Forum de FilmDeCulte

Bon c'est un tres bon film avec une interpretation aux couteaux de tous les acteurs. Ils sont tous excellents même si le cabotinage de Nicholson reste malgré tout au dessus du lot. Il est jubilatoire a chaque scene.
Et puis merde un film qui comence avec gimme shelter des Stones ne peut etre que bon.
Bien sur ce n'est pas le meilleur Scorcese mais ca reste un tres bon film.
Tout a dejà etait dit

donc 4.5-5/6

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Ben j'ai pas accroché c'est tout... j'ai vraiment eu l'impression de voir un patchwork d'autres film du genre... C'est tout... Bon d'un autre coté j'ai jamais trop accroché a Scorsese, mais fallait bien que j'etrenne ma carte gaumont

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SwingKid

Gilda:" Me... Yes, I'm decent"

Pvb: "Si à la Saint Valentin elle te carresse la main, vivement la Saint Marguerite..."

la chanson du film en live with Mell Lisa Fischer

http://www.youtube.com/watch?v=dnm5Va_Q5Uo

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La première heure au diesel me fait redouter le bis de ma séance soporifique d'Infernal Affairs et je trouve que ça a vraiment du mal à prendre son envol. Puis un déclic et l'heure trente restante devient très brillante du point de vue de la mise en scène, du montage, de la tension, et se hisse à la hauteur de ses acteurs qui tuent tous...si ça ne tenait qu'à moi, Nicholson, qui me fait le même effet que Daniel Day Lewis dans GONY, monumental à chacune de ses apparitions, y remporterait son 4e Oscar dans un joli doggy bag.

Mais j'ai une petite réserve sur les dernières minutes flip-flap cours après moi j't'attrappe qui me rappellent que tout cela n'est, à mon sens, qu'une belle mécanique, très belle mais j'attends de Scorsese peut-être quelque chose de plus. Quelque part je préfère ses deux derniers films boursoufflés mais qui, dans leurs défauts, contenaient plus de grandeur que ce film là.

4/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

Martin Scorsese, 64 ans, réalisateur qui cloue ton bec. Punaise, quel film. J'ai jamais vu 2h30 passer aussi vite. Techniquement, il n'y a rien à dire, c'est même assez prodigieux. J'aime aussi beaucoup les personnages, et leurs acteurs. Di Caprio a une présence bien à lui, Damon est un connard délicieux, Nicholson un festival. Peut-être trop de morts qui se succèdent à la fin, mais c'est comme ça.

Et hop, top 10 !

5/6

Rapidement, parce que j'ai pas la tête à ça (pas encore lu le reste du fil) : jusqu'aux deux tiers, c'est un putain de film génial, immense et j'ai bien cru que ça nourrirait d'aise mon top 10 et mon petit bloc de 6/6.

Mais à partir de la j'ai l'impression que le film part un peu en sucette, qu'il s'accélère plus que de raison et que la fin, en conséquence, est bâclée. (Parce qu'il y a des trous dans le scénar', à la fin... )

Ce qui n'empêche toutefois pas Martin de foutre à genoux: la mise en scène est en béton armé, il y a des scènes d'anthologie, le montage est franchement surprenant, le montage son est excellent... Du bonheur, inventif et jouissif...

Et puis Nicholson, quoi... Enorme Nicholson...

Je découvre que le film fait 2h30 et j'en reviens pas: c'est passé à cent à l'heure et j'en aurais bien repris pour un tour...

Du coup 5+++/6, et j'enrage que la fin paraisse bâclée comme ça...

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C'est quand même hallucinant, le manichéisme des hollywoodiens, on leur dit "faut arrêter, le monde n'est pas tout noir ou tout blanc", résultat: ils font un méchant qui est gentil genre presque le gendre idéal *même s'il cogne un peu, pour faire croire* et un gentil qui est très très méchant. J'adore

Bon, en l'occurrence, j'ai beaucoup aimé le film, même si pour moi ça reste une "série B de luxe" (ce n'est pas péjoratif). C'est vraiment luxueux, bien réalisé, des acteurs au top (un bémol pour Nicholson mais je n'ai jamais été très fan), un suspense habile (qui culmine sur la rencontre dans l'immeuble), une course contre la montre vraiment prenante (qui va se faire découvrir en premier ?).
Non, c'est vraiment un chouette polar, même s'il ne dépasse pas son genre (le discours qu'il y a derrière est simpliste, et résumé dans le dernier plan ).

J'en rajoute une tartine, je prefére moi aussi le film original Infernal Affairs, bon c'est sur que niveau mise en scène le Scorsese est un cran au dessus mais narrativement l'original plus compacté s'en sort haut la main. En plus j'ai noté pas mal de faux raccords pendant la séance. Et puis le rôle de la psy développée, c'est pas franchement nécessaire, les deux qui tombent amoureux de la même fille c'est très lourd et très production americaine justement. Enfin pour ceux qui trouve que Les infiltrés arrive à éviter des clichés, c'est pas encore ça, voir la différence de traitement entre le méchant de l'original et du remake à la fin.

Les infiltrés : 3/6
Infernal affairs : 4/6

Euh... C'est quand même plus subtil que ça, non? Aucun des deux n'est vraiment "amoureux" de la fille...

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Voilà the departed est pour moi trop calibré pour un public américain on je n'y retrouve pas tout ce qui me plaisait dans l'original asiatique.

J'avais bel et bien lu un truc comme quoi Scorsese avait veillé à mettre des croix et des X un peu partout dans son film comme des "signs of an impending doom". En voici quelques exemples:

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

J'avais effectivement lu ça dans le dossier de presse.
C'est vraiment du symbolisme à deux balles...

Ben non sachant qu'on est pas censé le VOIR, voir quoi.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Quelle est l'intéret de le mettre alors ?