Forum de FilmDeCulte

Bienvenue dans ma vie.

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N'écoutez pas Film Freak

Hahaha.

LOL.

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Tu peux faire le même avec Zad et mettre directement 0.

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CroqAnimement votre

La solitude. La vraie.

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N'écoutez pas Film Freak

La solitude, la vraie, c'est t'infliger Birdman pour lui mettre 0 alors que c'était évident dès le départ qu'un film d'Inarritu ne pouvait pas te plaire...

DANEY TUE

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Michael Keaton, le sujet, certaines critiques convaincantes et le bénéfice du doute. C'est pas parce que j'aime pas un réal que je ne peux pas apprécier un de ses films de temps un autre comme un pauvre cinéphile obtus. Bon là, c'est raté...

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N'écoutez pas Film Freak

Tu mets 0 à tous ses films. C'est pas que tu l'aimes pas, c'est que tu le détestes (0, quoi !).
Un peu comme si j'allais voir un Desplechin, quoi...

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Et puis parfois, même si je sais que je ne vais pas aimer un film, il m'arrive de le regarder pour réfléchir à certaines questions.

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N'écoutez pas Film Freak

Ca ne veut rien dire, je ne suis pas dans le fétichisme du réalisateur.

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N'écoutez pas Film Freak

Moui.



Comme aller voir un LVT pour réfléchir à quelle marque de couches acheter ?

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

A mi-film devant la platitude - confinant au nanard - des personnages et de leurs relations, je me suis souvenu que ce qui était exacerbé ici avait toujours été ce qui me déplaisait chez Mann: on sent que ce qui le fascine, ce sont les forces brutes et la déshumanisation du monde, qu'il filme avec une virtuosité proprement jouissive (gros plaisir de mise en scène, ici...); mais il se sent obligé, pour montrer ce qu'on perd avec cette déshumanisation, de mettre au centre une romance plus ou moins bidon, gâchant du coup la force de son discours en le cantonnant à de l'action pure. Le parasitage est ici renforcé par l'ennui de l'enquête informatique, entre réunions préparatoires et invidivus postés devant un écran. Blackhat pour moi ça a donc été ça: la recherche attentive et presque inquiète de la maestria des images, de la pure mise en scène qui vient sauver l'intrigue et la rendre accessoire. Ca la sauve à moitié.

Plutôt les moyens dont les personnages tentent de lutter/s'évader de ce monde...et les causes qui en résultent.

Je parlais du rapport qu'entretiennent ses persos avec le monde et cette volonté d'un ailleurs. D'où cette tristesse/ mélancolie/solitude récurrente.