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MessagePosté: 11 Oct 2006, 12:17 
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Mon Colonel a écrit:
En oubliant Infernal Affairs je ne pense pas que ce soit un mauvais film, mais définitivement ce qui ne passe ce sont ces choix d'adaptations... c'est fidèle parfois jusque dans les moindres petits détails (le mec qui emménage dans un loft, la psy, l'enveloppe, la chute du haut du building, les conversations enregistrées, le CD... même la chaîne hi-fi à 100k$ (d'ailleurs à ce titre, référence au film original ou scène coupée au montage ?)) mais il y a malgré tout des variantes incompréhensibles, qui au fond ne passent pas : le triangle amoureux,


le triangle amoureux est peu crédible mais ça permet à Scorsese de renforcer le thème du double entre Di caprio et Damon.

Citation:
le bébé

J'ai compris ça comme une allusion aux personnages de Di caprio et Damon, eux aussi sans véritable père. Ils transmettent en quelque sorte cet "héritage" et ne font que perpétuer une situation, sans évidemment l'arranger.

Citation:
la fin, l'implication du FBI, le choix du personnage de Matt Damon qui finalement n'en est pas vraiment un contrairement au film original qui jouait carrément la dessus.

Là le Mal engendré par le perso de Nicholson, symbolisé par Scorsese comme une sorte de Mephostophiles - qui fait même carrément pensé à son rôle dans les sorcières d'Eastwick :lol: - , se répand partout. Bon comme c'est Scorsese le film joue à fond la carte du symbolique, ce que ne faisait pas l'original. Ça explique en partie ces changements, selon moi.


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MessagePosté: 11 Oct 2006, 16:02 
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Jack Griffin a écrit:
Là le Mal engendré par le perso de Nicholson, symbolisé par Scorsese comme une sorte de Mephostophiles - qui fait même carrément pensé à son rôle dans les sorcières d'Eastwick :lol: - , se répand partout. Bon comme c'est Scorsese le film joue à fond la carte du symbolique, ce que ne faisait pas l'original. Ça explique en partie ces changements, selon moi.


Moi, c'est précisément cet apport qui me dérange, cette manière "d'hollywoodianiser" le film en faisant d'un personnage l'incarnation du mal (car Nicholson est le diable dans ce film, rôle trés récurrent dans sa carrière) avec d'un côté les âmes faibles qui succombent à son charme (Damon), et de l'autre les âmes forte, qui lui résistent (Di Caprio). C'est une idéologie trés chrétienne, qui revient de plus en plus dans les films de Scorcese (alors qu'il faisait preuve de bien plus de subtilité avant) : donner un visage au mal, le rendre responsable de tout, pour mieux se déculpabiliser.
Là où le film original, simple série B sans prétention, trouvait un angle narratif intéressant en montrant une société victime de ses vices de procédure (l'infiltration), le film de Scorcese, beaucoup plus ambitieux, tombe dans un manichéisme hypocrite.


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MessagePosté: 11 Oct 2006, 16:43 
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Tetsuo a écrit:
le film de Scorcese, beaucoup plus ambitieux, tombe dans un manichéisme hypocrite.


Bah non justement, tout n'est pas tout noir ou tout blanc dans ce film...faut voir comme DiCaprio est sacrifié pour l'enquête par ses supérieurs, et lui-même n'est pas tout blanc, il couche avec la femme d'un autre (donc elle aussi pas toute blanche), personne n'est tout blanc. Et tout noir non plus : Damon n'est pas le gros pourri. Il n'est pas Nicholson quoi.

Et même Nicholson, son perso est un indic pour le FBI, etc...

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MessagePosté: 11 Oct 2006, 16:44 
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Tetsuo a écrit:
Moi, c'est précisément cet apport qui me dérange, cette manière "d'hollywoodianiser" le film en faisant d'un personnage l'incarnation du mal (car Nicholson est le diable dans ce film, rôle trés récurrent dans sa carrière) avec d'un côté les âmes faibles qui succombent à son charme (Damon), et de l'autre les âmes forte, qui lui résistent (Di Caprio). C'est une idéologie trés chrétienne, qui revient de plus en plus dans les films de Scorcese (alors qu'il faisait preuve de bien plus de subtilité avant) : donner un visage au mal, le rendre responsable de tout, pour mieux se déculpabiliser.


