Forum de FilmDeCulte

Putain heureusement que non, envie de me flinguer pendant le Mann avec son thème en boucle. Tu t’es spoilé le meilleur passage du film, c’est un peu dommage. Ça me fait plutôt penser à La La Land (à 2:18, moment que j’ai surkiffé du coup).

Ça m'a fait penser à la BO du Mann aussi (qui est génial). Et +1 dur le fait qu'écouter une BO avant de voir un film c'est se spoiler.

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UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

C’était un trigger warning pour voir si tu suivais, je ne suis pas déçu.

Arrête de le traquer.

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There is no such thing in life as normal

J'écoute pas les B.O avant de voir les films. C'est juste que là, y'a un mec sur facebook qui a posté le morceau, en ajoutant une capture d'écran qui illustre le fameux moment à 2:18... Et oui...
Par contre, je ne vois pas bien ce qu'il a pu me spoiler là. Ah si !

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

Tu as bu avant le déjeuner ? Pas tout à fait "soudaon" puisque ça commence avant.

Yup. That movie was wrong. #Traqué

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Plus je pense au film, plus je me rend compte à quel point c'est un objet rare. C'est tellement peu fréquent de voir un biopic qui soit à la fois factuel/hardcore/procédural/froid ET EN MÊME TEMPS (coucou Abyssin) cathartique émotionnellement et fictionnalisé.

En général les films tirés de faits réels sont soit des cinéma-vérités à la Greengrass/Bigelow, soit des fresques un peu mélos et "riches de sens" plus tendance Ron Howard, Eastwood, etc.

Ici, Chazelle réussit à la fois à être documentaire, elliptique, le nez dans le guidon, et en même temps il ose s'approprier Armstrong, tricher même dans les grandes largeurs par rapport à qui il était vraiment afin de raconter une histoire et faire naître l'émotion. Faire cohabiter la procédure NASA dans tous ces détails, cette frustration du réel, et en même temps se permettre l'épisode (a priori totalement bullshit) du cratère. Fort.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Merci vous m'avez donné envie de le voir !

Pas complètement en fait. Apparemment, il aurait repéré un ''bébé cratère" qu'il aurait nommé comme sa fille. Elle était bien dans ses pensées à ce moment.
Du coup le moment du bracelet fait forcé, mais ça laisse une idée plus visuelle et surtout plus intime par rapport au principe de donner son nom à un cratère qui fait trop "public" pour le portrait qui est fait du mec.

http://www.slate.fr/story/168770/cinema-first-man-realite-fiction-lune-nasa-neil-armstrong

@Qui-Gon Jinn, j’avais raison !

Totalement !

C'est aussi ce qui fait que beaucoup trouvent le film "froid" et distant. Mais c'est ça qui est beau.

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CroqAnimement votre

En préambule un conseil à ceux qui ne l'ont pas vu ou qui veulent le revoir: ALLEZ LE VOIR EN IMAX...

Ca fait 10 ans que j'ai pas eu une telle expérience au cinéma. 10 ans que je m'étais pas prit une telle claque dans une salle... 10 ans depuis The Dark Knight. Et pourtant je crois que j'ai vu tout les grands films IMAX sortis au ciné durant cette période (si on omet Samsara peut-être). Et surtout c'est presque une utilisation unique du procédé, ne s'appuyant non pas uniquement sur les vistas urbaines de TDK, la jungle luxuriante de Hunger Games II (l'autre film ayant une justification brillante du format) ou les plans séquences de Gravity, ici c'est l'intime, le gros plan, l'espace confiné qui devient un canevas immense. Alors là certes, seuls les plans sur la lune sont en 1.43, mais putain, que c'est efficace. Qu'est-ce que j'adore cette façon de montrer le cinéma.
Et quel film. Tout à été dit, quelle surprise de découvrir un tel film, son traitement tellement inattendu, unique.

6/6

La BO me fait penser à du Philip Glass par moment... voilà voilà... *que de choses intéressantes j'ai à dire dites moi*

"LA PROVINCE" HEIN?