Forum de FilmDeCulte

Je parlais des escargots, hein.
Mais oui justement je n'ai point la trace d'une bite ou d'une couille bleue. D'où l'intérêt du lien justement, ça doit compenser

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Toi, t'as passé ta scéance comme Jiko à mater les culs des na'vis... obsédés que vous êtes !

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"Vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !?!"

Et les nibards aussi, y'en a pas beaucoup de gros d'ailleurs.

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Encore faut-il être capable d'expliquer ce qui différencie les deux et de justifier que l'on parle d'archétype mythologique et non de stéréotype dans le cas d'Avatar. A vous.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Si on pouvez éviter les discussions philosophiques à la mort moi le noeud sur chaque terme employé. Ce forum devient méga-chiant.

Arrête, liberté d'expression blabla richesse blabla tolérance blabla ouverture blabla Freak le grand gourou et sa masse de bouffons vendus blabla les Vandammeurs blabla.

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Si la réponse de Karloff s'adresse à à ma remarque, c'est imbécile : c'est Narrateur et Korine qui font la distinction entre "stéréotype" et "archétype mythologique", sous-entendant que dans un cas c'est mal et dans l'autre c'est bien, ce qui appelle quand même une justification. Si on est pas capable d'expliquer en quel sens on tente d'utiliser les mots qui servent d'articulation à notre pensée, on est resté au stade de l'amibe et ca ne sert à rien de discuter.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Zzzzzzz...


J'hésite entre clore le topic et jeter de la boue pour pimenter ces combats sémantiques de nerds.

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Puisqu'il faut tout expliquer...

Le stereotype est basé la plupart du temps sur une somme de cliché, un grossissement de groupe ou de caractère, il est souvent utilisé afin d'éviter la matière à réflexion ou le sous entendu. Il se rapproche ce que l'on appel plus communement un poncif, pour prendre exemple, le stereotype de la blonde ecervellé. Voilà c'est un cliché réducteur, banalisant ce qui veut être décrit.

Pour l'archétype on joue pas dans la même cour, l'archétype est une image primordiale qui par définition contient toute les autres. Ceux qui voient les Navi's comme des indiens ou des afghans ont autant raison l'un que l'autre parce que ce sont des archetypes qui contiennent en eux meme la résonnance d'image que l'on voudra bien projeté sur elle. Et Avatar ne fonctionne que sur un nombre assez hallucinants d'archétype. Surtout l'archétype à pour fonction de structuré l'inconscient, il n'y a pas de cliché dans un archétype c'est une image universelle qui parle au delà des cultures et du mécanisme du language. Par exemple l'arbre des ames ou le grand arbre des Navi's fait clairement référence à l'arbre de vie, l'arbre de la connaissance, l'arbre au centre du monde etc... Quaritch est clairement la figure du père aurtoritaire, la figure ogresse, le "papa dragon", le Odin omnipotent accompagné de ses walkyries, le surnom des vaisseaux de combat. La déesse est Neytiri bien entendu, à la fois figurine maternelle, celle qui dispense l'enseignement et l'amante, doit on rappeler que le mythe de la figure de mère/amante se perd à l'origine de la conscience dans les mythes primordiaux (et voir aussi La pieta pour la figure de Neytiri tenant Jake humain dans ses bras). Jake Sully est clairement le jeune homme mythologique courageux mais un peu ignare perdu au milieu de la foret (siegfried par exemple) mais qui sera initié.

Avatar est donc construit sur cette association d'archétype qui ont pour but de faire ressentir des choses au delà du mécanimse de language humain (image, son, dialectique etc...). Ce qu'il y a derrière les idées intelligibles c'est ce qu'essait de faire toucher la quintessence même du mythe, sinon on aurait pas besoin que nous raconte encore et encore ces histoires là depuis des millénaires.

Ce qui est bien, avec leurs interventions, c'est que même toi tu deviens "light"

Je n'en peux plus des branlettes intellectuelles de certains. Et pourtant j'aime bien quand on approfondit ses réflexions. Mais là, sincèrement, pfiouuuu.

Bah c'est surtout que les discussions portent de moins en moins sur le film et de plus en plus sur les termes, la méthode d'analyse, de critique, etc.

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Et ma critique ainsi que celle du Carl Lewis qui tombe au milieu de tout cela. Que de peine devons-nous endurer pour parvenir à en placer une... hihi (bien que le mini-débat narrateur/scythe soit, lui, intéressant).

Au contraire c'est pas de la branlette intellectuelle, j'essais de justifier et d'unir (le but meme d'un archétype oh zut alors) au maximum les interprétations possible du film, certains voit par exemple lors de la destruction de l'arbre maison, une allusion au 11/09, et bien c'est aussi faux et juste à la fois, Cameron n'y fait pas référence ce n'est pas son but, mais le fait d'utiliser des archétypes autorise cette interprétation aussi biaisé soit elle, parce que la personne aura fait une projection de ce qu'elle pense avoir vu ou cru comprendre sur une image primordiale qui les contient déjà toute. Donc oui ca sont bien des archétypes et pas des stéréotypes. Fin du sujet pour moi.

Ben oui. Et si j'analyse ma fourchette quand je suis à table, je ne mange plus rien.

Métaphooooore-Maaaaaaan.