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MessagePosté: 16 Aoû 2005, 23:05 
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Avis rapide après revoyure : c'est toujours aussi énorme, du vrai, beau, intelligent et foisonnant grand spectacle.

Bourré d'idées, acteurs énormes (Cate Blanchett, bordel !), mise en scène incroyable, rythme de malade, B.O. absolument sublime (rah ce petit cliquetis de castagnettes récurrent...), vrais morceaux de bravoures spectaculaires (le crash, définitivement....) et de folie douce (tout le passage où Hugues s'enferme dans sa salle de projo)... Et puis un scénario épatant (les dialogues sont d'un dynamisme fou, la défense de Hugues lors des auditions de Brewster est excellement écrite...).

Voilà, je vais aller revoir mon top et regarder si je ne pourrais pas le rmeonter d'un cran ou deux... :roll:

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MessagePosté: 17 Aoû 2005, 00:10 
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Zad a écrit:
Avis rapide après revoyure : c'est toujours aussi énorme, du vrai, beau, intelligent et foisonnant grand spectacle.

Bourré d'idées, acteurs énormes (Cate Blanchett, bordel !), mise en scène incroyable (...)


Mwouais... Je ne suis pas vraiment au diapason, là...

Le biopic est un genre super casse-gueule, qui peut très vite virer au slalom (dans le genre "il faut passer toutes les portes sans en rater une").

Je trouve que c'est précisément le travers dans lequel tombe Scorsese ici (alors qu'il l'avait contourné avec élégance dans Raging bull, un comble!). On est condamnés à voir toutes les personnalités qui croisèrent un jour la route de Hughes (les maîtresses, les copains de beuverie, les adversaires...), tous les épisodes hyper-documentés de son parcours (l'ascension, les golden years, le jonglage avec la censure, la progression de ses phobies (ah, la séquence d'ouverture *merci Docteur Sigmund, combien vous dois-je?*)

Et non, je regrette, Cate Blanchett, que j'adore ailleurs, campe une Kate Hepburn qui se résume à une compil' des tics qu'on la voit employer dans ses rôles d'enquiquineuse (Bringing up baby et The Philadelphia story en tête). Qu'on ne s'y trompe pas, j'adore ces films et KH dedans, je ne fais que dire que dans la vie de tous les jours, elle ne s'exprimait pas forcément comme l'aristo "made in Ivy League" déjantée qu'elle incarnait souvent à l'écran!

Donc non, vraiment, non, j'achète pas. Par contre, Ali, anytime :D

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Ladyhawke.


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MessagePosté: 17 Aoû 2005, 01:52 
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Ladyhawke a écrit:
Et non, je regrette, Cate Blanchett, que j'adore ailleurs, campe une Kate Hepburn qui se résume à une compil' des tics qu'on la voit employer dans ses rôles d'enquiquineuse (Bringing up baby et The Philadelphia story en tête). Qu'on ne s'y trompe pas, j'adore ces films et KH dedans, je ne fais que dire que dans la vie de tous les jours, elle ne s'exprimait pas forcément comme l'aristo "made in Ivy League" déjantée qu'elle incarnait souvent à l'écran!


En tout cas le parler hâché, rapide, c'est vraiment celui de Hepburn, et j'ai du mal à voir quelqu'un d'autre que Blanchett pour l'incarner.

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MessagePosté: 17 Aoû 2005, 06:48 
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Blissfully a écrit:
Ladyhawke a écrit:
Qu'on ne s'y trompe pas, j'adore ces films et KH dedans, je ne fais que dire que dans la vie de tous les jours, elle ne s'exprimait pas forcément comme l'aristo "made in Ivy League" déjantée qu'elle incarnait souvent à l'écran!


En tout cas le parler hâché, rapide, c'est vraiment celui de Hepburn, et j'ai du mal à voir quelqu'un d'autre que Blanchett pour l'incarner.


