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MessagePosté: 13 Mai 2014, 23:09 
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Ya tout un travail sur le point de vue qui est intéressant : on colle toujours aux humains, on voit tout de leurs yeux. Et surtout, on RATE tout avec eux : beaucoup de pseudo ellipses quand les personnages principaux ne sont plus là pour voir les énormes trucs qui arrivent.
J'ai adoré le coup de la première confrontation qui monte crescendo, et puis pouf, dès qu'ils commencent à se taper dessus, ça passe au gamin qui regarde la tv.

Et c'est plutôt rigoureux tout le long. A part quelques plans d'hélico (pas non plus injustifiés), on reste vraiment proche des personnages. C'est filmé vraiment comme dans Monsters. Mais avec un abus de la mise en amorce. Le money shot typique de ce film, c'est un truc de guedin filmé en longue focale avec au premier plan des silhouettes de personnes qui y assistent. Des fois j'avais l'impression qu'un con dans la salle passait devant le faisceau du projecteur.

Le GROS problème, c'est que ces personnages, on s'en cague. Yen a pas un pour lequel j'éprouve un brin d'empathie. Là aussi comme dans Monsters, ce sont soit des ramassis de clichés (le scientifique parano que tout le monde croit fou alors qu'il voit tout venir avant les autres), soit des gens VIDES (le mec de Kickass là et sa meuf), soit des gens inutiles (Watanabee, questu fous là ?). Du coup, en dehors des moments forts (assez nombreux et bien répartis), je me suis un peu ennuyé. Et puis en plus, on n'arrive pas à donner de l'importance à ce que font ces humains : ils ne servent à rien. La fadeur des persos s'applique aussi à Godzilla. Je trouve la bête d'Emmerich beaucoup plus intéressante (alors que c'est pas ouf hein).
Et puis faire croire à sa mort d'affilée deux fois, pour le faire revivre comme Baloo à la fin du livre de la jungle, NON.


Ah, et oubliez les plans couillus du teaser qui montrent des cadavres partout. Evidemment, ils sont absents du film.

Et puis ya les incohérences scénaristiques qui passent quand t'es saisi par la vibe du film. Mais quand t'es pas à fond, ça fait mal :
Entreposer un foetus de monstre qu'on a bien étudié et disséqué à côté des déchets radioactifs, sérieux les mecs ?


Je sais pas si c'est la 3D (inutile), mais j'ai trouvé l'image terne et sans relief.

Bon, sinon c'était quand même pas mauvais hein. Mais mou et pas ouf.

3/6


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MessagePosté: 13 Mai 2014, 23:16 
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J’aurais aimé ressortir aussi enthousiasmé que je l’étais lors de ma première vision de Pacific Rim, mais non. Pas de beaucoup cela dit, tant le film regorge de séquences dingues. Les fulgurances jubilatoires sont là, bien que souvent de trop courte durée.

Je ne suis pas mitigé pour autant, j’ai trouvé le film très bon. La mise en scène de Gareth Edwards en impose un max, d’autant plus quand on prend en considération que c’est juste un deuxième film. Les influences sont bien là (Jurassic Park en tête, pratiquement du début à la fin), et des fois c’est appuyé à la truelle... Mais la sincérité du gars transpire dans toutes les scènes. Il confirme tout le bien que j’ai pensé de Monsters, et je suis sur qu’il ira loin.

Maintenant, à trop vouloir jouer sur l’anticipation, à vouloir sacraliser à tout prix les apparitions de Godzilla, ben on y perd un truc... Déjà parce que du coup, le king of monsters est relégué à l’état de perso secondaire, mais aussi parce que certaines séquences s’avèrent frustrantes.
Qu’on nous sabre la première baston Godzilla/Muto passe encore, parce que c’est drôle. Mais la deuxième, non...

Il faudra donc attendre quasiment le dernier quart du film pour vraiment se prendre une baffe.
En gros à partir du moment où les mecs sautent de l’avion.

Le dernier acte est apocalyptique à souhait. Visuellement, ça déglingue. Les combats ont un côté rétro juste génial... Par moments (sur quelques plans larges), l’impression que ce sont des mecs en costumes qui se tapent, comme dans l’ancien temps. C’est n’est pas kitsch, c’est plutôt un bel hommage... En gros c’est à l’image de Godzilla : look rétro, massif (gros lard même), hyper lent. Un parti-pris burné en ces temps de blockbusters qui doivent aller à 100 à l’heure en enchainant un maximum de scènes d’action hyper rapides et bourrines.

