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MessagePosté: 19 Juin 2009, 22:27 
Karloff a écrit:
ce qui est inquiétant, c'est que ça devient fréquent.

N'importe quoi, tout ça.

Le pire, c'est les projos où on ne montre que quelques scènes du film... Grotesque.


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MessagePosté: 20 Juin 2009, 00:09 
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Jericho Cane a écrit:
Karloff a écrit:
ce qui est inquiétant, c'est que ça devient fréquent.

N'importe quoi, tout ça.

Le pire, c'est les projos où on ne montre que quelques scènes du film... Grotesque.

Euuuuh ça, ça n'arrive que très tôt avant la sortie, c'est de la promo, pas la projo de presse.

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MessagePosté: 20 Juin 2009, 19:25 
Film Freak a écrit:
Euuuuh ça, ça n'arrive que très tôt avant la sortie, c'est de la promo, pas la projo de presse.

Oui, mais se déplacer pour ça, dans une salle de ciné, comme si on allait voir une vraie projo, c'est tendu quand même.


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MessagePosté: 20 Juin 2009, 21:09 
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Vaut mieux l'avoir en journal
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Jericho Cane a écrit:
Film Freak a écrit:
Euuuuh ça, ça n'arrive que très tôt avant la sortie, c'est de la promo, pas la projo de presse.

Oui, mais se déplacer pour ça, dans une salle de ciné, comme si on allait voir une vraie projo, c'est tendu quand même.


Je ne vois pas ce que ça a de "tendu". Il n'y pas tromperie sur la marchandise, tu sais ce que tu vas voir et tu es libre d'y aller OU PAS. Ca n'a rien à voir avec une projo de presse où le film présenté, supposé terminé, est en fait incomplet.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)


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MessagePosté: 20 Juin 2009, 21:29 
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Jericho Cane a écrit:
Film Freak a écrit:
Euuuuh ça, ça n'arrive que très tôt avant la sortie, c'est de la promo, pas la projo de presse.

Oui, mais se déplacer pour ça, dans une salle de ciné, comme si on allait voir une vraie projo, c'est tendu quand même.

Euuuuh...non.

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MessagePosté: 21 Juin 2009, 00:39 
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Successful superfucker
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Les invitations pour l'ap du 2 Juillet en présence de Depp, Mann et Cotillard sont à retirer au MK2 Biblio dès le 27 Juin.


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MessagePosté: 04 Juil 2009, 20:40 
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Pas mal. J'en attendais rien de spécial, et c'est passé tranquille, ni déçu ni charmé. 4.5/6

Même avis que Cosmo et Karloff : c'est bien foutu, bien filmé (quoique le numérique se voit à mort et je trouve ça vraiment moche dans certains plans sombres), mais c'est quand même pas mal désincarné. C'est de la traque bien basique et bien roots quoi. Le film contient sa dose de moments de bravoure :
Le climax, la fin de la seconde évasion...

C'est Miami Vice (que j'aime beaucoup) dans les années trente, avec plus d'action (Miami Vice, ça pète vraiment que 2 fois dans tout le film non ?) et moins de rigueur au niveau du scénario. Ya pas 2-3 ellipses un peu foireuses, des choses inexpliquées.

Sinon, la musique est cool, mais j'ai la vague impression qu'elle est pompée sur un autre film :
La ligne rouge. Non seulement, le climax, mais surtout au début, quand Depp lâche le vieux par terre après l'évasion, je jurerais avoir entendu la BO du film pendant 5 secondes.


Le principal intérêt du film reste pour moi tout ce qui touche à l'aspect "tiré de faits réels" avec la naissance du FBI, et une scène surréaliste :
Depp qui tape l'incruste pépère dans le bureau. C'est vraiment arrivé ça ??? Comment ils le savent ?


