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MessagePosté: 26 Fév 2012, 19:42 
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Voilà, désolé pour les allers-retours et les edits.

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MessagePosté: 26 Fév 2012, 19:55 
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tape dans ses mains sur La Compagnie créole
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Puck a écrit:
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Je suis FAN de Perry Bible Fellowship!

deudtens je te gifle affectueusement!

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MessagePosté: 26 Fév 2012, 20:09 
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Naughty deudtens !
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MessagePosté: 26 Fév 2012, 20:16 
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J'avais pas posté un truc là ?


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MessagePosté: 10 Nov 2012, 01:45 
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Je viens de le revoir ce soir et, si vous me permettez d'enfoncer des portes ouvertes, eh bien, c'est un film qui mérite clairement d'être revu. Il est d'une telle richesse, d'une telle complexité, et il y a tellement de niveaux de lecture différents, que l'on serait bien en peine, d'une part, de comprendre le film dans son intégralité, et d'autre part, de l'interpréter comme il se doit. C'est un film, en somme, qui se mérite, mais je ne suis plus étonné, avec Nolan.

La première fois que j'ai vu un de ses films, classiquement, il s'agissait de Memento. Déjà, là, c'était un bijou d'écriture, de scénario, de personnage. Là où un autre réal aurait pu se vautrer dans son concept, et se contenter de faire un film d'action basique avec une structure légèrement alambiqué, Nolan utilise toutes les possibilités que lui offre son idée première et fait de Memento un film, qui, là encore, mérite d'être revu, afin d'en apprécier davantage les cheminements. Insomnia m'avait beaucoup plu, Batman également, mais j'ai été étonné de le voir s'attaquer au Prestige. J'avais lu le bouquin sur lequel est basé le film, un bouquin écrit par un mec que j'aime beaucoup, Christopher Priest, un digne héritier de Philip K Dick, avec un sens littéraire plus aiguisé encore. Moins d'idées que le grand Dick, certes, mais davantage soucieux de construire une intrigue, de semer des indices, patiemment, jusqu'à ce qu'une nouvelle réalité éclate, sans même que l'on s'en rende compte; et je ne peux que conseiller la lecture de La Séparation, du même auteur, qui est passionnant. Evidemment, dit comme ça, et en regard d'Inception, on se doute bien que Nolan a apprécié l'intrigue que propose Le Prestige.

Il faut dire que ce livre contient des thématiques qui travaillent Nolan. La notion de réalité, certes, mais aussi l'obsession, le remords, l'humain, en somme, dans toute sa médiocrité. Je ne pense pas que Nolan soit du genre heureux dans sa vie.

Inception a déjà l'avantage d'être un film écrit ET réalisé par Nolan. Comme c'est rare. Comme c'est précieux.

J'ai bataillé longuement avec des amis sur le film. Ils me disaient que le scénario était un truc de petit malin qui voulait faire passer le spectateur pour une personne intelligente, mais que finalement, ça n'était que du vide. Que c'était trop alambiqué. A croire que l'on n'a pas vu le même film.

La grande force du film, c'est de sortir tout un attirail james bondesque, d'exhiber un tas de codes propres au film de braquage de banques, qui est presque un genre en soi, pour se concentrer finalement sur une seule chose : la rédemption de Cobb. Finalement, c'est un film sur le deuil :
Cillian Murphy doit accepter la mort de son père, mais pour cela Cobb doit accepter celle de Mal
. Au travers de tout ce dispositif complexe, de cette froideur apparente que l'on reproche tant à Nolan, et qui me semble pourtant pas si présente que ça, il y a juste une histoire d'amour entre deux êtres déchirés.

Juste, mais pas que, évidemment. On peut voir évidemment le labyrinthe que constitue le film comme le chemin éprouvant que doit traverser Cobb avant d'accepter
la mort de sa femme
. Et de manière plus terre à terre, tout de même, c'est un vrai bon blockbuster, qui en envoie plein les yeux, qui fait rêver. Mais un blockbuster au scénario original, qui n'appelle pas à une suite, voire à un reboot, un blockbuster intelligent, ce que je me tue à défendre auprès de certains détracteurs qui estiment Hollywood comme une vaste machine à fric et rien d'autre.

C'est un film mental qui exige une concentration extrême de la part du spectateur. Et ce que j'apprécie le plus, et ce que je retrouve dans certains livres de science-fiction, et qui est bien là, dans Inception, c'est cette construction de tout un fonctionnement, sur les rêves, comment on peut y évoluer, et une déconstruction lorsque l'on se lance dans la véritable mission. Patiemment, tous les codes qu'a installé Nolan sont brisés un à un. Patiemment, on se perd dans le scénario labyrinthique.

