Forum de FilmDeCulte

Parce qu'aucun film italien n'etait en sélection cette année ?
Sinon, la projo officielle s'était plutot déroulé dans une ambiance sympa (mais bon, pour les petits vieux cannois, commencer avec Eva Mendes pas tres habillés, ca a du les refroidir)

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Captain phpBB - kikoo lol mdr !!!!!

C'est Cannes.

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Triste mais vrai.

Ce qu'on peut lui reprocher ? rien.
Ma première larme de l'année. J'en reparle plus tard. Trop dur là.

6/6

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Première?

Oui c'est la première fois que je pleure dans une salle de ciné cette année.

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BON, CA! Pas assez de larmounettes cette année..

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Si l'intrigue policière me paraît assez anecdotique et ne me convainc guère, l'intérêt est bien entendu ailleurs (comme dans les deux précédents Gray) : c'est d'une maturité incroyable dans les rapports entre les personnages, l'intensité des regards, les relations familliales, etc. J'adore comment Gray alterne l'humilité dans la mise en scène (Bobby voit son frère à l'hôpital : un plan fixe, une larme, une petite musique, rien de plus, l'anti-fat) et un côté opératique déjà présent dans The Yard (5/6) et plus encore Little Odessa (6/6).

5/6

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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Revision ce soir. C'est vraiment magistral.

5,5/6

Tu as oublié un demi point.

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Eva ne montre qu'un seul sein.

lol

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BAM la CLAQUE. C'est du 6/6 mais j'y reviendrai tout à l'heure car mon boss est dans les parrages.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Yeah Arnotte !!!!!!!!!!
Houla ! si tout le monde aime c'est mal parti pour que Zad apprécie.

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Dès le premier (très beau) plan, quand on entend Blondie et Clash dans un club hype de la fin des années 80, on sent qu'il y a comme un souci, un léger décalage. Et j'avoue que je n'ai pas pu mettre de côté cette impression. Alors il y a des scènes magnifiques (la poursuite en bagnoles, effectectivement), mais tout ça reste d'un classicisme absolu, et on reste deux heures durant à attendre le rebondissement qui ne viendra jamais. Je sais bien que c'est le propos de Gray dans ses films, le poids de la famille, de la culture et du destin, mais si ses personnages ne peuvent jamais échapper à la voie qui leur est tracée, ça donne des films certes agréables et maitrisés mais un peu convenus et plan-plan. Moi qui avait adoré Little Odessa, j'ai l'impression qu'il dilue de plus en plus ses obsessions en les fondant dans un cadre hollywoodien traditionnel et une symbolique judéo-chrétienne parfois un peu lourdingue.
Voilà, ça reste un bon film mais j'attendais davantage.