Forum de FilmDeCulte

Tous les écrans du monde devraient être des IMAX.
Je rentre de la séance au Disney Village, en IMAX 3D et VO (bémol aux sous-titres qui ne sont pas les mêmes que ceux de la version normale, ils sont juste plaqués sur l'écran et ça jure avec la 3D) et c'est limite pas le même film...
Bon, j'exagère, mais je continue de trouver l'expérience IMAX, avec son écran gant qui part bien au-dessus de ta tête, t'englobe loin à gauche et à droite, et semble finir sous tes pieds, sans pareil, surtout pour ce genre de films avec ses envolées soudain plus vertigineuses et ses combats d'un coup plus épiques.
Ca devient par moment du grandeur nature alors pour le spectacle et l'immersion, c'est juste le summum.
Enfin bref...

Exactement ce que je disais en IMAX le film une dimension et une proportion inégalable. La séance 3D normale était bien mais en IMAX tu te prends vraiment le film en pleine face et l'experience prends tout son sens. Et on réalise que le discours de Cameron pendant la promo qui conseillait absolument la vision du film en 3D IMAX était tout sauf du bla-bla de promo.
En tout cas j'y retourne dés que possible mais uniquement chez disney, j'aurais du mal à le revoir en simple 3D.

Ce clip de James Frost a été réalisé sans caméra ni
lumière. Le chanteur Thom Yorke et les panoramas urbains
sont scannés en temps réel par des lasers qui restructurent
numériquement la lumière, le volume et le mouvement en une
infinité de points mobiles. En accompagnement de la musique,
les images montrent des phénomènes qui se dispersent
dans une poussière de lumière. Affleurant à l’écran dans le
crépitement de la matière numérique, elles se manifestent
telles des visions spectrales. La relation entre la Tête d’homme
de Raphaël, piquée pour le transfert sur un autre support et
ce portrait 3D, montre que toute représentation s’accomplit
selon une grille de repères visuels qui assure une base de
construction. Les images de synthèse, plus qu’aucune autre,
sont régies par un ensemble de repères et de paramètres qui
assurent leur animation. Même si les artistes recherchent
les accidents et les défaillances de système pour plus
d’ ”humanité”, la numérisation recourt inévitablement à une
codification numérique de toutes les images.

L’imaginaire numérique recourt souvent à l’histoire pour créer des légendes
et des personnages dont les origines trouvent leurs sources ”au coeur des
mythologies”, pour reprendre un titre de Jacques Lacarrière. Pour que de tels
récits aient ”une valeur véridique et convaincante, force est de (les) attribuer
à des êtres ou des puissances qui échappent aux contingences du temps et de
l’espace, autrement dit à des divinités supra-humaines et éternelles”. Le besoin
de l’homme de se projeter dans des univers parallèles semble aujourd’hui assouvi
dans l’interaction des images de synthèses, qui permet de ”toucher” les images
et de ”pénétrer” dans leur univers. Mais comme pour les récits mythologiques,
l’efficience du leurre est une question de foi.
Cependant, comme le précise Réjane Hamus-Vallée à propos des effets spéciaux,
”est-ce parce que l’ordinateur s’affranchit du réel, qu’il lui est plus aisé ensuite
de le reconfigurer à sa guise ? Que re-présente-t-on avec une image de synthèse,
qui n’est pas la ”trace du réel”, la momie d’un changement ? Que choisit-on,
quand on opte pour une technique plutôt qu’une autre : un visuel différent ou
bien encore un rapport au réel différent ?”.

Exactement ce que je disais en IMAX le film une dimension et une proportion inégalable. La séance 3D normale était bien mais en IMAX tu te prends vraiment le film en pleine face et l'experience prends tout son sens. Et on réalise que le discours de Cameron pendant la promo qui conseillait absolument la vision du film en 3D IMAX était tout sauf du bla-bla de promo.
En tout cas j'y retourne dés que possible mais uniquement chez disney, j'aurais du mal à le revoir en simple 3D.

Question : les sous-titres sont comment dans la version "normale" ? en 3D ?

Question : les sous-titres sont comment dans la version "normale" ? en 3D ?

Sincèrement ils ne m'ont pas choqué (en tout cas pas plus que pour un film normal) et de toute façon je les survole plus que je ne les lis réellement)

C'était ironique, j'l'adore ce sodomite !

L’imaginaire numérique recourt souvent à l’histoire pour créer des légendes
et des personnages dont les origines trouvent leurs sources ”au coeur des
mythologies”, pour reprendre un titre de Jacques Lacarrière. Pour que de tels
récits aient ”une valeur véridique et convaincante, force est de (les) attribuer
à des êtres ou des puissances qui échappent aux contingences du temps et de
l’espace, autrement dit à des divinités supra-humaines et éternelles”. Le besoin
de l’homme de se projeter dans des univers parallèles semble aujourd’hui assouvi
dans l’interaction des images de synthèses, qui permet de ”toucher” les images
et de ”pénétrer” dans leur univers. Mais comme pour les récits mythologiques,
l’efficience du leurre est une question de foi.

Avatar usant d'archétype mythologique (et non pas de stéréotype) (...)

C'est de l'intox cette histoire de scène de cul plus crue pour la version DVD?

Je me demande bien a quoi sert une différenciation sexuelle dans un mode de reproduction digne de l'escargot...

edit : d'un autre coté, les escargot sont sexué donc...

Ils ont même le plus grand pénis du règne animal, proportionnellement à leur taille.