Le gigantisme des monstres est extrêmement bien rendu. Et à quelques SFX près (la flotte), c’est vraiment le haut du panier visuellement parlant.

Côté scenar, quelques longueurs sur la première partie, et des problèmes de rythme sur la seconde. Passé la première moitié, les persos deviennent inexistants... Godzilla aurait du prendre le relais, mais il n’en est rien, et c’est bien dommage. D’autant plus triste qu’on sent un scenar qui essaie de justifier au forceps le fait que le héros soit constamment collé aux monstres, même s’il n’a rien à faire là. L’impression que c’est un peu le passage obligé dans ce genre de film, avec ces histoires de bombes et de minuteurs là, ça devient gonflant à la longue. PARCE QU’ON S’EN FOUT.
Cela dit, j’ai trouvé le scenar malin à plein d’endroits. Notamment dans la première partie. Les Mutos sont bien amenés, bien intégrés à l’histoire. Tout est cohérent. Et la mythologie qui entoure Godzilla fait vraiment plaisir.

Alors voilà, en ce qui me concerne, les bons points l’emportent largement sur les mauvais, et j’ai vraiment envie de le revoir.

4,5/6

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Dernière édition par Massinfect le 14 Mai 2014, 00:47, édité 1 fois.

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MessagePosté: 13 Mai 2014, 23:32 
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Et plouf.

Je me demande si Godzilla sera un de ces films comme Contact, Ali et les suites de Matrix qui m'ont déçu à la première vision et auxquels j'ai plusieurs fois redonné leur chance dans l'espoir d'être enfin conquis...en vain.

La différence avec ces films-là, c'est que je n'attendais pas autant ce deuxième long métrage d'Edwards, n'ayant pas été convaincu par Monsters et n'étant pas un aficionado du monstre-titre, même si les bandes-annonces et les échos spielbergiens m'avaient alléché.

Alors effectivement, on retrouve de ça dans le film.
La première moitié apparaît comme une longue lettre d'amour au cinéma de son modèle, dès le premier plan, l'un de nombreux à citer directement Jurassic Park (l'hélico survolant les montagnes vertes, la buée effacée sur la vitre d'une voiture, la patte d'un monstre s'élevant au-dessus de câbles, etc.), et au travers de ce premier acte d'exposition qui lorgne clairement du côté de Rencontres du 3e type (l'obsessif Cranston qui va dans des zones de quarantaine voire ce que le gouvernement cache).

Mais si cette entrée en matière présente des personnages relativement attachants, passée la première demi-heure, ils se réduisent complètement à l'état de pantins. Pas d'archétypes hein, vraiment de marionnettes avec des fonctions basiques (Aaron Taylor-Johnson est le soldat qui va d'un point A à un point B à un point C, Elizabeth Olsen sert A RIEN à part symboliser les civils en péril, Ken Watanabe livre les informations sur les monstres nécessaires à la compréhension/progression de l'intrigue).

J'ai du mal à comprendre pourquoi le scénario choisit de totalement abandonner le cœur humain qu'il avait réussi à instaurer dans un premier temps, avec cette relation père-fils (#Spielberg) qui aurait pu incarner tout le film mais qui aurait pu tout aussi bien être intégralement coupée du montage final tant ce qu'on y apprend n'a strictement aucune incidence sur le parcours du protagoniste par la suite.

A l'inverse, le script parvient à incarner ses monstres de manière franchement intéressante.
Il y a tout d'abord ces deux kaijus auxquels le film confère une réinterprétation de la métaphore nucléaire du Godzilla original, faisant d'eux des créatures qui se nourrissent de radioactivité. Ils bouffent littéralement des bombes. Ils vivent de ces armes de destruction massive, causant à leur tour la destruction.
Dans une belle image qui renvoie à la fin de Monsters, Edwards évoque comment la destruction engendre la destruction.

