Forum de FilmDeCulte

Dans les répliques, il faisait court.
Quand on tire on raconte pas sa vie.

J'ai édité.
Dis moi si je me trompe, sans user du mot "schizophrène".

Il y a un peu de cette phrase dans le film norvégien mais après ça s'applique à un tas de films sur le sujet.

Oui, j'veux dire, on a pas encore tourné un film sur une tuerie qui, en terme de représentation (faut vraiment arrêter avec ces formules cuistres façon cdc dernière manière: "en termes de représentation" - vu que tout est représentation au cinéma; c'est de la même eau que ces "travellings qui figurent une libre circulation dans l'espace participant de la possibilité de l'acte de mort" ), était du côté de la mort. Enfin, il me semble. Sauf peut-être dans Le Fantôme de la liberté, de Bunuel: à la fin, tout le monde se fait buter en criant "vive la mort!' vive la mort!".
Mais attention, hein (pour les simplets): c'est pour rire.

Je ne me souviens pas avoir posté un gif de mec qui se branle mais si tu venais de te pignoler, c’était illustratif, rien à voir avec la propriété.

Tu sembles, je dis sembles, avoir une certaine confiance en la solidité de ta rhétorique.

Quand je reçois un gif de mec qui se branle après avoir posté, de la part d'un habitué (pour faire rire à mes dépens ses potes de forum), le message est clair en effet: ça veut dire que à son sens je me pignole. Ce qui veut dire aussi qu'à son sens, lui, et ses potes de forum, ne se pignolent pas, eux.

Et comment j'appelle des mecs qui sont assez confiants pour renvoyer au domaine de la pignole les posts des autres quand eux-mêmes se pignolent dans 75% de leurs échanges: j'appelle ça des mecs qui ont l'esprit proprio.



Edit:


euh, je suis désolé, je viens de vérifier, et je t'avais confondu avec mrHobbes:

Donc humblement, je retire ces propos inappropriés (à ta personne de forumeur).

T’aimes bien passer pour un paria donc tout le monde est content.

Non j'ai horreur de ça, mais tu as le droit de me traiter de masochiste.

Encore toutes mes confuses.

Tartuffe, acte 3, scène 6

Oui cette intro est très bien alors que ça pourrait faire petit malin fier de son effet..
Je me suis aussi dit pendant la séance que c'est exactement les choix à la con qu'on reproche aux personnages des films d'horreur lambda mais que là ça passe crème tellement on s'identifie à cette situation de panique et qu'on est conscient de ces comportements absurdes et irréfléchis créés par l'adrénaline. Le film réussit un tour de force dans le sens qu'il arrive totalement à nous plonger et à nous identifier aux personnages de l'évènement et nous faire oublier qu'on a un coup d'avance sur les personnages puisqu'on connait déjà le déroulé du funeste évènement.

Depuis vendredi le film vieillit très bien dans mon esprit alors que c'est généralement ma principale crainte concernant ces films "spectacle".

Moi, quand j'accuse qqun à tort je le reconnais et m'en excuse.

Mais on va pas espérer ça d'un porc malhonnête et pervers qui me harcèle, me calomnie, me menace en toute impunité depuis des années en jouissant de son anonymat. Et encore je suis poli.

"On veut bien être méchant, mais on ne veut point être ridicule."

Quoi, comment?

Molière l'a bugué. Enfin..Deux références à Tartuffe et il court-circuite.

Arrête ton cinéma.
Je demande: qui ne veut pas être ridicule?


Tu connais mon nom: [édit]
Tu connais mon adresse: [édit]
Tu connais mon n° (je te l'avais donné, mais il a quand-même fallu que t'appelles un centre pharmaceutique puis l'université, que j'avais déjà quittée depuis 10 ans. Tellement t'es à la ramasse, comme malade): [édit]


Oh. Ne suis-je pas ridicule?

Pas la peine de sonner, je ne décroche pas. Comme d'habitude. La première fois m'a suffit.J'attends juste que tu assumes aussi le ridicule. Celui de ta dernière menace physique en date sur ma personne in situ, par exemple (que tu t'es empressé d'éditer, manque de pot j'avais archivé). En donnant ton nom à ton tour.
Parce que ce serait dommage que je ne puisse pas lancer ma plainte avant que tu viennes me péter la tronche. Plus vraisemblablement, j'attends que tes inversions accusatoires pathologiques te poussent à aller te plaindre à la police, car à ce moment, il faudra bien que tu le sortes, ton nom. Tarfuffe au cube.

Pourquoi je te peterai la tronche ? On dirait que cette perspective te fait frétiller. C'est comme un substitut de rivalité universitaire (genre Plessner vs Gehlen), mais sans le moindre contenu, complaisamment entretenue.