Forum de FilmDeCulte

oui, je vois, sauf que les AVS, c'est pas du tout comme des emplois-jeunes. Déjà c'est ultra-précaire, donc pas de travail dans la longueur, et ce sont des postes- non-qualifié, où sont recrutés très souvent des pesonnes en grande difficulté personnelle. Enfin, de ce que j'en sais, pas le courage de lancer une recherche ce soir.

J'ai l'exemple de mon frère, directeur d'école à Trappes (en ZEP), qui ne cracherait pas sur du personnel en plus, mais qui ne sait pas quoi faire de son AVS, parce qu'elle-même n'est pas capable de faire grand chose, et certainement pas ce pour quoi elle a été théoriquement recrutée (de l'animation ce me semble). Il serait même plus simple pour lui de ne pas l'avoir.

lle : Et vous, Mr Sarkozy, savez-vous quelle est la part du nucléaire ? Hein ? Vous ne savez pas ?!?
Lui : Si je sais : 50% !!!
Elle : Ha ha ha, il l'a dans le dans le cul le lutin ! C'est 17% ! Pauvre tanche !
Lui : Qu'est ce qu'elle me dit la gourdasse ? 17% ?!? C'est le taux d'utilisation de tes neuronnes grosse vache du Poitou !
Elle : Rrrro l'autre il sait même pas quelle est la part du nucléaire et il veut être président, ça me fait trop rigoler, ha ha ha, je ris, regardez mes dents !
Lui : Me cherche pas salope ou je te rappelle pour les sous-marins ! Si tu continues je te ficelle et je t'enferme dans une Centrale Nucléaire Finlandaise de Quatrième Génération !
Elle : TROISième génération ! Il a faux, il ne sait pas ! Arlette Chabot, il ne sait pas pour les générations ! T'es mal, enculé de petit flic de mes deux !?!
Lui : Et comment tu les finances tes économies d'énergie super nany ? Hein ? Tu prends le pognon de la Sécu ? Ni vu ni connu je t'embrouille !
Elle : Ouais ! Et je demande aux partenaires sociaux. Eux, ils savent.
Lui : Ah ouais ?!? Et pour les 35 heures ?
Elle : Les partenaires sociaux, tout pareil.
Lui : Et les retraites ?
Elle : J'ai l'intention d'en toucher deux mots aux partenaires sociaux...
Lui : Et la Turquie dans l'Europe ?
Elle : J'ai un très bon ami chez les partenaires sociaux.
Lui : Et la bite de mon oncle ?
Elle : Je suis sûr que les partenaires sociaux ont une idée sur le sujet...
Lui : Je sens que t'es énervée. Dis-le que t'as les nerfs. T'es fragile. Allez hop hop hop, on craque s'il-te-plaît, ça fait deux heures que je me retiens de t'en coller une !
Elle : Je suis en colère mais pas énervée.
Lui : T'es vénère.
Elle : Rrrooooo, c'est laid de dire ça. Petit macho de mes couilles, je suis en colère j'te dis, pas énervée... Tête d'anus !
Lui : T'as les nerfs, t'es fragile...
Elle : Pas du tout. J'ai la colère juste.
Lui : Nananannère, tu t'es énervée, tu ne ferais pas une bonne Présidente. Tu appuierais sur le bouton rouge trop vite...
Elle : Je suis sereinement tranquille mais t'as dépassé les bornes espèce de fiante des Hauts-de-Seine.
Lui : Vous voyez Arlette Chabot, she's loosing control.
Elle : C'est bon maintenant ! J'ai une question pour vous espèce de poil de loutre !
Lui : Faut rester calme surtout, pas la tête, pas la tête !
Elle : Combien y'a de gargouilles à Notre Dame, hein, combien ? Ha ha ha ha ha, il ne sait pas !!! Il ne sait pas, na na nère le loup !
Lui : 56 ! Pas une de moins. J'te nique la Charentaise. T'es mal ? Tu prends le 50/50 ou t'appelle un ami. J'ai le numéro d'Eric Besson si tu veux...
Elle : Fais péter, je dois lui parler de Cécilia. Au fait, comment va-t-elle ?
Lui : C'est pas gentil de dire ça. C'est vilain. Bouhouuuu, que c'est méchant...
Elle : L'autre il donne des leçons de territoire mais il sait pas garder sa femme. J'me marre, p'tite bite !
Lui : C'est extraordinaire. Alors il suffirait de ne pas être de gauche pour avoir une petite bite ?!?
Elle : Rrrooo, je reconnais votre technique, toujours à pleurnicher dès que vous êtes mal.
Lui : Vous êtes trop méchante. Moi je suis super zen. OK j'ai une p'tite bite, mais je m'en sers moi...
Elle : Tout seul en feuilletant Vélo Magazine ?!? Ha ha ha, passe la cinquième Nico, y'a Drucker qui t'attend !

hein?
tu disais quoi alors? j'ai peut-être mal compris...
j'ai pas dit que tu étais sexiste, j'ai dit que ta remarque l'était, en tout cas, exprimée comme ça.

certes, mais les emplois-jeunes, c'étaient pas des chômeurs de longue durée qui prennent le taf par défaut, c'étaient souvent (mais j'ai p-ê tort, hein) des jeunes qui voulaient par la suite bosser dans ce domaine (qui n'est quand même pas un domaine comme les autres)

J'adore Hollande.

ouf qd meme Loïc Lemeur va rester en France

PARIS (AP) - Pas question de baisser les bras: alors que trois enquêtes publiées dans la nuit la donnent largement battue au second tour, Ségolène Royal a exhorté vendredi les électeurs à ne pas se laisser "assommer" et à faire "mentir" les sondages. Jouant le tout pour le tout, elle a attaqué Nicolas Sarkozy comme jamais en brandissant le risque d'émeutes en banlieue.

