Forum de FilmDeCulte

Ce film tue, vos gueules les vieux.

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Rendez-nous Richard Pryor ! Au moins il mettait de l'ambiance lui...

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N'écoutez pas Film Freak

Ben ouais 1 pour ...
et 1 pour ...
en gros 2/6 merde c'est pas difficile quand même

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T'as quel âge ? (vraie question)

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

2e vision (en Blu-Ray) est paf le film gagne 1 point...c'est vraiment très réussi comme adaptation, Singer prend son temps, construit le personnage et en fait une légende. Les qualités de ce Superman

sont innombrables : une mise en scène majestueuse et élégante, des détails qui enrichissent l'histoire, le meilleur méchant que Superman aie eu à affronter et des séquences d'une beauté incroyable.

Bon après pour moi, ça n'égale pas le diptyque X-Men pour un petit manque de force dramatique mais l'ensemble est très classe. Et le film est clairement sous-estimé.

Un gros 5/6



United we stand

J'avais bien vu venir le truc...

Ouais donc je l'ai revu hier soir et je confirme que, malgré un rythme un peu pépère, c'est quand même super classieux et majestueux, et surtout vachement touchant.

La relation de rivalité qui n'ose dire son nom entre White et Superman c'est un des meilleurs trucs du film en plus... C'est vraiment riche, sérieux, beau.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Y a un côté grand classique qui fonctionne à donf, entre l'hommage au Donner et le triangle amoureux à la Casablanca en passant par tous ces référents christiques...

On aura beaucoup charrié le manque d'action du film, au final j'y vois surtout l'originalité d'un film qui privilégie un climax émotionnel - avec le double pay-off chemin de croix/crucifixion/résurrection + lien filial/lien à ce monde du parcours du héros - à un climax spectaculaire (renvoyé au début avec l'extraordinaire scène de l'avion).

Quatre ans après, maintenant que l'on sait la suite abandonnée (et de toute façon, Singer se tirait une balle dans le pied avec le personnage de Jason), je vois Superman Returns comme une comic book one-shot. Le genre de graphic novel limite hors continuité que de temps en temps un auteur choisit de sortir our raconter son histoire.

Dans un monde idéal, tout le monde irait de son interprétation d'un personnage...le Batman de Nolan côtoierait non seulement celui de Burton mais aussi celui d'Aronofsky...et finalement, avec tous ces reboots, on s'en approche presque...le Hulk d'Ang Lee n'a pas donné lieu à une franchise mais au moins he got to tell his story, comme Singer.

De toute façon, Superman a connu bien des incarnations et en connaîtra encore beaucoup d'autres...je suis curieux de voir celle produite par Nolan.

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Ah, Sans Nom, c'est toujours un plaisir.

Tiens, c'est marrant ce message que je lis (pour la première fois ?) quatre ans après sa rédaction. A l'époque, je bossais depuis peu dans un vrai boulot, et je n'avais pas forcément conscience que certains, même parmi les très grands, les plus grands, sont avant tout des "employés" qui bossent pour un salaire (on a d'ailleurs beaucoup évoqué, ces dernières années sur le forum, le manque d'argent pour justifier la médiocrité).

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

T'y avais déjà répondu :
superman-returns-singer-2006-t3599-90.html

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Yes j'ai vu ça après, je ne m'en souvenais plus du tout. Par contre, j'ai encore un peu durci mon discours : non seulement je peux comprendre qu'un mec fasse ce boulot en le considérant "juste" comme un boulot, mais je comprends d'autant mieux qu'il le fasse aussi en fonction de l'argent investit par son financier.

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Étant donné que c'est un des films qui reviennent systématiquement dans chaque GRF, je me suis dit qu'il fallait vraiment que je le regarde un jour.

Eh bien j'ai vraiment aimé. J'aime bien cette simplicité et ce classicisme, assez old-school, qui tranchent radicalement avec les films de super-héros actuels versant de plus en plus dans l'action totale et ininterrompue. C'est vrai que comme beaucoup, j'aurais aimé une vraie grande scène d'action dans la dernière demi-heure, qui est de loin le morceau le plus faible du film. Une fois que les enjeux sont vraiment précisés et que la course contre la montre démarre, le film devient largement moins intéressant, et même parfois ennuyeux par moments, pour laisser le spectateur à l'arrivée frustré.
Et c'est bien dommage tant le film est jusque là très beau, à la fois ample et intimiste, laissant respirer et vivre ses personnages au milieu de décors là encore old-school, mais dans le bon sens du terme, à savoir colorés, chatoyants, loin de la grisaille habituelle. Même dans ses moments les plus sérieux, le film garde toujours une certaine innocence, une certaine candeur, grâce à la mise en scène classique mais parfois élégante de Singer, à la photographie lumineuse (sauf dans la dernière partie du film, encore une fois, esthétiquement laide), et au jeu de Brandon Routh qui passe habilement du costume de Clark Kent à celui de Superman. Pour cette raison, je veux bien pardonner Singer pour cette fin moisie. Mais ça ne veut pas dire que j'en garderai un souvenir impérissable, le tout étant très agréable mais trop lisse, trop classique, pour devenir un classique absolu du genre. En l'état, ça reste un vrai plaisir.

4,5/6 (probable passage à 5/6 à la revoyure, il me semble que c'est un film, de part sa facture classique et son attachement aux personnages et aux petites scènes sans importance, qui gagne à être revu)

Si seulement ça pouvait être ça... Yen a gros des Iron man et compagnie.

Film oublié...En tout cas quand on cherche la BA sur youtube, warner n'oublie pas de nous mettre celle de Man of steel avant


C'est fou comme ça serait pas du tout vendeur aujourd'hui

je la trouve super romantique. Par contre les acteurs ont tous disparu.