Forum de FilmDeCulte

lol ci-git Shabby .. oups ah non il était bon lui.

Et tu la places où la vérité de l'oeuvre?

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Dans ton cul.

C'est justement ça la difficulté. C'est le Graal des critiques.

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I think we're gonna need a helmet.

Moi ça me tueras toujours ces gens qui décident - pardon décrètent - que le cinéma c'est pas ci, ni même ça, parce que ci à fait ça et ça à dit ci.

Je sais pas moi je pense que le cinéma ça peut aussi bien être un mec qui décide de tout sur son film qu'un mec qui fait partie d'une énorme machinerie dans laquelle il est constamment pris en porte-à-faux (pas sur de l'orthographe) et au final ça peut donner de grands films comme des films insignifiants dans les deux cas. Et entre les deux y a même tout un monde de nuances.

Ah ah tu as changé ton message. Et en l'occurence, si les critiques cherchent la vérité de l'oeuvre dans mon cul, ils risquent de trouver de la merde.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Ca serait moins évident de se palucher. Tandis que déblatérer dans le vent, y a pas d'âge et tu peux t'y mettre dès tes 12 ans, c'est fun. Pour en revenir à Tetsuo, je rêve qu'il croise Kubrick, qu'il lui tienne ce même discours et que Stanley lui file une baffe.

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I think we're gonna need a helmet.

Kubrick est mort vous savez...

Oui, j'ai perdu l'habitude... et je me suis revu tirer une carte au jeu "Destin" :

"Vous pouvez balancer un DTC, votre seule opportunité".



C'est un point commun avec ceux qui fouillent dans le cul d'Ozu et de Kubrick.

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I think we're gonna need a helmet.

Question de point de vue.

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C'est gentil de me comparer à Ozu et Kubrick.

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2. Die.
3. Rot.

Ca me rappelle une anecdote du 115 cette histoire de merde / DTC. Il doit être 3h du matin, un samedi. Un mec appelle complètement défoncé, il ne veut pas de place d'hébergement, il veut juste discuter, nous insulter. Et il commence à le faire dans plusieurs langues. Alors pour passer le temps, le permanencier lui demande :

- Vous parlez plusieurs langues dites donc, vous en connaissez combien ?
- ASSEZ POUR TE FOUILLER LE CUL CONNARD !!!!

J'ai bien aimé la répartie spontanée.

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Ca c'est étrange je trouve. Un film c'est forcément une certaine vision du scénario et non pas le scénario en tant que tel. Bizarre de l'étudier à partir du film (à la limite comparer le support papier et le film pourrait être intéressant...).



Pas tant que ça, mais de toute façon, c'est trés flou comme sujet. Je n'ai pas vraiment d'idée arrété sur la question (pour une fois...). Mais il est vrai que ce que je vois à l'image peut m'inspirer de l'indignation, je peux trouver ça immoral. Mais dois-je reporter cette immoralité à celui qui à produit cette image ? J'en sais rien, même si j'aurais tendance à le faire...

Tu sais quoi, du haut de ma grande clémence je vais oublier toutes les vannes d'ado attardé et tous le mépris à mon égard que tu as posté dans tes derniers messages pour me concentrer sur ce que tu dis ci-haut. Ca m'intéresse vraiment car manifestement nos visions sont tellement divergentes que je suis curieux de savoir ce qui t'amène à tes conclusions.
Pourrais-tu développer s'il-te-plait ? En quoi un film n'est pas la vision d'une personne, en quoi le cinéma est un art collectif, c'est à dire, une forme d'expression à plusieurs voix ?

Je n'ai aucun mépris à ton égard, c'est ton discours que je critique. Quant aux vannes d'ado, je le prends comme un compliment venant d'un jeune vieux.



L'évidence ? Le bon sens ? L'expérience ? J'hésite.

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Ca parait assez evident non? Le fait qu'il y ait bien souvent un scenariste qui n'est pas le realisateur, ou du moins un co-scenariste divise deja un peu l'attention du realisateur. Puis, l'influence du directeur de la photo, des gens du decor, la sensibilite du monteur, des costumes, la facon d'interpreter des acteurs, la musique et que sais-je encore.

J'avouerais ne pas comprendre comment on peut omettre que ces elements sont determinents sur un film. Des control freak comme Kubrick, a ce niveau la (du style a qusiment interrompre une meuf chargee de la traduction francaise d'un de ses films en pleine salle d'accouchement je veux dire), ils sont plus que rarissimes. Et encore, meme dans son cas, je ne crois pas qu'on puisse lui imputer 100% de la perenite de ses oeuvres.