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MessagePosté: 08 Juil 2009, 08:19 
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Antichrist
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D'Al Capone à «Scarface», en passant, bien sûr, par les mafieux de Martin Scorsese ou par la saga du «Parrain» de Francis Ford Coppola, les gangsters ont toujours eu la cote à Hollywood. Hanté par la figure du Mal, Michael Mann s'était déjà frotté au genre avec l'époustouflant «Heat», alors que «Deux flics à Miami», son précédent film, explorait la vie de deux inspecteurs de police, Sonny Crockett et Ricardo Tubbs. Avec «Public Enemies», on est donc immédiatement en terrain conquis d'autant que l'image numérique - sublime - porte la signature de son metteur en scène. D'où, peut-être ce sentiment de déjà-vu qui infuse le film par séquence entière, comme si le réalisateur s'amusait à s'auto-citer, comme par exemple lors des longues scènes de fusillade qui rappellent - en filigrane - la perfection de celle de «Heat».

En s'attaquant à la vie de John Dillinger, Michael Mann se lançait un double défi sur le plan narratif. Comment tordre les passages obligatoires du biopic pour les adapter à son style elliptique et évanescent ? Comment dresser un portrait ambivalent d'un robin des bois des années 30, héros romantique en diable, sans en édulcorer sa face sombre ? "Gentil" du cinéma américain, même quand il joue le pirate amoral, Johnny Depp apporte à John Dillinger sa douceur et son irrésistible air de clown triste. Son visage mélancolique contraste ainsi avec la dureté des traits décidés de Christian Bale, une fois de plus parfait en justicier moderne.
Le crépuscule d’une époque

Dans «Public Enemies», le réalisateur du «Dernier des Mohicans» filme une fois de plus le crépuscule d'une époque, celle d'avant le règne médiatique de la récupération politique – excellentes scènes avec Hoover qui lance la police scientifique avant que celle n’existe réellement. «John Dillinger est en quelque sorte le dernier des bandits d’une autre époque ; (…) le dernier bandit d‘honneur à la Jesse James ; sociologiquement, dans sa manière de faire, c’est un bandit du 19e siècle ; il est très sophistiqué, il manipulait les médias ; (…) c’est presque un anachronisme. (…)Il était célébré car il faisait en quelque sorte ce que les gens rêvaient de faire dans ce contexte de crise», a expliqué Michael Mann lors de la conférence de presse.

En commettant le péché d'orgueil de se rendre au cinéma pour assister à «L'Ennemi public n°1», au scénario proche de sa propre histoire, John Dillinger a été piégé par son image, semble nous dire le metteur en scène, comme un Icare du grand banditisme qui se brûlerait les ailes sur le bûcher de sa popularité. S'il a marqué l'histoire du crime, le robin des bois d’Indianapolis n'aspirait finalement qu'à vivre son destin à toute vitesse, comme Jacques Mesrine, son lointain «cousin» français, lui aussi apôtre du Mal, dont la vie fut elle aussi portée récemment à l’écran. Les deux films semblent même parfois se répondre, par séquences interposées mais s’opposent néanmoins sur le plan narratif.

Là où le diptyque de Jean-François Richert suit chronologiquement les grandes lignes de la course contre la mort du malfrat français, Public Enemies avance par bloc de cinéma et laisse aux spectateurs le soin de combler les vides. C’est peut-être la limite d’un film qui s’empare des figures imposées par le genre pour mieux s’en détourner. Cela procure une étrange sécheresse mélancolique au récit, à défaut d’une incarnation immédiate. Pourtant très présente à l’écran, Marion Cotillard pâtit ainsi de cette approche de chercheur esthétique privilégiée par Michael Mann, qui désire, plus que tout, immerger le spectateur dans une expérience plastique et sensorielle. Point final


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MessagePosté: 08 Juil 2009, 09:23 
En numérique au Max Linder


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MessagePosté: 08 Juil 2009, 11:41 
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Garçon-veau
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Ah cool, merci JC !

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Netflix les gars, Netflix.