Et en face, il y a Godzilla. Rarement la première syllabe de son nom n'aura été aussi pertinente.
Dans le film de 1954, la créature était l'incarnation du trauma d'Hiroshima, symbolisant non seulement la nature destructrice de l'arme nucléaire mais représentant aussi la riposte de la nature sur l'Homme après que l'Homme a détruit la nature avec l'arme nucléaire.
Dans le film de 2014, Godzilla est décrit textuellement comme un Dieu, une force de la nature qui viendrait rétablir l'équilibre, et Edwards le filme comme tel, notamment dans sa toute première apparition, magistrale...

...et immédiatement interrompue, au profit d'un gag amusant mais qu'on a absolument pas envie de voir à ce moment-là. Et ce n'est pas le seul instant où Edwards coupe un début de combat pour passer à du blabla inintéressant.
On a pu lire ça et là qu'Edwards s'inspirait de Jaws dans sa façon de montrer le monstre, ou plutôt ne pas le montrer, mais il y a méprise. Déjà parce que le film montre en premier, plusieurs fois et plus de fois les autres kaijus, sans nécessairement les "cacher", mais surtout parce qu'il gère finalement assez mal le rôle, la place de Godzilla dans le film, le faisant intervenir trop tard, non pas visuellement mais narrativement.
En fait, le film donne par moments le sentiment que Godzilla est un personnage secondaire de son propre film. Un crime de lèse-majesté s'il en est.

Dans Jaws, Spielberg adopte la méthode du "less is more" et fonctionne par métonymie visuelle (l'aileron, les barils) ou par brefs aperçus. Ca a du sens parce que le requin est l'ennemi, la menace, le créateur de la tension.
Ici, on nous dit tout de suite que Godzilla est notre sauveur. J'adore l'idée et je ne suis pas contre le fait d'éviter de se taper la phase "tuons la bête!" avant la phase "en fait, il est gentil!" mais je ne peux m'empêcher d'avoir l'impression qu'il manque une étape.
Et, encore une fois, il est trop peu présent.

La quasi-totalité des set-pieces du film mettent en scène, les M.U.T.O, ces deux autres kaijus, et si Edwards parvient à composer à chaque fois des vignettes efficaces formellement ingénieuses - les moments où le film s'éveille un peu de sa structure en tension molle continue - il faut avouer que ces séquences s'avèrent un poil répétitives (combien de scènes sur des ponts?).

Dans les scènes en ville, Edwards contourne la vague actuelle de destruction porn, en ne focalisant jamais sur la démolition, mais sur cette ambiance de fin du monde qui s'impose dès lors que les kaijus entrent en scène. Une fois de plus, le cinéaste réussit complètement à incarner les segments qui mettent en scène les monstres et les bastons entre bestioles sont plutôt bonnardes...mais même à ce niveau, le film fait pâle figure à côté d'un Pacific Rim.

Pour être honnête, la démarche n'est pas du tout la même. Cependant, si l'on retrouve de temps en temps cette approche mortifère picturale que l'on avait découvert dans la première bande-annonce, on est loin d'un film aussi hanté que le teaser du Comic-Con ou le film de 1954.

Godzilla réussit bien des choses mais demeure inabouti dans l'ensemble. C'est dommage.

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MessagePosté: 14 Mai 2014, 03:25 
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Massinfect a écrit:
En gros c’est à l’image de Godzilla : look rétro, massif (gros lard même), hyper lent.

On dirait Shaquille O'Neal.


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MessagePosté: 14 Mai 2014, 17:30 
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Haaa merde la petite déception :( J'en attendais beaucoup et même si j'ai souvent pris du plaisir devant le film (Putain la 1ere apparition de Godzilla j'en ai vibré) certains choix me cassent les couilles
Celui de pas montrer les 2 combats passe encore le tout premier parce que l'idée m'a bien fait marrer, mais alors le 2eme qui débute et on voit les portes qui se ferment c'est NON :evil:
j'avais peur qu'il fasse le même coup pour le final l'enfoiré, et le choix de faire de Godzilla un second rôle si encore les humains étaient intéressants ... c'est comme si ils étaient inanimés ( à part Bryan Cranston ), Watanabee, Hawkins, Olsen ils servent à rien ce sont justes des clichés ambulants.

Par contre y'a un truc ou il s'est pas louper le Gareth c'est le final qui est vraiment impressionnant (Bordel le saut d'avion)

PS : Excusez moi pour la grammaire et l'ortho je suis dans un état second.

