Forum de FilmDeCulte

Oui, y a un peu de ça, là. Après le propos politique ne fait pas forcément le grand film, disons que ce n'est pas juste une récréation.

Mec qui ignore les arguments donnés pour retourner à son truc des injures raciales.

Saint-Justisme.

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C'est compulsif? maladif? T'as vraiment manqué ta vocation de dénonciateur pendant l'occupation.

Je défends le point de vue que le film est une grosse blague potache. Libre à vous de penser autre chose mais argumentez. Il y a déjà huit pages de vide là.

*lassitude*

[blast from the past]
Le dernier film avec Jennifer Jason-Leigh que j'ai vu cela doit être "Existenz" (et à cause des Coen je croyais qu'elle était brune).
J'ignorais qu'elle avait épousé et divorcé Noah Bambach entretemps...
[/blast from the past]

Pas moi, je trouve que les deux films (évidemment très différents) tombent sur le même écueil de l'étirement aux forceps autour d'un tout petit contenu. Malgré leurs qualités plastiques évidentes (et leur quasi absence de bande-son aussi, c'est pas la peine de se vanter d'avoir recruté Morricone pour le restreindre essentiellement à une scène d'intro dans laquelle une calèche roule dans la neige pendant deux plombes) et le plaisir de la langue (la beauté de la langue turque d'un côté, le plaisir des accents surjoués de l'autre), je me suis dit à chaque fois que j'étais passé à côté de bons films de 2 heures. Un Tarantino avec des dialogues moyens et des personnages impossibles à aimer, ça passe mal. Si, je sauve du lot le perso de Kurt Russell, qui est attachant par certains côtés, et aussi le fils à papa sudiste. Thématiquement, je n'ai pas vraiment compris ce que venait faire là cette histoire de criminelle à délivrer puisque le film parle d'autre chose. Enfin, quand ça commence un peu à s'exciter et qu'on s'attend à un jeu de massacre ludique, paf,
En le revoyant j'avais été moins sévère avec Death Proof, mais les trois heures de celui-là, je ne suis pas sûr de vouloir me les farcir de sitôt.
2/6

Bofff.

SPOILERS

C'est quasiment 2 fois trop long. Je me suis fait chier comme pas permis dans la première partie. Putain la porte qui ferme pas, ça fait un peu sourire au début, et tu crois qu'à la fin va y avoir un payoff sur ça, mais non, c'est juste relou. La seconde moitié est très bien rythmée, mais au moment du flashback, tu te rends compte que tu t'es bien fait fister : Ok, 3 heures de films pour ce truc tout basique.

J'ai aussi eu du mal avec la violence du film, en roues libres sans que ce soit justifié, là ou les deux précédents géraient ça plutôt bien.

J'aime bien comment Tarantino continue à aller à surprendre pour ses antaognistes : dans Inglorious, le nazi était quasiment le perso principal. Dans Django, le pire bad guy était black. Ici, le personnage maléfique central est une meuf qui n'est pas traitée/filmée comme une meuf. C'est chaud comment elle prend.

Ah et j'ai été gêné par le dernier plan : quelques secondes plus tôt, il y a exactement le même plan, mais avec le mouvement de caméra inverse. J'ai été tellement captivé par ça que j'ai pas écouté la lettre. Elle dit quoi qui mérite qu'on finisse sur ça ?

3/6

T'as pas écouté la lettre ? Ils la lisent au moins deux fois...

C'est quoi le dernier plan déjà ?

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CroqAnimement votre

Il ne lit que quelques phrases au début.

Oui c'est ce qui me semblait. Je comprends pas ce qui te dérange en fait.
La lettre elle dit rien, c'est la même chose que quand Russel la lit au début mais c'est juste qu'on "sait".

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CroqAnimement votre

Bah je trouve le plan assez "iconique", et très singulier dans sa composition et son mouvement de caméra. Je trouve ça fou que ça soit répété.

Russel ne l'a lit pas à voix haute au début (il marmonne juste un bout de phrase)

Revu hier soir.

Je continue à penser qu'il y a une vingtaine de minutes de trop, essentiellement de dialogues en roue libre, mais le film m'a néanmoins captivé une nouvelle fois - troisième vision.

Dans la foulée, j'ai lu le scénario qui avait fuité et je pense que les modifications apportées par Tarantino sont plutôt les bienvenues ; j'ai en revanche été étonné de constater que cela rend à mon sens la séquence moins intéressante et donne du grain à moudre aux spectateurs reprochant à Tarantino un rapport malsain à la violence ou plutôt au sadisme.

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There is no such thing in life as normal

I don't have any thoughts in this video since I never watched it before but as a reader, I think The hateful eight is a good movie than Django Unchained.