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MessagePosté: 08 Juil 2009, 16:35 
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Si le film dans son ensemble était à la hauteur du dernier quart d'heure, ça ne serait que pur bonheur. Mais non.
Grosse deception.
2/6


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MessagePosté: 08 Juil 2009, 22:52 
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Bon un peu déçu moi aussi, y a des passages d'une immense beauté mais j'ai trouvé l'ensemble un peu bancal, je suis perplexe, j'ai envie de le revoir pour confirmer, là je sais pas trop où il veut en venir esthétiquement... Année de merde.

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MessagePosté: 08 Juil 2009, 22:58 
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Je savais plus trop comment appréhender ce film...le sujet pourquoi pas, les acteurs ouais, le numérique hmmm et puis quelque part, t'attends forcément Heat alors qu'il faut pas et c'est déjà comme ça que j'avais été quelque peu déçu par Miami Vice, visuellement très classe, sensoriel, mais quelque part froid et bien trop trop épuré au niveau du scénar pour réellement m'impliquer.

Et y a toujours un peu de ça ici.

Après une excellente ouverture où une nouvelle fois le choix du numérique est justifié (extraordinaires vistas de l'Amérique cambrousse), le récit prend un chemin linéaire plutôt fonctionnel mais va en se bonifiant...en gros, je trouve ça inégal dans la première partie mais à partir de la fusillade en forêt, ça ne fait que grimper, en bien, et la fin est juste sublime.

Les fusillades et braquages n'ont pas le niveau de Heat ou même Miami Vice mais j'adore toujours autant comment chez Mann, les flingues front du bruit, les balles font mal, les morts sont cash. Ca rappelle justement les deux films pré-cités. Et une fois de plus, dans ses moments-là, la propreté de l'image numérique, la photo de Dante Spinotti, le flash des coups de feu qui éclaire la nuit...magnifique.
Pareil pour l'arrivée de Dillinger en avion dans l'Indiana...Et la fin, toujours la fin.

L'effet vidéo clairement visible, décidément un parti-pris assumé chez Mann depuis Miami Vice (là où dans Collateral, l'image hybride était homogène et le numérique ne se différenciait presque pas de la pellicule), m'a moins gêné ici que sur Miami Vice sur lequel c'était pourtant plus cohérent (parce que contemporain) mais me bloque parfois un peu (surtout dans la première partie, quand le scénario n'offre pas grand chose encore).

A ce niveau-là, je trouve que l'épure fonctionne davantage ici que sur le précédent et même si, évidemment, le parcours des deux personnages ne se mesure en rien à celui de Heat, j'ai aimé voir Depp revenir à un rôle moins loufoque et Bale nuancer un chouïa (mais juste un chouille) son jeu de mec droit et juste.
J'adore Depp face à la mort de ses confrères, Depp qui pleure après l'arrestation de Billie, Depp qui sourit face à Clark Gable.
Et les petites touches de Bale comme sa gueule déconfite quand il comprend que ses agents ont laissé filer Frechette déguisée ou quand il porte celle-ci, etc.

L'ensemble, tant dans la caractérisation que les performances, se fait plus subtil que pour Heat ou The Insider.

Je regrette évidemment un peu ça vu que je considère qu'il s'agit là de ses deux chefs-d'oeuvres, où t'es vraiment plongé dans la vie de ces mecs, mais je me suis davantage identifié aux persos ici qu'au duo de Miami Vice.
Alors ça fait beaucoup de comparaisons pour juger du film, je sais pas...la mise en scène est indéniablement classe (la poursuite dans le verger au début, l'évasion, la fin, putain, la fin), la musique éthérée fait bien son taf comme d'hab...c'est pas parfait mais c'est quand même plein de qualités.
Maintenant, Miami Vice m'avait fait un peu le même effet et j'étais sorti à 5/6 alors qu'aujourd'hui ce serait plutôt 4/6 et là c'est un peu pareil.

Faudra voir comment il vieillit.
En l'état, je vais mettre un 4,5-5/6.

