un certain charme disparu en plus d'un univers bayou vaudou assez inédit, ce 50e long métrage officiel n'a rien à lui envier formellement parlant.

Supervisé par le grand Glen Keane (qui devait un temps réaliser le film mais comme nombre d'ex-animateurs réalisant leur premier long, il s'est fait remplacer par d'autres), illustre animateur de certains des personnages les plus célèbres de la firme (si la Bête et Tarzan sont un régal à regarder bouger, c'est grâce à lui), Raiponce est un délice pour les yeux.
Je me rappelle encore quand j'ai entendu la première fois parler du projet, leur image de référence était la fameuse peinture de Fragonard :

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Et sans aller jusqu'à qualifier l'esthétique du film d'inspiration rococo, on voit l'influence de ce tableau sur les couleurs et surtout la lumière du film. C'est vraiment très très classe.
Visuellement, c'est vraiment très abouti. Qu'il s'agisse de l'animation au poil (tout ce qu'ils font faire à ces cheveux), du style général (à fond iconique) ou de la mise en scène (super dynamique), c'est nickel. Je trouve qu'on est vraiment au-delà des précédents essais "animation en images de synthèse" de Disney (bon je dis ça, j'ai vu que Volt en fait, et pas Chicken Little ou Bienvenue chez les Robinsons).

Par exemple, l'emphase qui habite les numéros musicaux, notamment sur leur climax, compense le côté quelque peu sans éclat des chansons.
Ca c'est le seul bémol que j'aurais : les chansons sont bien mais y en a aucune qui se démarque vraiment, qu'on peut fredonner après, qu'on a envie de réécouter, etc. A part peut-être la chanson de la fleur et des cheveux justement, qui revient tout le long.

En parlant de ça, je crois que j'ai vraiment adhéré à ce récit "à l'ancienne", purement conte de fées, là où même La Princesse & la grenouille avait un côté ""post-moderne"". Ici, on embrasse à 4600% le genre dans ce qu'il a de plus classique (très belle intro et magnifique révélation sur la fin), sans tomber dans le piège du jeunisme ou du surcalibrage. C'est évidemment pas Dragons ou même Toy Story 3 au niveau de l'académisme parfaitement incarné et/ou déjoué et au niveau de l'émotion non plus, mais le film sait faire preuve de quelques passages plus "matures", notamment dans le dernier acte : une scène muette, et émouvante, sur la larme d'un roi ; la mort d'un méchant, assez cruelle et presque effrayante ; puis évidemment ce qui vient juste après...

L'aventure n'est pas en reste et j'adore comme les cheveux sont exploités comme un super-pouvoir...si l'intrigue avait été adaptée et remodelée comme l'histoire d'une super-héroïne (emprisonnée et exploitée), ça aurait pu donner une variation intéressante à la fois du conte et de la figure de super-héros.

J'ai marché à fond dans l'humour aussi, je le trouve jamais surfait. Y a même d'excellentes idées (cf. le montage bonheur/déprime de Raiponce, à la fois génial et très juste).
Même les sidekicks animaliers sont bons! Muets, pas omniprésents, juste ce qu'il faut...le caméléon déboîte.

Bon je donne l'impression de m'enflammer grave alors que c'est pas EXCEPTIONNEL non plus mais j'ai trouvé ça vraiment bien fichu, iconique comme il faut, avec juste la bonne dose de dynamisme et de maturité pour transcender une chouïa le classicisme de l'ensemble.

Si je n'avais pas relu mon avis, j'aurai pu écrire le même presque mot pour mot.

La Princesse & la grenouille était leur retour au conte de fées, Raiponce est leur premier film du genre en images de synthèse et ça donne une idée de ce à quoi peuvent ressembler désormais les scènes d'aventure ainsi que les numéros musicaux, libérés de la mise en scène parfois figée imposée par l'animation traditionnelle. Quelque part, ça annonce la réussite à venir de La Reine des neiges, encore plus réussi, dans les persos (même si Raiponce est super attachante), le propos, dans les chansons surtout.

Contrairement à ce que je disais à l'époque, Keane ne s'est pas fait débarquer mais il a dû abandonner le poste de réalisateur à cause de problèmes de santé. Il est toutefois resté comme LE superviseur du projet. Il a même donné une conférence aux animateurs sur "le meilleur des deux mondes", pour réussir à obtenir un résultat qui saurait utiliser le meilleur de l'animation traditionnelle et de l'animation en images de synthèse. Et ça se voit, je trouve.
Il y a une qualité indescriptible dans l'animation et la mise en scène, dans les arrières-plans...la profondeur de champ et la lumière des scènes en forêt est tout bonnement sublime...et sublimée par la 3D.

Vraiment un des meilleurs pour moi.


1. Le Roi Lion
2. Aladdin
3. Tarzan
4. La Belle au bois dormant
5. La Petite Sirène
6. Dumbo
7. Raiponce
8. Pinocchio
9. Robin des bois
10. Basil, détective privé
11. Kuzco, l'empereur mégalo
12. La Princesse & la grenouille
13. Fantasia
14. Le Livre de la jungle
15. Alice au pays des merveilles
16. The Fox & the Hound
17. Atlantide, l'empire perdu
18. La Planète au trésor
19. Hercule
20. La Belle et la Bête
21. Bienvenue chez les Robinson
22. Le Bossu de Notre-Dame
23. Bambi
24. Cendrillon
25. Lilo & Stitch
26. Volt, star malgré lui
27. Peter Pan
28. Frère des ours
29. Mulan
30. Bernard et Bianca au pays des kangourous
31. Les Aventures de Bernard et Bianca
32. Les 101 dalmatiens
33. La Belle et le Clochard
34. Blanche-Neige et les Sept Nains
35. Fantasia 2000
36. Pocahontas
37. Taram & le chaudron magique
38. Olivier & Compagnie
39. Merlin l'enchanteur
40. Les Aristochats
41. Chicken Little
42. Dinosaure
43. La Ferme se rebelle

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Localisation: Paris
Je crois que j'ai vu ce film trop tard. Déjà techniquement: c'est très bien mais on sent encore des oripeaux du monde SHREKien, y a certains designs pas jojo, genre des figurants avec des vieilles têtes mal faites, des articulations bizarres.

Mais surtout artistiquement: ayant découvert entre temps les postérieurs FROZEN, j'ai du mal ici à voir le renouveau artistique ou créatif que ça a pu être pour Disney il y a de ça 13 ans.

Après ça reste plus que correct. Bon retour aux sources du studio (le conte de fées) mais avec une approche dynamique sans être trop irrévérencieuse, design plutôt correct dans l'ensemble, certaines idées astucieuses (ils ont dû TELLEMENT se faire chier avec les cheveux...).

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Liam Engle: réalisateur et scénariste
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