Les décors détiennent un rôle primordial, puisqu'ils représentent le subconscient des personnages. Si l'on paraît surpris de voir apparaître Mal à chaque coin de rue, ou encore ses enfants, très vite, on se prend au jeu. Très vite, on rentre dans le film, dans son "système".

Une réplique de Cobb au personnage d'Ellen Page a retenu mon attention lors de cette énième vision. "Te souviens-tu comment tu es arrivée là?". N'est-ce pas là le propre du cinéma? On ne sait rien des personnages lorsque l'on rentre dans la salle de cinéma. On ne sait pas comment ils sont arrivés dans ce décor. C'est une belle métaphore du cinéma, et comme l'a souligné Film Freak dans sa critique, on peut voir du coup l'équipe de Cobb comme des réalisateurs en puissance. Et le personnage de Cillian Murphy comme le spectateur, puisqu'il suit le scénario de Cobb et de ses comparses, jusqu'à même ne plus pouvoir se mouvoir, dans les limbes.

6/6


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MessagePosté: 10 Nov 2012, 10:32 
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Swann a écrit:
C'est un film mental qui exige une concentration extrême de la part du spectateur


J'aime beaucoup le film, mais faut pas non plus exagérer. L'univers est tellement dense, et Nolan tellement soucieux de le rendre compréhensible, que le film est constamment parasité par l'énonciation des règles et des codes (didacticiel à rallonge). Même le plus teubé des spectateurs n'a qu'à lire les sous-titres pour avoir la notice... C'est souvent lourd d'ailleurs, ça pèse sur le film. Sans compter que chaque rêve est un film d'action ou un souvenir triste (ici par d'univers onirique façon Fisher King), ce qui renforce l'aspect blockbuster gratuit, alors qu'un traitement intimiste à la Memento aurait été - à mon humble avis - plus intéressant sur le même sujet.

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MessagePosté: 10 Nov 2012, 11:18 
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Swann a écrit:
Finalement, c'est un film sur le deuil :
Cillian Murphy doit accepter la mort de son père, mais pour cela Cobb doit accepter celle de Mal
. Au travers de tout ce dispositif complexe, de cette froideur apparente que l'on reproche tant à Nolan, et qui me semble pourtant pas si présente que ça, il y a juste une histoire d'amour entre deux êtres déchirés.


Euh, je ne l'ai vu qu'une fois et me suis surtout ennuyé, mais je ne crois pas
qu'il soit une seule fois question de l'acceptation de la mort de son père par Cilian Murphy, il avait besoin de penser qu'il l'aimait.

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MessagePosté: 10 Nov 2012, 11:57 
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Z a écrit:
Swann a écrit:
C'est un film mental qui exige une concentration extrême de la part du spectateur


J'aime beaucoup le film, mais faut pas non plus exagérer. L'univers est tellement dense, et Nolan tellement soucieux de le rendre compréhensible, que le film est constamment parasité par l'énonciation des règles et des codes (didacticiel à rallonge). Même le plus teubé des spectateurs n'a qu'à lire les sous-titres pour avoir la notice... C'est souvent lourd d'ailleurs, ça pèse sur le film.


Oui, c'était peut-être exagéré de ma part. Si ça ne tenait qu'à moi, j'enlèverais tout ce qui suit mental. Cela dit, je n'ai pas été gêné par le côté didacticiel du film, qui est bien là au début du film, mais que je n'ai pas trouvé lourd, puis qui disparaît... Comme je l'ai dit dans ma critique, les codes que mettent en place Nolan et Cobb sont peu à peu détruits un à un pour la mission principale du film. Nolan déconstruit l'édifice qu'il a patiemment mis en place pour en ériger un nouveau. C'est ça qui est fort, je trouve, avec ce film.

Z a écrit:
Sans compter que chaque rêve est un film d'action ou un souvenir triste (ici par d'univers onirique façon Fisher King), ce qui renforce l'aspect blockbuster gratuit, alors qu'un traitement intimiste à la Memento aurait été - à mon humble avis - plus intéressant sur le même sujet.


Je comprends. J'adore l'univers onirique de Fisher King, j'adore les délires visuels de Gilliam en général, en fait. Il n'empêche que Inception est avant tout, à mon goût, une histoire de cambriolage dans l'esprit du personnage de Cillian Murphy. Le gars doit démanteler l'empire financier de son père, quand même ! Et puis, très vite, on le dit : Cillian Murphy a été formé à la l'extraction, son subconscient construit une garde dès qu'une personne extérieure s'introduit. Disons que j'ai trouvé le "réalisme" des rêves justifié.... Même si quelque part frustrant, je te l'accorde.