La messe déjà dite? Selon trois sondages publiés dans la nuit de jeudi à vendredi, la candidate socialiste serait nettement distancée par son rival UMP de 6 à 9 points. Selon une enquête TNS-Sofres réalisée au lendemain de leur duel télévisé, elle recueillerait 45,5% des voix dimanche, en baisse de 2,5 points, contre 54,5%. En terme de reports de voix, elle ne récupérerait qu'un gros tiers des électeurs de François Bayrou et moins de 60% de ceux d'Olivier Besancenot à l'extrême gauche.

Le baromètre quotidien Ipsos-Dell promet seulement 46% à la candidate du PS. Enfin, un sondage CSA-Cisco la crédite de 47%.

Une avalanche de mauvaises nouvelles que Ségolène Royal a balayée vendredi, appelant ses partisans à ne pas se laisser "assommer" et à se mobiliser "massivement" pour faire "mentir les sondages". "Ah, les sondages! Pour moi, le seul qui vaille, c'est le vote des Français", s'agace-t-elle dans "Le Parisien/Aujourd'hui en France". Il faut "se révolter contre cette façon de faire qui consiste à dire que puisque les sondages ont parlé, les urnes ont parlé", a-t-elle grondé sur RTL.

"Je me bats jusqu'au bout pour convaincre les Français", a-t-elle martelé, passant aussitôt à l'action. Ainsi a-t-elle redoublé de pugnacité contre son rival UMP, allant jusqu'à brandir implicitement le risque de nouvelles émeutes en banlieue, "tabou" jamais évoqué selon elle. "Le choix de Nicolas Sarkozy est un choix dangereux" et "à risque", a-t-elle asséné. Je "lance une alerte par rapport aux risques de cette candidature et aux violences et aux brutalités qui se déclencheront dans le pays".
Et de dénoncer les "provocations et violences verbales" de l'ancien ministre de l'Intérieur, dont le mot "Kärcher", "en particulier à l'égard des quartiers populaires". Des quartiers où il "ne peut pas se rendre sans susciter des mouvements qui le conduisent et le contraignent à être encadré par plusieurs centaines de policiers". Alors qu'on lui demandait si le choix était finalement entre elle et le chaos, Ségolène Royal a opiné: "il y a quelque chose de vrai dans cette vision des choses".

Féroce, elle a comparé son adversaire au président américain. Il "porte la même idéologie néoconservatrice". "Il imite George W. Bush dans cette technique du compassionnel conservateur. On pleure sur les gens. On utilise les faits divers et, lorsqu'on est aux responsabilités, on n'agit pas pour le présent et on promet pour demain", a-t-elle pesté. La veille, lors de son dernier grand meeting à Lille, elle l'avait accusé de "flatter ce qu'il y a de plus obscur ou de plus mesquin dans l'être humain".

"Eh bien! Elle n'était pas de bonne humeur ce matin. Ça doit être les sondages", a grincé Nicolas Sarkozy sur Europe-1 vendredi. "Comme elle doit sentir que le sol se dérobe sous ses pieds, c'est un phénomène bien classique: elle se tend, elle se raidit, pour le coup elle montre sa vraie nature", a-t-il lâché, dénonçant des attaques "outrancières" dignes d'un "combat de rue".
Au PS, l'heure était à la morosité un brin résignée. "Combattante", Ségolène Royal comptait se battre jusqu'à la fin de la campagne officielle vendredi à minuit. Elle devait effectuer dans la journée un ultime "Ségotour" en Bretagne, région où elle est arrivée en tête au premier tour le 22 avril avec 28,14% des voix, devant Nicolas Sarkozy (27,81%) et François Bayrou (22,55%).
Dimanche, elle votera dans son fief de Melle (Deux-Sèvres), avant de regagner Paris. AP

elle l'avait accusé de "flatter ce qu'il y a de plus obscur ou de plus mesquin dans l'être humain".

Ségo elle est colère... au poker c'est faire tapis



c'est beau ça ... rien a dire, limite ces emeutes seraient légitimes en gros
C'est moi ou les emeutes...ca fait un peu chantage qd même.



elle oublie un peu vite que si elle a était désigné par les militants PS comme candidate c'est justement parce qu'elle etait en tete des sondages et qu'elle etait la mieux placé pour battre sarko

Pas faux, d'autant plus que la réponse de Sarko est justement mesquine à souhait.