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MessagePosté: 08 Juil 2009, 23:40 
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Localisation: Caché avec Charlie
Début qui m'ennuie, difficulté atroce à rentrer dedans, à apprécier les personnages. Les acteurs vont du monolithe (Christian Bale auditionne pour 2001, là, y a pas moyen) au "j'ai pas beaucoup d'accessoires, je fais avec ce que j'ai et c'est peu" (Depp en mode mineur, Cotillard qui n'a pas grand chose à jouer). La photo est fade, trop lisse, rien ne semble cherché, c'est de la restitution monotone, triste. Le film tient une heure comme ça, en mode pépère, il ne se passe rien qui soit cinématographiquement intéressant, surprenant. Bref, ennuie poli.

Et puis vient une belle scène qui vient changer la donne.

L'assassinat des potes de Depp l'isole, et semble permettre à Mann de creuser le perso juste un peu plus


Et ça donne un VRAI nouveau souffle au film, la relation Depp-Cotillard existe enfin, Bale a les sourcils qui bougent (oh putain!!!), on sent la tension grimper d'un cran et Mann nous offre une dernière demi-heure vraiment bonne, classe, avec du contenu. Et là y a des scènes qui me fascinent vraiment, dans cette demi-heure, des moments superbes, des trucs que j'ai attendu tout le film.

L'interrogatoire de Cotillard, la "visite" de Dillinger chez les flics, le final au cinéma, Depp qui mate Gable...


Mais ça fait peu pour 2h10 de programme. Et si on vient chercher la comparaison avec les anciens Mann, le bas blesse encore plus. On peut y voir la tentative de Mann de faire les choses différemment, mais merde, moi, l'émergence du FBI, John Dillinger et une chasse à l'homme à échelle nationale, ben j'attend de l'intensité, de la passion, de la vie. Je trouve qu'il reste en surface 70% du film. C'est trop dommage.

4.5/6 quand même, parce que la dernière demi-heure, c'est du vrai Mann, du 6/6.


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MessagePosté: 09 Juil 2009, 08:36 
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Messages: 11648
Localisation: in the forest of the Iroquois
Moi j'ai trouvé ça plutôt sympa mais étonnamment désincarné. On sent une envie terrible de remettre au gout du jour ces vieux films noirs, renouer avec une sorte d'âge d'or en le mettant à la sauce moderne avec tout l'attirail numérique qui permet la fluidité qui était impossible à l'époque de Gable. Ca marche plutôt bien avec ses fusillades super cash, ses séquences nocturnes et forestières, ou tout le début dans la cambrousse (avec une esthétique qui m'a rappelé celle de Jesse James). Mais Mann essaye de faire de ses personnages des icones sans vraiment y parvenir. Enfin il y va vraiment au stabilo sans jamais s'attarder sur l'humain, sans vraiment approfondir Bale, Depp ou Cotillard. Tout le monde y va de sa petite mimique "cool" mais c'est un peu de l'esbrouffe : Depp, comme d'hab, Bale qui joue au justicier avec les sourcils bloqués, Cotillard en véritable potiche qui écarte les cuisses parce qu'on lui offre une fourrure. Ce qui fait qu'au final on ne s'attache à personne et que les seules séquences qui auraient pu être touchantes ne restent que des intentions : le face à face Bale/Depp, les douleurs de Dillinger quand ça va mal, la relation Cotillard/Depp... On s'en fout. Et même cette dernière séquence, très bien mise en scène (mais qui n'arrive pas à la cheville de celle de Tarantino dans le même exercice de style qu'on pourra voir dans Inglourious Basterds), manque vraiment de force à cause de ce non attachement.

Après, c'est quand même super cool d'avoir cette belle reconstitution. Sur le numérique, ça ne me dérange pas plus que ça. C'est comme si on avait Dogville avec des murs (j'attendais l'arrivée de James Caan régulièrement). Dès que la caméra se fait vraiment mobile, ça fait très vidéo et dès qu'il y a des hautes couleurs dans les blancs, c'est walou : on voit plus rien. Mais sinon, ça apporte ce petit cachet réaliste qui, si on l'accepte, propose vraiment quelque chose de nouveau.

Je suis pas un grand spécialiste de Mann mais j'ai trouvé ça pas mal.


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