Forum de FilmDeCulte

Oui certains trucs m'ont échappé depuis. En fait je suis resté aux grandes lignes, là ça perd en sensualité.



Oui quelle fichtre capacité d'adaptation!



Chouette j'aime bien donner envie.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Bon ben je te souhaite d'aimer mais en fait je sais pas du tout.

oui ce commerce c'était une grosse arnaque

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Doll, it's a heartbreaking affair

je sais pas, je la trouve beurk. Pompeuse, Tony Scottienne... Et puis ça fait un brin compilation d'effets fautaushaupe...

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Le truc, c'est que la pose est banal au fond. tu vois y'a le côté "je souffre, regardez comme c'est dur"... Y'a pas de subtilité particulière, même si on peut pas dire que je déteste... M'enfin peut-être que ça colle avec le sujet du film, que j'avais évidemment envie d'aller voir (raaah, ce casting). D'ailleurs je rappelle, j'aime l'affiche, c'est juste que je sais pas c'u'il me veut ce mec qui hurle. Aussi bien la p'tite fille lui a marché sur la bite (pouet-pouet-pouet)

Ah "regardez comme c'est dur" c'est toi qui l'ajoute. Bon je sais pas comment l'expliquer mais c'est un argument qui m'énerve, le mec ne croise pas les bras avec un air digne de super héros alors c'est du sentimentalisme, alors que c'est juste un mec qui gueule. Et Munch alors? Enfin bon.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Oui mais on parle pas de peinture là... Mais d'un mec qui souffre...Je sais pas pourquoi je verraid le film et je t'en reparle

Oui pour Munch je plaisantais hum. Mais cet argument du sentimentalisme ça m'énerve, c'est comme ça qu'on arrive à un top avec des films de bébé en collants (oui c'est comme à Rome tous les chemins y mènent).

Allez viens plutôt voir la gueule des futurs candidats de la Starac en section TV.

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Doll, it's a heartbreaking affair

JE crois que t'as pas bien compris mon message initial... Je notais juste que pour les films à sentimentalisme exacerbé, on pourrait utiliser ce genre de pose (pas d'affiche, là ça va trop loin) pour bien montrer le drame... Tu vas pas te prendre la tête sur une affiche nom de dieu de bordel de couilles en tutu?

To live for lOOoOOoove means you'll never diiiiiiiiiiie
http://www.filmdeculte.com/film/film.php?id=1277

Un accident de voitures à Los Angeles. Pendant 36 heures, les destinées de différentes personnes qui ne se connaissent pas vont se nouer, autour du hasard et de quelques préjugés.


CRASH TEST DUMMIES



"Dans n’importe quelle ville, tu effleures des gens, des gens te bousculent. A Los Angeles, personne ne te touche, on est toujours derrière du métal et du verre". Les premiers mots prononcés par Don Cheadle affichent le ton d’un film où les personnages vont se rentrer les uns dans les autres pour pouvoir "ressentir quelque chose", créer un contact, désiré ou non - comme des voitures qui s’encastrent sur l’autoroute. Un rapport forcé ou une balle perdue. Paul Haggis, qui s’est distingué récemment en signant le scénario de la perle noire de Clint Eastwood, Million Dollar Baby, fait coup double avec cette œuvre dense et intelligente. Les prémices du film, et le discours autour d’une mégalopole déshumanisée, où le sens du toucher est anéanti, laissent peu à peu place à une étude de mœurs en forme de film chorale. Une histoire de hasards, mais aussi de préjugés, de racisme ordinaire, celui qui fait changer de trottoir ou qui se heurte aux situations les plus absurdes. Un metteur en scène noir réalisant une série télévisée bouffonne autour d’une famille afro-américaine. Un dialogue impossible entre un Hispanique et un vieil étranger arrivé récemment aux Etats-Unis. Des Perses pris pour des Arabes, ou un jeune flic idéaliste confronté à un aîné raciste.


LE REGNE DE LA PEUR



Autant de noeuds tragiques avec lesquels Haggis fait des miracles. Cent fois le film s’approche de la thèse de plomb, cent fois il l’évite. Grâce à sa sensibilité, son aisance à peindre des personnages complexes pris dans le tourbillon de situations ambivalentes. Haggis se plonge dans les racines du mal, ce qui pousse une personne à commettre un meurtre, une autre un vol, une troisième à mentir ou une dernière à se venger. Ce que cache la colère perpétuelle d’une riche épouse, l’agressivité d’une femme dans un hôpital. Collision dresse le décor d’une Amérique plongée dans une peur paranoïaque de l’autre et de ses différences. Et dans ce sentiment permanent d’urgence, au bord d’un précipice, le film se permet quelques instants de grâce, comme le récit d’un père à sa fille sur un manteau invisible qui protège de tout, et surtout, sommet émotionnel à la mise en scène étouffante, les secondes enfumées consécutives à un accident de voiture, illustrant en quelques images le propos du réalisateur. Un personnage encastré, la tête à l’envers, dans un amas de tôle qui le comprime. Puis un contact humain, une main étrangère posée sur le bras, qui n’inspire rien d’autre que du dégoût. Et autour, des flammes et l’essence qui s’écoule, prête à s’embraser. Soutenu par un casting quatre étoiles, Haggis signe un film riche, sans fard, et qui, dans sa grande noirceur, laisse place à quelques lumières ambiguës sur une terre d’accueil et un camion de clandestins, lâchés dans la ville sans que l’on ne sache comment la peur ou le hasard s’occuperont d’eux.

5/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

Déception devant ce Short Cuts très très appuyé... Certaines séquences sont impressionnantes, Matt Dillon et Don Cheadle sont excellents, mais virez moi cet Iranien de mes *****....

3/6

J'ai trouvé ça plutot très chouette.

C'est un bon scenario, qui comme le dit Bliss frole la ligne de la thèse lourdingue sans jamais la franchir. C'est plutot intelligent, très bien joué (sauf Fraser, poubelle cash), et joliment fait. Quelques choix musicaux m'ont paru limite, mais bon.

Ensuite, ça se veut très "Magnoliesque" sans en avoir la puissance (y'a une chanson très Aimée Mannienne à un moment d'ailleurs...).

Et puis, clou de la projection, je sors de la salle, et qui y'a à coté de moi:

Jessica!



En adepte de Lovin' Fun, je me suis incliné et suis resté bouche bée devant sa poitrine généreuse.

J'aimerais remercier particulièrement Paul Haggis d'avoir rendu cette rencontre possible...

Ah oui mais du mauvais Aimee alors parce que la chanson est pouilli pouilla je crois.



Moi en sortant de ma dernière projo à l'Etrange Festival, j'ai croisé Emmanuel de Brantes.



Je crois que ça clôt bien la manifestation.

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Es tu au moins allé dragouiller?

Moi j'ai estimé que n'ayant pas fait le ménage dans mon studio, c'était même pas la peine d'essayer...

Alors non, même 7 mois de célibat soit la période la plus longue de ma vie *putain si je rattrape cet horoscope de décembre 2004 qui me prévoyait l'année du cul du fric de l'amour et de la réussite sans faille je lui tonds la tête* ça n'a pas suffi pour me pousser à ça. Flutch.



Oui je devais pas avoir le bon caleçon non plus. Toujours important de penser à ça.

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Et comme je te comprends...



Ca et l'indicible peur du rateau public.