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MessagePosté: 10 Nov 2012, 12:00 
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Petit joueur

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Billy Budd a écrit:
Swann a écrit:
Finalement, c'est un film sur le deuil :
Cillian Murphy doit accepter la mort de son père, mais pour cela Cobb doit accepter celle de Mal
. Au travers de tout ce dispositif complexe, de cette froideur apparente que l'on reproche tant à Nolan, et qui me semble pourtant pas si présente que ça, il y a juste une histoire d'amour entre deux êtres déchirés.


Euh, je ne l'ai vu qu'une fois et me suis surtout ennuyé, mais je ne crois pas
qu'il soit une seule fois question de l'acceptation de la mort de son père par Cilian Murphy, il avait besoin de penser qu'il l'aimait.


Disons plutôt qu'il faut que
Cilian Murphy fasse le deuil de son père. En effet, il ne garde en souvenir qu'un mot : "Déçu", et il reste bloqué là-dessus, il ne sait pas ce qu'a voulu dire son père...


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MessagePosté: 10 Nov 2012, 12:18 
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Arretez de pinailler sur des détails !


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MessagePosté: 03 Avr 2020, 22:56 
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Tu sais que t'es dans un film sérieux quand ton comic relief c'est Tom Hardy...

Revoyure de cet incroyable film qui m'a re-laissé sur le cul. Ça en est presque énervant tellement c'est soigné, tellement ça fonctionne à pleins de niveaux (lol), tellement ça en impose à chaque moment et dans chaque choix. Rien que la sécheresse des cuts entre chaque niveau a un effet boeuf alors qu'il n'y a littéralement RIEN, juste un cut. C'est tellement pur et cash.

D'un simple point de vue scénaristique, c'est jouissif de regarder le film et d'imaginer Nolan l'écrire, capter pourquoi il a mis telle réplique à tel endroit, comment il a expliqué tel truc en amont par telle démonstration... Et c'est scandaleux que le film n'ait même pas été nommé à l'Oscar du montage.

Seul défaut: le déficit d'émotion. Lorsque DOM COBB dit adieu à Mal, je devrais être en larmes, et ça ne me fait tout simplement rien. Le prix à payer de cette rigueur chilly nolanienne. En fait je suis plus ému par les répliques de Saito sur le half-forgotten dream et être young men à nouveau.

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MessagePosté: 04 Avr 2020, 14:47 
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Qui-Gon Jinn a écrit:
Tu sais que t'es dans un film sérieux quand ton comic relief c'est Tom Hardy...

Revoyure de cet incroyable film qui m'a re-laissé sur le cul. Ça en est presque énervant tellement c'est soigné, tellement ça fonctionne à pleins de niveaux (lol), tellement ça en impose à chaque moment et dans chaque choix. Rien que la sécheresse des cuts entre chaque niveau a un effet boeuf alors qu'il n'y a littéralement RIEN, juste un cut. C'est tellement pur et cash.

D'un simple point de vue scénaristique, c'est jouissif de regarder le film et d'imaginer Nolan l'écrire, capter pourquoi il a mis telle réplique à tel endroit, comment il a expliqué tel truc en amont par telle démonstration... Et c'est scandaleux que le film n'ait même pas été nommé à l'Oscar du montage.

Tout est pardonné.

Citation:
Seul défaut: le déficit d'émotion. Lorsque DOM COBB dit adieu à Mal, je devrais être en larmes, et ça ne me fait tout simplement rien. Le prix à payer de cette rigueur chilly nolanienne. En fait je suis plus ému par les répliques de Saito sur le half-forgotten dream et être young men à nouveau.

Fais gaffe quand même.

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MessagePosté: 04 Avr 2020, 14:59 
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Robot in Disguise
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lol, film que j'ai toujours adoré pourtant (les autres défauts de 2010 se sont estompés sauf le déficit d'émotion)

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MessagePosté: 04 Avr 2020, 15:00 
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Qui-Gon Jinn a écrit:
Seul défaut: le déficit d'émotion.

J’aurais dit l’exposition indigeste.


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MessagePosté: 04 Avr 2020, 15:02 
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Robot in Disguise
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Inscription: 13 Juil 2005, 09:00
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Déjà-vu a écrit:
Qui-Gon Jinn a écrit:
Seul défaut: le déficit d'émotion.
J’aurais dit l’exposition indigeste.
J'adore, au contraire. Y a un côté "fun and games" à expliquer/démontrer le truc, comprendre ses ramifications. J'avais oublié la réplique en passant sur le shared dreaming inventé pour l'entraînement des soldats.

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