Forum de FilmDeCulte

Hier soir, 20h, cinéscope à louvain la neuve. salle quasi complète

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J'ai beaucoup aimé aussi.

Après avoir parcouru les avis, je suis tombé sur l'histoire de la plainte d'un spectateur en raison d'une BA trompeuse.

Je suis donc allé la visionner.

Rarement je n'ai été aussi heureux d'éviter les BA.

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There is no such thing in life as normal

SANG-FROID au Québec.

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DEBILE.

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Bizarre qu'ils n'aient pas traduit ça par CONDUIRE.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Ptet qu'ils savaient pas s'il fallait le traduire CONDUIRE, CONDUIS ou CONDUITE...

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Musique totalement fascinante et pourtant je n'aurais jamais pensé apprécier ce tchac-poum synthétique qui sonne comme si on était en 86 - et participe un peu de l'ambiance eighties du film : j'ai souvent repensé à un polar des frères Coen 1ère période comme "Blood Simple" mais sans l'humour ou au Jarmush de l'époque Mystery Train-A night on earth.
Mais j'adore comment la musique se rend totalement indispensable au personnage de Gosling avec ces choeurs féminins qui lui susurrent à l'oreille et cette rythmique synthétique suffisamment rapide pour la conduite mais pas trop hystérique. C'est de la musique parfaite pour un solitaire en bagnole en pleine regression intra-uterine

Le reste du film me parle moins. Ryan Gosling dans la première partie est convaincant avec son sourire à la limite de l'autisme et sa semi-incapacité à vivre son histoire naissante. Quand il prend les choses en main, c'est assez épouvantable - la scène du motel où il menace sa complice de fait avec son doigt ganté pointé sur elle est presque génante. Carey Mulligan est adorable mais elle disparait aux deux tiers du film et on ne la revoit que pour une scène de l'ascenseur pour le coup aussi extraordinaire que mal branlée sur le plan du récit. Et puis je n'ai jamais aimé les plans trop chiadés avec des éclairages bizarres, là il y en a plein surtout dans l'appartement de Carey Mulligan avec des clairs obscurs que je trouve fatiguants à regarder et surtout pas utiles (la scène où le petit lui donne la balle est emblématique à cet égard, on n'y voit rien).
Bel objet, BO à tomber mais il y a encore de sacrés défauts.

Bel Hommage en Flash:

http://vimeo.com/32905466

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Le mec qui a vu un clou a la place d'une cartouche

LOL me suis dit la même chose, mais je me suis surtout dit "c'est joli"

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Moi jme suis dit que c'était moche et inintéressant !

Grosse claque sur les 20 premières minutes.
C'est d'une maîtrise incroyable, j'étais presque en larmes sur le premier plan de la ville illuminée : pendant un instant avec la musique en fond, je me serais cru dans Blade Runner.

Puis le scénario s'écaille peu à peu... jusqu'à terminer à un niveau proche d'une prod' de Luc Besson. Heureusement la maîtrise de la caméra est toujours là.
Et un peu comme Z je trouve qu'une fois que Gosling s'embarque dans l'affaire du braquage, il perd de son charme mystique.
Aussi sur le gore, il y a quelque chose qui cloche, ça n'a pas fonctionné...


4,5/6 d'un mec qui a l'impression d'avoir vu la moitié d'un chef d'oeuvre.

Au fait, je l'ai revu et moi aussi le gore m'a plus gêné que la première fois. Ya clairement des plans en trop dans 2-3 scènes, c'est vraiment dommage. Et du coup ça a même dégouté ma copine qui aimait bien le film jusque là.

5/6 quand même.

Grosse claque (en retard comme d'hab)

6/6.

Putain la scène de l'ascenseur tue tout. La bo est au poil, la photo est au poil.

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Je comprends mieux tes messages d'hier dans la shoutbox.

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