Je vois mal qui que ce soit incarner Hepburn en s'en sortant, disons, moins mal que Blanchett, en cela je suis d'accord avec toi. Mais je me permets *humblement et nonobstant une dévotion immense pour vous, Monseigneur* d'insister sur le fait que la grande Kate n'adoptait pas en permanence son célèbre débit-mitraillette (l'accentuation chantante, un rien snob, de la Nouvelle-Angleterre, c'est autre chose). La scène où Blanchett fait du golf avec Di Caprio, pour moi, résulte d'une volonté de trop bien faire, comme si et le réalisateur et l'actrice avaient visionné L'impossible Monsieur Bébé en boucle avant de la tourner. Blanchett en rajoute même une couche au niveau du port de tête orgueilleux et un brin raide, ça m'avait violemment agacée.

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MessagePosté: 17 Aoû 2005, 10:32 
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Je trouve la première heure épatante, après ça se lasse suivre mais j'étais moins dedans (les scènes d'angoisse sont un peu répétitives et j'avais parfois l'impression de retrouver des bouts de films de scorsese en moins bien).
Cela dit j'aime bien la façon dont le film se termine.


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MessagePosté: 17 Aoû 2005, 14:58 
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Ladyhawke a écrit:
La scène où Blanchett fait du golf avec Di Caprio, pour moi, résulte d'une volonté de trop bien faire, comme si et le réalisateur et l'actrice avaient visionné L'impossible Monsieur Bébé en boucle avant de la tourner. Blanchett en rajoute même une couche au niveau du port de tête orgueilleux et un brin raide, ça m'avait violemment agacée.


si 'lon en croit le commentaire audio, Blanchett a visionné l'intégralité de sa filmo...

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MessagePosté: 17 Aoû 2005, 15:00 
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Je trouve le film très décevant car étouffant d'académisme. L'ensemble est bien, c'est très bien joué, filmé, mis en scène mais je ne ressens aucune émotion.


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MessagePosté: 17 Aoû 2005, 18:54 
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Ladyhawke a écrit:
Donc non, vraiment, non, j'achète pas. Par contre, Ali, anytime :D


+1 et 8) :wink:


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MessagePosté: 17 Aoû 2005, 19:18 
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Zad a écrit:
si 'lon en croit le commentaire audio, Blanchett a visionné l'intégralité de sa filmo...

Moi aussi. Ca fait pas de moi un excellent acteur pour l'incarner.

Bon, sinon, The Aviator, c'est un film vachement trop propret, surtout pour un Scorsese dont les films débordent en général de passion.
Dans sa filmo récente, ça se ressentait esthétiquement et, dans ses films plus ancien, dans la façon qu'il avait de prendre à bras le corps les aspects les plus épineux des thématiques abordées...
The Aviator c'est l'antithèse de ça : le film entièrement cadré par les conventions du biotopic, et puis Caprio a beau jouer de manière correct, je vois toujours l'acteur pas Hughes.
Bref, c'est un auquel je peux pas donner de gros défauts mais c'est loin de mes aspirations de spectateur.

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MessagePosté: 17 Aoû 2005, 19:32 
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vimes a écrit:
Dans sa filmo récente, ça se ressentait esthétiquement et, dans ses films plus ancien, dans la façon qu'il avait de prendre à bras le corps les aspects les plus épineux des thématiques abordées...
The Aviator c'est l'antithèse de ça : le film entièrement cadré par les conventions du biotopic


L'antithèse, je ne comprend pas bien. Des exemples? :idea:


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MessagePosté: 17 Aoû 2005, 20:18 
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Jack Griffin a écrit:
vimes a écrit:
L'antithèse, je ne comprend pas bien. Des exemples? :idea:

Je crois que le plus gros exemple que je puisse citer, d'un point de vue thématique, c'est la confrontation entre Hugues - armés de ses moultes phobies sociales - et Hepburn - femme en dehors de tout stéréotype social mais quand même assez mondaine.
Dans un autre film de Scorsese, je crois que ça aurait fait des étincelles, il y aurait un vrai questionnement sur la convergence et la séparation de ces deux personnalités... un peu comme dans Casino où la relation entre le personnage de DeNiro et celui de Stone faisait ressortir quelquechose. Dans Aviator, je troue le traitement ultra-quelconque qui n'apporte rien à la compréhension des personnages.

