Forum de FilmDeCulte

Depuis l'Antiquité au moins, il existe des histoires de changement de sexe.

A ma connaissance, il n'en existe pas de changement de couleur de peau ou de cheveux, donc cela ne doit pas tout à fait être la même chose.

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There is no such thing in life as normal

Mickael Jackson, définitivement en avance sur son temps.

À partir de là, on peut faire des combos avec le blanchiment de la peau des Noires et des Jaunes à cause du colonialisme blanc.
Alors que c'est une différence moyenne de mélanine entre mâle et femelle (différence qu'on peut étendre à la longueur des cheveux). Si ya un truc pas trop mal dans cette époque de confusions des valeurs, c'est que la pédophilie est de moins en moins acceptée.

Souvenir que Freddie Mercury, qui s'était très mal entendu avec MJ quand ils ont décidé de travailler ensemble, utilisait le pronom "she" pour parler de l'Américain.

Mais au final, ils le sont aussi pour eux (en tout cas pour la majorité), puisqu'ils/elles passent ont la volonté de passer par un gigantesque et douloureux parcours médical pour tout changer et de """transformer""" en une personne du sexe opposé.

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Netflix les gars, Netflix.

Les changements de couleur de peau par mutations successives de parents en enfant sont pourtant matériellement plus explicables (ne fut-ce que par l'albinisme) que les transformations que l'on trouve dans Ovide ou l'origine semi-divine d'Achille (celles-ci sont d'ailleurs elles-mêmes des explications, psychologiques).

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Sur un secrétaire, j'avise deux statuettes de chevaux : minuscules petites têtes sur des corps puissants et ballonés de percherons. Sont-ils africains ? Étrusques ?
- Ce sont des fromages. On me les envoie de Calabre.

Jean-Paul Sartre

Non, l'opération chirurgicale est loin d'être systématique.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Cte discussion

Pourquoi faudrait il avoir un niveau minimum de représentation? Effectivement c'est à chacun de placer le curseur là où il le souhaite mais est ce si dûr que ça à accepter?

Le fait que ca relève de sa vie publique ou privée a t-il quelque chose à voir avec une "définition qu'on se fait de ce qu'est le sexe"?
J'ai l'impression que tu nous ressort encore ton argument "ce n'est pas un problème qui me touche donc rien à faire de leur situation".

Raté : je me fais juste l'avocat du diable. Moi je trouve légitime que la société dans son ensemble pose ces questions, et c'est toujours la même chose, en fait : le fait que certaines choses aient valeur d'évidence pour les SJW ne veut pas dire que la société dans son ensemble soit prête à avaler ça sans de longs atermoiements.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Ce qui est fatiguant c'est les gesticulations des forçeurs. Respecter le pronom qu'une personne trans s'est attribué, bien sûr. Mais quand tu vois des Pete Buttigieg et autres Kamala Harris avec leurs bio twitter qui précisent "He/him" ou "She/her" comme si on avait un doute, tu te dis qu'on est vraiment dans la pose.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Tu n'imagines même pas à quel point j'envie ceux pour qui tout est si simple.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Ouaich je faisais juste une blague de merde (vue, vue et revue) sur la peau de MJ.

Oui, oui. C'est juste que j'ai toujours un frisson à l'idée de la personne Michael Jackson. Même si je suis tout à fait capable d'apprécier certaines de ses chansons.

C'est juste que je suis une groupie de FM et que j'aime imaginer qu'un gars, qu'avait pourtant pas peur du sale, se soit senti tellement mal à l'aise en sa présence que ça a fait capoter leurs duos. Pendant que le gentil McCartney ou le tombeur de ses dames Mick Jagger n'ont pas l'air d'avoir vu de problèmes.

Bon, je dis ça, la version officielle c'est le lama en studio.
Quand côté MJ, c'est la coke dans le pif de FM.

Et rien ne prouve que MJ était pédo d'ailleurs.

Je sais pas trop où mettre ça alors je le pose ici : The Animatrix.

Effectivement inégal mais plutôt bon dans l'ensemble même si ça semble quand même très réservé à ceux qui ont vu le 1er, sinon certains épisodes doivent être incompréhensibles. Difficile aussi de recontextualiser à chaque fois sans être trop redondant.

Vu dans cet ordre, pas forcément logique, sauf en terme de qualité les moins bons étant en premier :

Final Flight of the Osiris
The Second Renaissance Part I
The Second Renaissance Part II
Kid's Story
Program
World Record
Beyond
A Detective Story
Matriculated

Et je classerais ça comme ça :

Beyond
Bonne association du délire permis par le concept de Matrix et l'animation, et notamment l'intrusion du mystère dans le quotidien. C'est très classique par ailleurs dans la forme mais c'est ça qui le rend intéressant.
Bien aidé par le chat quand même parce que ça peut être abscons (Mme qu'a pas trop de souvenir de Matrix a rien compris).
Et ça fait bizarre d'entendre de l'américain et pas du japonais.

World Record
Superbe idée qui enrichit l'univers et super mise en scène. Ca m'a même fait apprécier le style graphique plutôt rebutant au 1er abord.
Malheureusement plombé par son dernier acte inutile.

A Detective Story
Encore une super idée avec cette sorte d'uchronie mêlant le film noir classique et Matrix. Vraie plus-value dans l'univers permettant d'imaginer que les humains sous emprise vivent dans des mondes parallèles.
Graphiquement splendide mais malheureusement ne différencie pas assez hommage et clichés.

Matriculated
Là encore bon enrichissement de l'univers avec un inversement des rôles et l'occasion de voir une poche de résistance humaine hors de Zion (ce nom... genre de trucs insupportables dans les films).
Graphiquement, c'est du gros délire proposant des images superbes et d'autres bien laides (les humains, j'arrive pas, l'impression de voir en 3d de sales charadesigns des ignobles animés ricains des années 80).
Cruel et mélancolique.

Program
Classique en terme de japanime, ça envoie du gros bois mais ça n'a aucun intérêt.

The Second Renaissance Part I
The Second Renaissance Part II
Incompréhensible division en 2 parties.
Très joli mais vaguement chiant avec sa narration alors que ça raconte pourtant la prise de pouvoir des machines dans un mélange de Blade Runner, Terminator et... Highlander 2... enfilant les perles et des idées bof (la Nation Machine ou les humains qui cachent le soleil, on est crétin ok mais bon...).

Kid's Story
Pas fan du graphisme outré.
Pas fan du propos sur l'adolescence incomprise.
Pas fan de l'intérêt de reparler de la prise de conscience de la Matrice alors qu'on l'a eu avec Neo.
Pas fan du personnage de toute façon.

Final Flight of the Osiris
Vulgaire, sans intérêt narratif et terriblement pauvre en terme de mise en scène comparé aux films.
Ca devait être le top en photo-réalisme à l'époque mais c'est bien le seul intérêt.

Au-delà de la couleur de la peau, il y a quand même l'ADN. J'ai lu que certains blancs passaient des tests de DNA espérant y trouver un pourcentage de descendance non caucasienne. Espoir de se sentir plus exotique. Quête identitaire. Je me rappelle d'ailleurs l'histoire de cette prof d'université, experte des causes autochtones, qui se présentait elle-même comme une amérindienne alors qu'elle n'avait qu'une arrière-grand-mère vaguement aborigène. Elle fut bannie de l'université où elle enseignait.

Un texte intéressant sur l'identité vs l'ADN

https://www.nytimes.com/2019/07/12/us/w ... tests.html

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Oui, donc des obsessions récentes à l’inverse de la dysphorie de genre qui nous occupe.

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There is no such thing in life as normal