Forum de FilmDeCulte

La fin du FDP ?

Heureusement, il restera toujours True Lies.

À moins que le projet récent de série tv (une sorte de suite apparemment) ne les motive à se sortir les doigts.

Le serpent de mer continue d'avancer.

J'ai cru que t'allais annoncer ta venue à la Cinémathèque ce soir.

Bob, je compte sur toi pour lâcher un gros "FDP !" tel le Chewbacca de Deauville.

C'est la version courte, déjà projetée y a quelques années à la Cinémathèque et j'y étais donc pas ce soir.

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Oh putain l'affiche de merde.....

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Netflix les gars, Netflix.

Botox numérique everywhere.
Alors que la (les ?) affiche originale était bien classe.

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

BILANS CINEMA : 2023 I 2024

Notamment celle-là :

T'es sérieux ?

C'est un vrai truc ça ? On dirait les versions minimalistes contemporaines faites par des graphistes à bonnet contents d'eux-mêmes que je dénonce à tour de bras.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

après 3 echecs, j'ai finalement réussi à le voir à la cinémathèque.

alors je ne sais pas si la restauration s'est faite autant trash que celles de true lies et aliens, mais je l'ai trouvée très réussie. c'était même assez fou de voir un film comme ça dans une aussi belle salle, avec une image aussi belle. il n'y a pas l'effet pôle express, c'est juste flambant neuf. vraiment splendide.

ce n'est pas du tout mon film préféré, mais ça reste hyper impressionnant, rempli de scènes et d'idées magiques. la scène de la réanimation, qui me coupe le souffle me fout les frissons et les larmes à chaque fois depuis mes 9 ans, ça reste un sommet absolu, et encore plus impressionnante à cette époque de blockbusters. tout le film est un blockbuster qui jure avec toutes les normes, mais la force de cette scène c'est vraiment tout ce qui manque, le coeur et l'âme, les personnages dont on a quelque chose à foutre, rien que le temps qu'il prend et chaque seconde renforce la puissance, c'est totalement incroyable.

à le voir de manière aussi rapprochée avec tous ses autres, c'est aussi fou à quel point c'est un patchwork complet, des choses d'avant, des choses d'après. c'est son "plus petit", le concept le moins fort, celui qui a le moins marché, l'incarnation la moins conceptuellement forte de son psyché mais tout est là, dans les concepts, l'âme, le rythme, la narration, des éléments visuels, tout.

puis de manière plus anecdotique et qui n'intéressera potentiellement que qui-gon, la rencontre d'ed harris avec les créatures à la fin, avec les extraits de jt etc, à peu près sûr que c'était l'inspiration fondamentale de besson pour les scènes du 5ème élément où leeloo regarde en pleurant les actualités puis décide que l'humanité ne mérite pas d'être sauvée mais finalement si grace à l'amour sincère...

Ça ne fait pas de doute depuis 1997.

Oui, on le citait déjà à l'époque (Besson et les emprunts).

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