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C'est quoi ce happening national débile pour... des poupées ?

Nan mais qu'on interdise ça, pourquoi pas (et encore, je préfère que les pédophiles se tapent des poupées en plastique que des fillettes à la sortie de l'école, hein... Si ça permet de canaliser leurs pulsions, ça me va très bien), mais cette espèce de grand chambard bien-pensant sur fond de déclin de la France, très peu pour moi.

Après, doit y avoir une très belle scène de comédie à réaliser en montrant les agents des douanes en train d'ouvrir des montagnes de colis chinois remplis de babioles débiles pour trouver des poupées.

Quel est le rapport ?
Qu'est-ce qui justifie une intervention du premier ministre et une fouille de centaines de milliers de colis pour des sex toys ?

Beaucoup de gens pensent que ça aide les pédo à canaliser leurs pulsions, alors qu'en fait ça favorise le passage à l'acte.

Moi, dans ce cas, je passe en mode dictateur, et je fais convoquer par la police tous les acheteurs.

Nan mais avoir des pulsions pédophiles, c'est pas un choix à la naissance, hein... Foutre tout le monde en taule, c'est vachement la solution.

Ahmed Hussein al-Charaa naît à Riyad en 1982[1], officiellement le 29 juillet 1982, même s'il affirme qu'il serait en fait né le 29 octobre[2]. Son père, Hussein al-Charaa, économiste de formation, acquis aux idéaux de la gauche nationaliste arabe, travaille alors comme ingénieur au ministère du pétrole saoudien[1],[3]. Sa famille, originaire de Fīq, une colonie syrienne du plateau du Golan[4], où le grand-père Ali possédait plus de 80 % des terres du village, s'était auparavant établie à Damas en Syrie, après avoir fui l'occupation israélienne lors de la guerre des Six Jours[3],[5]. La généalogie d'Ahmed et son père remonte à un ancêtre nommé « Taleb », qui aurait participé à la résistance contre le mandat français de Syrie et est issue du clan Salamat de la tribu Anizah[6].

He returned to Syria in 1989 with his family. After being rejected for a government position, he worked as an English teacher in Daraa and was imprisoned again before later serving as an advisor to the ministry of petroleum, a position he eventually left.[4][3] He moved to the Ministry of Planning and resigned in 1999 to establish a real estate office in Mezzeh, Damascus.[13] It is said that his family owned a shop in the upscale Mezzeh district of Damascus.[1] After Hafez al-Assad died in 2000 and his son Bashar al-Assad succeeded him, there was a brief period known as the Damascus Spring, in which al-Sharaa was a prominent participant and one of the signatories of a document calling for elections.[14][1] In 2005, he was among the signatories of the Damascus Declaration, which called for an end to Assad family's rule and a transition to a democratic system.[15] After the Syrian civil war broke out in March 2011, al-Sharaa settled to Egypt.[1]