Forum de FilmDeCulte

C'est là que tu vois que Fincher est totalement fou et qu'il y a des gens encore plus fou pour accepter de financer ça.

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CroqAnimement votre

Et que ça a ptet effectivement coûté 175M$.

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Spoken like a true femme-trophée

Spoken comme son ex surtout (à Fassbender).

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Making-of de la scène de baston (pour toi Billy Budd) : https://youtu.be/-yF5rtOmUtc

J'ai adoré. Peut-être que pour une fois c'est une bonne chose de rentrer dans le film en en sachant un peu. J'avais lu vos messages tièdes, donc j'étais préparé à la froideur et à la simplicité du truc. J'ai kiffé le ride, et je l'ai trouvé riche. J'aime comment chaque action de chaque personnage est logique et calculée, comment ils sont guidés par leur instinct de survie, notamment Swinton. En ça, le choix final du perso principal ne m'étonne pas :


Et puis comme ça a déjà été dit, c'est l'adaptation parfaite des jeux HITMAN.

Moi c’est surtout au Lucy de Besson que ça m’a fait penser (mec qui tue le chauffeur de taxi mais pas le big boss)…

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Intéressantes vos analyses. Je les partage, mais il est vrai que passé la première partie à Paris, le film est moins captivant à regarder. On a compris la mécanique générale et rien ne vient vraiment surprendre, même s'il y a de quoi discuter, théoriquement.
Je souscris à vos grilles de lecture sur la veine capitaliste désabusée (ou cynique, comme un dialogue du début l'évoque) du film.
Mais d'un point de vue plus ludique, je n'ai pas pu m'empêcher de penser que le film (froid, capitaliste) était un miroir au XXIe siècle de Fight Club (chaud, anar). Et je me suis même demandé plusieurs fois si nous n'assistions pas de nouveau à un délire du protagoniste qui se fait - littéralement - son film dans la tête. Le montage, certaines scènes (comme l’hôpital) et l'utilisation d'effets numériques (par exemple le fort "bloom" à Saint-Domingue) donnent un aspect fantasmagorique au métrage.
La scène de fin peut évoquer ce "bug" du personnage, un néo Tyler Durden vieillissant qui ne veut pas (plus ?) que le monde capitaliste s'écroule, bien au contraire.
Même si mon ressenti part un peu loin, on reste quoi qu'il arrive devant un objet très gênant, mais Fight Club aussi m'a toujours dérangé, donc...