Il n'y a pas non plus de filtre sur le personnage de Hughes - et c'est là, je trouve, qu'on sent le cadre de la bitotopic se refermer sur le film - toute sa vie est abordée : on y voit le cinéaste, le défilé des célébrités, les procés, les ... bref, je n'ai pas vu un point d'encrage de l'intérêt de Scorsese sur le personnage; une certaine frange de sa vie ou de la personnalité de Hughes autour de laquelle il aurait pu développer une thématique personelle.

D'un point de vue esthétique, et si ma mémoire ne me trahit pas, il y a un usage quasi constant de la grue, une jolie lumière bien classique... bref, on a l'impression que les plans embrasse plus la logistique de la reconstitution méticulleuse que les personnages.

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MessagePosté: 17 Aoû 2005, 22:18 
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Ouhla il me faudrait une revoyure pour répondre correctement mais globalement je pense que l'on a tout de même à faire à du Scorsese pur jus, que ce soit dans les thématiques ou le traitement visuel.

vimes a écrit:
Jack Griffin a écrit:
L'antithèse, je ne comprend pas bien. Des exemples? :idea:

Je crois que le plus gros exemple que je puisse citer, d'un point de vue thématique, c'est la confrontation entre Hugues - armés de ses moultes phobies sociales - et Hepburn - femme en dehors de tout stéréotype social mais quand même assez mondaine.
Dans un autre film de Scorsese, je crois que ça aurait fait des étincelles, il y aurait un vrai questionnement sur la convergence et la séparation de ces deux personnalités... un peu comme dans Casino où la relation entre le personnage de DeNiro et celui de Stone faisait ressortir quelquechose. Dans Aviator, je troue le traitement ultra-quelconque qui n'apporte rien à la compréhension des personnages.


Je ne sais pas si le traitement est ultra quelconque mais la relation Hepburn-Hugues est une des choses qui m'a véritablement plu car j'ai senti un réel plaisir de la part du cinéaste de pouvoir faire revivre dans l'intimité ce couple mythique. Essentiellement dans sa première partie, le film est parsemé de ce genre de choses qui doivent être jubilatoire à mettre en scène pour le cinéphile qu'est Scorsese. On peut citer les scènes avec Eyrol Flynn, la demande de Hugues d'un surplus de caméra à Louis B. Mayer, le comité de censure avec le comparatif du tour de poitrine des actrices, le tournage de Hell's angel que nous suivons embarqué dans l'avion auprès de Hugues caméra au poing...On sent vraiment une effervescence et c'est génial à regarder.
Pour en revenir à la relation entre Hepburn et Hugues elle m'a paru crédible, bien plus que celle avec Ava gardner (mais la faute en revient peut être à Beckinsale). Scorsese et son scénariste on, je trouve, bien su montrer ce qui rapprochait les personnages, leur façon de prendre de haut et avec ironie le reste du monde (voir la scène du cours de pilotage) et la façon dont Hugues arrive à trouver un réconfort maternelle auprès du personnage de femme forte et indépendante qu'est Hepburn (peut être que le choix de Di Caprio, à l'éternel allure adolescente prend son sens). On sent une complicité et en même temps une fragilité dans ce couple, assez bien rendu chez les deux acteurs.

vimes a écrit:
Il n'y a pas non plus de filtre sur le personnage de Hughes - et c'est là, je trouve, qu'on sent le cadre de la bitotopic se refermer sur le film - toute sa vie est abordée : on y voit le cinéaste, le défilé des célébrités, les procés, les ... bref, je n'ai pas vu un point d'encrage de l'intérêt de Scorsese sur le personnage; une certaine frange de sa vie ou de la personnalité de Hughes autour de laquelle il aurait pu développer une thématique personelle.


Bah en ayant revu Kundun dernièrement, j'ai trouvé qu'Aviator pouvait être vu comme son frêre jumeau. Le perso du Dalai lama et Hugues, presque considérés comme des dieux dans le monde qui les entoure mais finalement condamné à la solitude, sont en fin de compte assez identiques. Et à travers ses personnages et leur destin hors norme, Scorsese pose (leur pose) des questions existentielles. Je pense qu'avec Kundun, Scorsese marque une étape importante dans sa carrière qui l'ammene vers une voie plus spirituelle. Le point d'ancrage il est avant tout sur le personnage et la façon dont il est montré , solitaire du début à la fin. Le point de vue existe bel et bien; on est dans la tête de Hugues.

vimes a écrit:
D'un point de vue esthétique, et si ma mémoire ne me trahit pas, il y a un usage quasi constant de la grue, une jolie lumière bien classique... bref, on a l'impression que les plans embrasse plus la logistique de la reconstitution méticulleuse que les personnages.