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J'ai toujours rebondi. Quand j'ai fait Jet Set 2 qui a été un échec, je me suis posé des questions et suis revenu avec Camping

Fabien Onteniente, Mardi 12 mars 2013


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MessagePosté: 14 Mai 2014, 23:04 
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Gareth, ton film est pas parfait, mais toi je te kiffe.

Je trouve que c'est une leçon de filmage de monstre. Pour une fois que les interviews d'avant sortie ne débouchent pas sur une déception ! Le mec sait toujours placer sa caméra pour rendre les créature à la fois maousses et réalistes. L'utilisation - certains diront abusive - du POV et du trucs en avant plan (pares-brises, objets, etc.) donne quand même un résultat du tonnerre où on a constamment l'impression d'être vraiment là en train d'assister à la mêlée. J'adore aussi comment on a toujours l'impression d'être un peu en retard sur les événements, comme si la caméra était lourde à porter et du coup bah, on est jamais tout à fait au bon endroit au bon moment et on rate des trucs - mais tout ceci en évitant un abus de shaky cam. Ça reste lisible.

Bref, de ce point de vue là, c'est brillantissime.

Le problème, c'est que le film ne parle de rien. On s'en fout des humains et leurs trajectoires n'ont aucune résonance émotionnelle ou thématique. C'est super dommage car sur cette toile de fond intelligente et bien dressée (il réussit vraiment à faire des kaijus des animaux - on a même de la compassion pour eux [le bisou des MUTO !] - et y a de gros efforts de faits pour justifier les événements du film), on aurait pu avoir une vraie histoire, un vrai truc touchant. Là, que dalle.

Bref, c'est un peu comme MONSTERS, imparfait sur le fond, mais avec un vrai sens du point de vue et du contretemps.

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MessagePosté: 14 Mai 2014, 23:09 
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Gareth, que ce soit clair entre nous, je te kifferai quand tu apprendras à faire un film et pas juste des scènes. À plus.

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MessagePosté: 14 Mai 2014, 23:42 
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Exagération du dissensus.

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MessagePosté: 15 Mai 2014, 13:01 
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Je ne me suis pas ennuyé devant ce spectacle honnête qui sait garder une certaine fraicheur... Bien joué.

4/6


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MessagePosté: 16 Mai 2014, 11:06 
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Vous avez déjà tout dit, et c'est dommage, parce qu'il y a certaines séquences dans ce film qui sont des sommets du film fantastique. Le saut sur San Francisco, par exemple, est un petit bijou. J'ai aimé l'art de l'ellipse de Edwards, vraiment malin, ou encore sa façon très tendre de filmer les monstres.

Mais voilà, le film est 40 minutes trop long, nous emmerde pendant des plombes avec des personnages humains qui ne servent à rien (mention spéciale à Ken Watanabe, qui passe son temps bouche bée ou à expliquer le scénario), des sous-intrigues qui ne servent à rien non plus, un happy end de merde (et filmé comme de la merde), et un scénario inutilement compliqué. C'est une tendance qui me gonfle de plus en plus dans les blockbusters hollywoodiens, d'ailleurs : ce besoin de faire des films de deux heures, remplis de vide, qui pourraient être 20 fois mieux avec une demi-heure de moins.

3.5/6

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"Je me suis mal exprimé, pardon."


Dernière édition par Castorp le 16 Mai 2014, 18:13, édité 1 fois.

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MessagePosté: 16 Mai 2014, 15:40 
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Benoit a écrit:
Je ne me suis pas ennuyé devant ce spectacle honnête qui sait garder une certaine fraicheur... Bien joué.

4/6


J'aurais pas pu faire une critique aussi juste du film... Je te rejoins mon ami sur un 4/6

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MessagePosté: 16 Mai 2014, 17:30 
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Castorp a écrit:
J'ai aimé l'art de l'ellipse de Edwards, vraiment maline, ou encore sa façon très tendre de filmer les monstres.

Aïe.

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MessagePosté: 16 Mai 2014, 17:42 
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lol


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MessagePosté: 16 Mai 2014, 18:12 
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Sir Flashball
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Oh, ça va, hein.

Chaos, je te surveille, t'as intérêt à bien te relire.

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MessagePosté: 16 Mai 2014, 18:33 
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