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Synopsis : Deux frères, Stephen et Brian McCaffrey, se destinent au métier de pompier après avoir assisté à la mort tragique de leur père, officier d'élite de la 17e caserne des sapeurs-pompiers de Chicago. Vingt ans plus tard, si Stephen est devenu un pompier émérite, Brian vit de petits boulots. De retour à Chicago, il décide néanmoins de reprendre son entrainement sous l'oeil sceptique de son frère.


Thriller pyrotechnique que j'avais dû voir à l'époque et que j'avais complétement oublié (d'ailleurs, je l'ai maté en étant persuadé de connaître l'identité du pyromane et en fait non, je me suis fait avoir comme un bleu par le twist).
Je me souvenais juste des critiques de l'époque clamant haut et fort "Wouah, le feu est vivant !". Mouais, en 1991, certains ont dû se laisser impressionner par 2 jerrycans d'essence et quelques fumigènes me disais-je en lançant le film.

Si l'intrigue, bien qu'efficacement menée, est TRES générique (trauma initial, rivalité fraternelle, figure paternelle de substitution et vengeance sur fond de magouilles politiques), Howard s’est lâché et les scènes d'incendies sont véritablement toujours impressionnantes (d'autant que le film est généreux et nous gratifie de plusieurs de ces scènes, vues de l'intérieur ; on est vraiment au cœur de l'incendie avec les pompiers).
Le feu respire, feule, attaque puis se tapit dans une cachette avant de nouveau fondre sur ses proies et tout dévorer sur son passage. Il tue et marque ceux à qui il s'en prend.
Et donc oui : Wouah, le feu est vivant !

A cela s'ajoutent des scènes d'assassinats par le feu bien brutales (le gars encastré dans sa voiture...) et permettent de faire un peu de didactisme pas inintéressant sur l'univers des incendies par l'intermédiaire de l'enquêteur au cœur d'une investigation qu'on suit quand même d'un œil torve.
Faute de goût en début de film : Une espèce de montage de vie/entraînement des pompiers au ralenti sur fonds de musique pourrie des 90's. Ca fait vraiment tâche par rapport au reste.

Kurt Russel et William Baldwin assurent à peu prés (ça fait bizarre de voir un Baldwin maigre) mais se font bien grignoter par des seconds rôles bien plus intéressants : De Niro (!), Donald Sutherland (qui s’amuse bien à jouer un truculent pyromane) et Scott Glenn.

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

BILANS CINEMA : 2023 I 2024

J'adore ce film vu 5 ou 6 fois quand j'avais douze ans, je le reverrai jamais.

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CroqAnimement votre

Ca vaut le coup de voir une compilation des scènes d'incendies.

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

BILANS CINEMA : 2023 I 2024

Fait découvrir à mon gosse de 10 ans qui a adoré. Je me suis surpris à trouver que cela tenait encore bien la route.

Vu deux fois en salles, j'avais adoré. Revu sur Canal en 1993, traumatisé par le moment où le pote Tim se fait brûler, du coup jamais eu le courage de le revoir depuis.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Sympa mais 20/30 minutes de trop.
Comme TOUS les Ron Howard.

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Netflix les gars, Netflix.

Découvert ça tardivement, genre à 20 ans passés et trouvé ça 4/6.

Complètement oublié.

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Sauf Rush

Oui celui-ci c'est 2h de trop.

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Pareil, mon film préféré pendant 6 mois quand j'avais 12 ans, jamais revu.