J'ai souvenir de plus de plans proches des persos que de plans larges mais y'a de beaux morceaux de cinéma quand même et la photo de Richardson, avec ce jeu étrange sur les couleurs, est comme d'hab parfaite.


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MessagePosté: 17 Aoû 2005, 23:21 
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Jack Griffin a écrit:
Je ne sais pas si le traitement est ultra quelconque mais la relation Hepburn-Hugues est une des choses qui m'a véritablement plu car j'ai senti un réel plaisir de la part du cinéaste de pouvoir faire revivre dans l'intimité ce couple mythique. [...] le film est parsemé de ce genre de choses qui doivent être jubilatoire à mettre en scène pour le cinéphile qu'est Scorsese. On peut citer les scènes avec Eyrol Flynn, la demande de Hugues d'un surplus de caméra à Louis B. Mayer, le comité de censure avec le comparatif du tour de poitrine des actrices, le tournage de Hell's angel que nous suivons embarqué dans l'avion auprès de Hugues caméra au poing...On sent vraiment une effervescence et c'est génial à regarder.

Voilà, on décrit la même choses : il y a beucoup de temps qui est passé à contempler la reconstitution historique (décors comme personnages), mais là où tu trouves ça génial, moi, je trouve que l'approche est très superficielle.

Jack Griffin a écrit:
Je pense qu'avec Kundun, Scorsese marque une étape importante dans sa carrière qui l'ammene vers une voie plus spirituelle.Le point d'ancrage il est avant tout sur le personnage et la façon dont il est montré , solitaire du début à la fin. Le point de vue existe bel et bien; on est dans la tête de Hugues.


bon, j'ai pas vraiment aimé Kundun... et à l'époque je savais pas qui était Scorsese.
Enfin bon, peu importe... d'accord sur le fait que le film adopte le point de vue de Hughes; enfin, je dirais que pendant certaines portions du film, c'est le cas... et bizarrement, c'est là que le film à un certain peps : l'ouverture avec le souvenir de sa mère le lavant, la toute fin avec la crise de paranoia; tout ça est assez bon parce que ce n'est pas Hughes vu par Scorsese mais le monde vu par Hughes.

Dans le reste du film, on a surtout droit à un regard extérieur (celui du cinéphile Scorsese la plupart du temps). Hughes qui sort hirsute de son cinéma, c'est ironique et c'est l'ironie de Scorsese. Hughes qui converse avec ses ingénieurs et leur demande l'impossible, c'est dénoté comme une demande hors-norme et c'est là encore un regard extérieur.
Scorsese aurait embrassé le point de vue de Hughes ou aurait abordé la vie d'une gars selon un angle bien choisi ( comme pour La Dernière Tentation du Christ), ça m'aurait convenu je crois... mais tel quel, ça m'a vraiment pas convaincu.

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MessagePosté: 18 Aoû 2005, 17:07 
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Zad a écrit:
Avis rapide après revoyure : c'est toujours aussi énorme, du vrai, beau, intelligent et foisonnant grand spectacle.

Bourré d'idées, acteurs énormes (Cate Blanchett, bordel !), mise en scène incroyable, rythme de malade, B.O. absolument sublime (rah ce petit cliquetis de castagnettes récurrent...), vrais morceaux de bravoures spectaculaires (le crash, définitivement....) et de folie douce (tout le passage où Hugues s'enferme dans sa salle de projo)... Et puis un scénario épatant (les dialogues sont d'un dynamisme fou, la défense de Hugues lors des auditions de Brewster est excellement écrite...).

Voilà, je vais aller revoir mon top et regarder si je ne pourrais pas le rmeonter d'un cran ou deux... :roll:


Cher Zad,

Je remarque de plus en plus que nous sommes très souvent parfaitement d'accord...

"The Aviator" sera haut placé, cette année... :)

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MessagePosté: 18 Aoû 2005, 20:27 
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