Le rapport au christianisme est présent dès le début de la carrière du cinéaste mais là où avant il prenait ça au sérieux, aujourd'hui c'est traité presque au second degré. Y'a un fort esprit de dérision dans le film, ça doit être l'âge :lol: .
Sinon je ne pense pas que c'est un moyen de se déculpabiliser les persos que de caractériser ainsi le perso de Nicholson. Je n'y vois donc pas d'hypocrisie. :wink: Le scénar n'épargne pas les persos (Di caprio est aussi violent)

Tetsuo a écrit:
Là où le film original, simple série B sans prétention, trouvait un angle narratif intéressant en montrant une société victime de ses vices de procédure (l'infiltration), le film de Scorcese, beaucoup plus ambitieux, tombe dans un manichéisme hypocrite.


Bah l'original, en plus d'être mou et sans idée, ne racontait pas grand chose sur la société.


Dernière édition par Jack Griffin le 11 Oct 2006, 22:06, édité 1 fois.

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MessagePosté: 11 Oct 2006, 20:31 
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Kinky Kelly
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Jack Griffin a écrit:
un souvenir d'hier soir ( et oui c'est ça d'être relégué au troisième étage de la salle du grand Rex)
http://www.youtube.com/watch?v=fInGVfmHFkY

BéaaaaaaaatriiiiiiiIIIIIIIIIIIIIIIce !!!

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"Dans une France fictive, une nouvelle loi autorise un spectateur en état de détresse morale à attaquer un spectateur qui fait "Eeeeeeehng"..."
Qui-Gon Jinn, 16.10.2014


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MessagePosté: 13 Oct 2006, 05:06 
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Grosse tuerie.

C'est vraiment excellent. Mis à part le dernier quart d'heure un peu longuet, c'est vraiment un très bon film. J'ai largement préféré à l'original.

Le début comme l'a souligné Freak est excellent. C'est du bonheur. Sincérement, entre le casting, le scénario et la mise en scène... on est grave servi.

J'adore les seconds rôles comme ceux de Baldwin et Wahlberg. Ils ont des dialogues d'enfer !

Un de mes films préférés de l'année.

5.5/6


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MessagePosté: 13 Oct 2006, 05:09 
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Tetsuo a écrit:
Jack Griffin a écrit:
Là le Mal engendré par le perso de Nicholson, symbolisé par Scorsese comme une sorte de Mephostophiles - qui fait même carrément pensé à son rôle dans les sorcières d'Eastwick :lol: - , se répand partout. Bon comme c'est Scorsese le film joue à fond la carte du symbolique, ce que ne faisait pas l'original. Ça explique en partie ces changements, selon moi.


Moi, c'est précisément cet apport qui me dérange, cette manière "d'hollywoodianiser" le film en faisant d'un personnage l'incarnation du mal (car Nicholson est le diable dans ce film, rôle trés récurrent dans sa carrière) avec d'un côté les âmes faibles qui succombent à son charme (Damon), et de l'autre les âmes forte, qui lui résistent (Di Caprio). C'est une idéologie trés chrétienne, qui revient de plus en plus dans les films de Scorcese (alors qu'il faisait preuve de bien plus de subtilité avant) : donner un visage au mal, le rendre responsable de tout, pour mieux se déculpabiliser.
Là où le film original, simple série B sans prétention, trouvait un angle narratif intéressant en montrant une société victime de ses vices de procédure (l'infiltration), le film de Scorcese, beaucoup plus ambitieux, tombe dans un manichéisme hypocrite.


J'aime bien le plan où les deux portables de Dicaprio sont posés sur la table. Le rouge pour la pègre et le bleu pour la police. Le Bien et le Mal.


