Forum de FilmDeCulte

j'ai déjà cité des exemples.




beh post-apocalyptique, en quête de l'enfant salvateur, la place des militaires, etc. J'ai pas dit, c'est du CoM en light, mais y'a comme un vent de CoM en light... c'est plus subtil

_________________

*

Ouais ouais je sais j'ai vu mais je trouve vraiment que c'est un gros archétype du genre quand même. Surtout que le coup des immeubles de luxe et compagnie The Land of the dead en avait fait quelque chose d'interessant il y a quelques années seulement. Après les deux films ne se ressemblent pas et 28 mois, je l'ai dit, est assez neuf, mais en aucun cas en ce qui concerne l'aspect politique. Là c'est du réchauffé.



ah oui le fait que l'enfant puisse aider à comprendre le phénomène. Ouais exact mais ça reste thématique, au départ je croyais que tu parlais d'un rapport esthétique c'est pour ça que j'ai.... heu... bloqué.



En effet.

_________________

Salut, je viens de le voir dans la journée... et je ne sais pas trop quoi en penser.
L'esprit reste fidèle par rapport au premier opus, on est bien dans l'ambience.
Mais au nivo scenar, en fait je trouve ça bof, ça semble du vite fait.
Je l'attendais avec impatience et finallement assez déçu... Pas plus de 4 sur 10 à mon avis

Bon, ben je suis un petit peu déçue... le film est efficace, mais il ne transcende pas le genre.

Je passe sur les scènes d'action brouillonnes où l'on ne comprend rien à ce qui se passe, les facilités scénaristiques, tout a été dit.

Ce qui m'agace par contre, c'est à quel point le film est passé à côté de son sujet, qui est : l'amour d'un père se transformant en pure obsession meurtrière, l'impératif du biologique prenant le dessus sur les liens sentimentaux, la déshumanisation brutale du personnage de Carlyle.

Ce n'est pas traité comme cela aurait dû l'être : ça aurait pu, si les personnages étaient attachants, s'il y avait eu un vrai traitement psychologique sur la relation père-enfants, être incroyablement HORRIFIQUE, monstrueux, révulsant de voir le père partir à la chasse de son fils.

Voir un tel potentiel, sur le plan de la narration, être aussi bâclé, c'est énervant.

_________________
« Celui qui croit qu'une croissance exponentielle peut continuer indéfiniment dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste. » (Kenneth E. Boulding)

Question : entend-on pendant le film, comme pendant la bande-annonce, cette horreur de Muse ?

_________________
There is no such thing in life as normal

Quel gachi ce film, les défauts sont vraiment trop gros pour rattraper les innombrables qualités, dommage.

C'est pas faux..

Hal5 j'aime tes signatures.

_________________
Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

voilà, c'est exactement ce qui m'a fait sortir du film vite fait et ça n'a été qu'en empirant ensuite, pourtant il y a plein de bonnes choses (visuellement surtout), dommage, j'avais adoré le 1er, ici je me contente d'un 2/6 (en plus la scène de l'hélico et surtout la fin c'est non chez moi)

_________________
Janet

Très bon, très fort. Il y a quelques défauts, notamment dans la propagation du virus et le perso de Carlyle (le cinéaste explique un peu sa volonté dans les bonus du dvd, mais je ne suis pas convaincu), qui font que j'aime largement mieux la première partie (en gros, les 45 premières minutes). Mais ça reste tendu à souhaits, dans la droite lignée du premier en terme de mise en scène, montage, musique... Un bon film d'horreur.
5/6

_________________
Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
Commande | Site perso

[modéré]

_________________

[modéré]

_________________

100% spoilers:

Je n'ai pas pu tenir plus de la moitié.
Une honte. J'ai vraiment de la peine.
J'ai adoré le premier ce qui augmente ma déception.
Le scénario est une blague: Le héros laisse sa femme pour morte, et elle aurait du l'être, puis retrouve ses enfants qui en plus d'être les seuls immunisés contre le virus sont les seuls à parvenir à entrer dans le coin le plus interdit du monde et tout ça le jour où ils retrouvent leur père, pour aller chercher des.. chaussures et faire du trampoline !!!!!!!!
Déjà là, j'ai du mal, beaucoup de mal. Autant de coïncidences, c'est de l'humour pour moi.
Ensuite, le mari retrouve sa femme sans surveillance, grâce à un badge lambda il entre dans le quartier HS, alors que c'est LE DANGER N°1 au monde, il s'échappe contaminé et bute militaires armés sur militaires armés sans attirer l'attention avant 10 bonnes minutes.
Là, je commence à avoir mal à l'intelligence.
Puis, les militaires parlent d'un "code rouge" genre le truc super au point, bien réfléchi pour endiguer LE DANGER N°1, le truc le plus grave qui puisse arrivé sur Terre, ils font quoi ? Ils entassent tout le monde dans un sous-sol sans même savoir si l'un d'eux est contaminé et laisse une porte sans surveillance par laquelle entre qui ? Le père contaminé alias Mr LE DANGER N°1.
Là, STOP quoi.
Le tout bourré d'effet dynamique à deux sous, non non... notamment la scène de l'attaque du sous-sol qui est UNE HORREUR à regarder, vous avez bien compris qu'il s'agit de la caméra et non des tripes.
J'ai survolé le reste, on y voit quoi LE BRULOT ANTI-MILITAIRE !!!!! Comme c'est original !! C'était déjà la partie la moins réussie du premier et ils nous refont le coup ! Sauf que là, c'est moins subtile, on se moque de leur maladresse en fait, la peau de banane quoi...
Puis le film continue, on se retrouve avec les enfants, la jolie médecin, le beau militaire et une groupe de survivants (groupe qui va forcément servir de chair à pâté), idée lumineuse et un hélicoptère décapiteur (encore de l'humour).
Bon, la suite est presque anodine: les derniers survivants sont les enfants et évidemment le dernier zombie à apparaître à l'autre bout de la ville après un arrosage de la ville au napalm et des snipers est... le père. -fou rire-
Ce n'est pas un 28 Jours Plus Tard 2, juste un 1.1, une série B quoi limite comique.


Seule la scène d'intro valait le coup d'oeil au moins elle te mettait à la place du héros, c'était avant que les autres perosnnages te semblent aussi stupides que les "rageux".
AMEN

1,5/6 (pour la scène d'intro et 50 minutes de Robert Carlyle)

_________________
Un barbu remplace un coeur pour me plaire...

lol

C'est vrai que le scénario est franchement calamiteux et gâche royalement le film.

_________________
Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Bon j'avais bien aimé Intacto mais là quelle déception...
Le scénario est tellement minable que j'ai failli tout arrété au bout de 30 minutes tellement je trouvais ça ridicule. Et ça ne m'arrive pas souvent de vouloir arréter un film avant la fin.
(cf. deux messages plus haut... il y a des facilités énormes dans le scénar, clairement ils ne se sont pas fait chier).

Du coup jamais un début d'intérêt pour ce qui se passe, pourtant en changeant quelques trucs ça aurait pu être bien...
Comme en plus de ça c'est limite filmé n'importe comment à certains moments.

0.5/6 pour moi.