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Capitaine Phillips retrace l’histoire vraie de la prise d’otages du navire de marine marchande américain Maersk Alabama, menée en 2009 par des pirates somaliens. La relation qui s’instaure entre le capitaine Richard Phillips, commandant du bateau, et Muse, le chef des pirates somaliens qui le prend en otage, est au cœur du récit. Les deux hommes sont inévitablement amenés à s’affronter lorsque Muse et son équipe s’attaquent au navire désarmé de Phillips. À plus de 230 kilomètres des côtes somaliennes, les deux camps vont se retrouver à la merci de forces qui les dépassent…

Quelques mois après le danois A Hijacking, Paul Greengrass s'intéresse également aux prises d'otages en haute mer en s'emparant d'une histoire vraie avec son style convulsif et agité qui maintient en haleine pendant deux heures quinze. Abordage, négociation, opération commando, son hyperréalisme fiévreux qui convoque les grandes heures de Vol 93 convient à la perfection à ce film d'action tendu d'une puissance rare. Tom Hanks délivre une performance qui efface d'un coup ses 48 rôles dans Cloud Atlas en capitaine courage gagné par la terreur jusqu'au chaos total. Les quatre acteurs jouant les squelettiques et incontrôlables pirates somaliens armés jusqu'aux dents sont tout aussi remarquables. J'aime fort la dernière scène, qui bouleverse en changeant des niaiseries patriotiques ou familiales habituelles.
5/6

Rhah putain, je veux!! Je me doutais bien que ça serait dans la lignée de United 93 (que je suradore). Encore un film que je vais rater en salles.....

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Trop trop hâte.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Curieux même si je sens que ça va encore me laisser froiiiiiiid.

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Je vois mal comment on peut aimer Négociateur et mettre moins à celui-là. Mais bon tu n'es jamais à l'abri d'une crise de mauvaise foi, on verra bien.

Bah ça dépend, si c'est aussi épuré dans la narration et la caractérisation que Vol 93, ça va être difficile de se raccrocher à quoi que ce soit, pour moi.


Mon manque d'adhésion pour le cinéma de Greengrass n'était un secret pour personne, ce sera plutôt de la cohérence que de la mauvaise foi.


Surtout que moi je demande que ça, d'aimer ses films hein...

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Ça donne GRAVE envie.

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

Faut se faire une raison maintenant Arnotte

C'est DUR...

Bon, Gravity j'irai, obligé. Reste à trouver du temps pour Prisoners. Et The Conjuring qui ne joue plus qu'à 22h...

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Ça passera. Tu peux plus facilement caler Gravity en tout cas.

Oui Dieu merci il ne fait qu'1h30.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Quoi vous pouvez pas laisser vos gosses à votre femme? C'est interdit par la loi. Venez pas vous plaindre si ça vous arrange aussi. FEIGNASSES.

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Je pense vraiment que tu as oublié comment c'était au début.

Le problème n'est pas de pouvoir aller au cinéma tout seul. Bien entendu qu'on peut et que Madame autorise parfois. Non la difficulté est que Madame va vouloir la même chose un soir et la perspective de rester seul pour gérer notre progéniture à couches nous terrorise nous les Hommes....

Euh, ben pour le coup, nous, depuis qu'ils ont eu 15 jours, on a toujours fait des gardes alternées pour que l'autre aille au cinoche.
Certes, au début, fallait jongler avec les horaires de tétés, mais après le passage au biberon... Et ça nous a toujours semblé vitale d'avoir ces moments juste pour soit (encore plus pour madame coincées plus souvent avec les mioches).