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MessagePosté: 13 Oct 2006, 13:29 
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Film Freak Returns a écrit:
Tetsuo a écrit:
le film de Scorcese, beaucoup plus ambitieux, tombe dans un manichéisme hypocrite.


Bah non justement, tout n'est pas tout noir ou tout blanc dans ce film...faut voir comme DiCaprio est sacrifié pour l'enquête par ses supérieurs, et lui-même n'est pas tout blanc, il couche avec la femme d'un autre (donc elle aussi pas toute blanche), personne n'est tout blanc. Et tout noir non plus : Damon n'est pas le gros pourri. Il n'est pas Nicholson quoi.

Et même Nicholson, son perso est un indic pour le FBI, etc...


Oui, mais les éléments que tu cites ne sont que des artifices scénaristiques qui consistent à nuancé les personnages mais qui ne change en rien la nature profonde du film. En gros, tu enlèves tous ça, le film sera exactement le même. C'est pour ça que je parle d'hypocrisie.
Au contraire d'un film comme la soif du mal, qui joue sur cette dualité bien/mal, où la personalité des héros influe directement sur la dynamique du récit.
Là, le seul vrai moteur dramaturgique c'est Costello, qui incarne le mal et qui corromp les faibles. Il est celui sans qui tout irait bien, celui dont il faut absolument se débarasser. Vision, trés américaine du monde...


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MessagePosté: 13 Oct 2006, 13:39 
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Jack Griffin a écrit:
Le rapport au christianisme est présent dès le début de la carrière du cinéaste mais là où avant il prenait ça au sérieux, aujourd'hui c'est traité presque au second degré. Y'a un fort esprit de dérision dans le film, ça doit être l'âge :lol: .


En fait j'ai toujours trouvé le cinéma de Scorcese moins intéressant quand il touchait, de manière plus ou moins frontale, à la religion. Il devient beaucoup moins pertinent.
En quoi y vois-tu de la dérision ?

Jack Griffin a écrit:
Sinon je ne pense pas que c'est un moyen de se déculpabiliser les persos que de caractériser ainsi le perso de Nicholson. Je n'y vois donc pas d'hypocrisie. :wink: Le scénar n'épargne pas les persos (Di caprio est aussi violent)


Donné une figure au mal, le concept même du diable, c'est une forme de déculpabilisation. Et je parle de ça d'une manière générale, bien au-delà du cinéma...
A ce propos, la violence de Di Caprio m'a géné, je n'y ai pas cru...

Jack Griffin a écrit:
Bah l'original, en plus d'être mou et sans idée, ne racontait pas grand chose sur la société.


Non, c'est sur. C'est surtout le postulat de départ qui est intéressant. Mais à ne pas prétendre à autre chose, il ne se cassait pas les dents...


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MessagePosté: 13 Oct 2006, 13:41 
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Neville a écrit:
J'aime bien le plan où les deux portables de Dicaprio sont posés sur la table. Le rouge pour la pègre et le bleu pour la police. Le Bien et le Mal.


Ca résume bien la simplicité du film et, j'en ai bien peur, la simplicité du cinéma de Scorcese...


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MessagePosté: 13 Oct 2006, 16:39 
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Tetsuo a écrit:
Neville a écrit:
J'aime bien le plan où les deux portables de Dicaprio sont posés sur la table. Le rouge pour la pègre et le bleu pour la police. Le Bien et le Mal.


Ca résume bien la simplicité du film et, j'en ai bien peur, la simplicité du cinéma de Scorcese...


Après on a tous nos conceptions du truc. Pour ma part je pense que tout est binaire. Evidemment que l'être humain est un mélange de bien ET de mal, mais on a tous un camp dans lequel on est plus à l'aise.

Il y a donc pour moi les gentils et les méchants. Et puis dans The Departed, les personnages incarnent ce mélange. Damon n'est pas faible, il est reconnaissant envers Costello. C'est un bon flic et un mauvais gangster, voilà pourquoi il est dans cette situation. Quant à DiCaprio, c'est un mauvais flic et un bon gangster...etc

Damon cause le mal par ricochet, il ne met jamais vraiment les mains dedans sauf lorsqu'il se trompe de cible dans l'allée alors que Dicaprio met les mains dedans.

Je pense qu'on est souvent "choqué" lorsqu'un personnage est froncièrement méchant parcequ'on ne trouve pas ça subtil mais bon.... Il existe de telle personne. Costello est un pur enculé et c'est pour ça qu'il reigne en maître.


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MessagePosté: 13 Oct 2006, 16:42 
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Tetsuo a écrit:
A ce propos, la violence de Di Caprio m'a géné, je n'y ai pas cru...


C'est peut être justement parce qu'il n'y croit pas lui-même... Lorsqu'il explose, on sait, en tant que spectateurs, que c'est un moyen pour lui de "faire croire" à son statut de gangster.

Il n'y a que dans la scène avec le drogué et celle avec Damon sur le toit, que là, on sent la vraie rage.


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MessagePosté: 14 Oct 2006, 00:41 
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Schtroumpf sodomite
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Neville a écrit:
Pour ma part je pense que tout est binaire. Evidemment que l'être humain est un mélange de bien ET de mal, mais on a tous un camp dans lequel on est plus à l'aise.

Il y a donc pour moi les gentils et les méchants.


Tu m'excuseras si je n'adhère pas du tout à cette vision des choses...

Neville a écrit:
Je pense qu'on est souvent "choqué" lorsqu'un personnage est froncièrement méchant parcequ'on ne trouve pas ça subtil mais bon.... Il existe de telle personne. Costello est un pur enculé et c'est pour ça qu'il reigne en maître.


Le fait qu'un personnage soit un bad guy à 100% ne me gène pas du tout en soit. Au contraire même, je trouve ça plus intéressant qu'un méchant nuancé ou "excusable", ce qui est souvent plus artificiel... En l'occurence j'ai trouvé le personnage de Costello et l'interprétation qu'en fait Nicholson, tout à fait remarquable. C'est son implication dans le film qui me dérange...


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MessagePosté: 15 Oct 2006, 20:33 
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Antichrist
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Je n ai pas vu The Departed, mais je treouve que rqrement dans le cinema de Scorsese le bien est clairement inmcarne par un personnage. Le diable, oui, sans aucun doutem des taxi Driver, mais meme le christ est montre humain, donc faillible. Pour moi, justement, le heros scorsesien est traverse par le bien et le mal en meme temps, et cette ambiguite nourrit la filmo du real. Jack La Motta est il un homme bon ? L affranchi est un Judas ou un homme bon ? Travis est il un ange exterminateur ou un homme perdu ? sinon, bien sur dans la realite, je crois au gris.


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MessagePosté: 16 Oct 2006, 16:46 
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Schtroumpf sodomite
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Karloff a écrit:
Je n ai pas vu The Departed, mais je treouve que rqrement dans le cinema de Scorsese le bien est clairement inmcarne par un personnage. Le diable, oui, sans aucun doutem des taxi Driver, mais meme le christ est montre humain, donc faillible. Pour moi, justement, le heros scorsesien est traverse par le bien et le mal en meme temps, et cette ambiguite nourrit la filmo du real. Jack La Motta est il un homme bon ? L affranchi est un Judas ou un homme bon ? Travis est il un ange exterminateur ou un homme perdu ? sinon, bien sur dans la realite, je crois au gris.


D'où cette hypocrisie qui m'a géné dans the Departed, où face à la figure du mal clairement définie, on fait mine de ne pas lui opposer une figure du bien. Mais la soit-disante ambiguité des personnages dans ce film-ci, ne méne à rien, elle ne fait pas évoluer le récit. Ce n'est que de "l'édulcoration".
Là où un film comme les Affranchis est admirable, c'est dans le fait que chaque personnage joue sa partie comme il l'entend, par delà le bien et le mal. A chacun sa raison. Et le moteur du film réside dans les contradictions qui en résultent. C'est beaucoup plus complexe/pertinent/réaliste qu'un méchant qui vient foutre sa merde.


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