Forum de FilmDeCulte

ça me donne presque envie de le lire

Il y a Nolan je pense... et, heu, A moi seule ?

Ah oui mais non, justement...

Oui, le pitch, ça doit viser Inception.

Raoul Ruiz, Manoel de Oliveira ?

Non mais je veux dire : Resnais, Oliveira, c'est des réals qu'ils défendent à mort, donc c'est HS.

Ah oui, c'est vrai. Je vois pas du coup de qui ils parlent, Les Cahiers adorent la fantaisie pas drôle, le rire MK2 comme je l'appelle.

Ils ont peut-être détesté Suleiman, remarque.

Qui aurait cru qu'on pourrait regretter Burdeau, hein...

On dirait une imitation de technikart par des institutionnels heureux de s'essayer à la déconne

D'après ce que je lis en diagonale les nomminés sont:

1. Le pitch:
Steve McQueen (Shame)
Xavier Giannoli (Superstar)


2. La continuité dialoguée
François Ozon (Dans la maison)
Michale Boganim (La Terre outragée)

3. Le syndrome Natasha Kampusch
Tous les films basés sur des faits-divers dont:
Omar m'a tuer (Roschdy Zem)
Présumé coupable (Vincent Garrenq)
17 filles (Muriel & Delphine Coulin)
38 Témoins (Lucas Belvaux
Possessions (Eric Guirado)
A perdre la raison (Joachim Lafosse)
A moi seule (Frédéric Videau)
Compliance (Craig Zobel)
Michael (Markus Schleinzer)

Ils en sauvent quelques uns (dont Compliance )

4. Le culte de la maîtrise
Les Coen (comme précurseurs) mais surtout: Haneke, Nolan/Fincher (évidemment), Refn, Von Trier

5. Un sérieux de pape
Haneke, Nolan, Béla Tarr, Nuri Bilge Ceylan, Steve McQueen, Malick (comme contre-exemple)

6. Des films sans images
Le naturalisme "cinéma utile":
Pierre Schoeller (L'Exercice de l'Etat)
Cedric Kahn (Une vie meilleure)

Le monochrome:
Millenium (David Fincher)
Shame (Steve McQueen)

L'Indie-cute:
Martha Marcy May Marlene (qu'ils sont pas foutus d'écrire correctement)

Le film fauché:
Sibérie (Joanna Preiss)
Jeanne Captive (Philippe Ramos)
HPG
Avec Dupieux en contre-exemple.

7. Les acteurs interchangeables
Michael Fassbender chez Steve McQueen
Ryan Gosling dans Drive, Nina Hoss dans Barbara, Anders Danielsen Lie dans Oslo, 31 Août (tout ça représentant l'underplaying)
Puis essentiellement des contre-exemples (Huppert chez Hong Sang-soo, Greta Gerwig dans Damsels in Distress etc.)

8. Les non-lieux du montage
Joachim Lafosse (A perdre la raison)
Benoît Jacquot (là je suis d'accord pour Les Adieux à la reine)
Olivier Assayas
Ursula Meier (L'Enfant d'en haut)

9. Le radical chic
Nicolas Klotz, Béla Tarr, Raya Martin, Alejandro Fadel (Los salvajes), Reygadas, Ulrich Seidl
Contre-exemples: Pedro Costa, L'Eté de Giacomo

10. La fantaisie pas drôle
Délepine et Kervern (Le Grand Soir)
Pascal Bonitzer (Cherchez Hortense)
Julie Delpy (2 Days in New York)
Valérie Donzelli (Main dans la main)
Contre-exemple: Damsels in Distress

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VADE RETRO - Une histoire du cinéma d'horreur

Quel bordel...

1. Le pitch:
Steve McQueen (Shame)
Xavier Giannoli (Superstar)

Shame, film à pitch ?


2. La continuité dialoguée
François Ozon (Dans la maison)
Michale Boganim (La Terre outragée)
Je comprends toujours pas


3. Le syndrome Natasha Kampusch
Tous les films basés sur des faits-divers dont:
Omar m'a tuer (Roschdy Zem)
Présumé coupable (Vincent Garrenq)
17 filles (Muriel & Delphine Coulin)
38 Témoins (Lucas Belvaux
Possessions (Eric Guirado)
A perdre la raison (Joachim Lafosse)
A moi seule (Frédéric Videau)
Compliance (Craig Zobel)
Michael (Markus Schleinzer)

Le dernier n'est pas inspiré d'un fait divers.

4. Le culte de la maîtrise
Les Coen (comme précurseurs) mais surtout: Haneke, Nolan/Fincher (évidemment), Refn, Von Trier

Les meilleurs réals donc


5. Un sérieux de pape
Haneke, Nolan, Béla Tarr, Nuri Bilge Ceylan, Steve McQueen, Malick (comme contre-exemple)

Itou


6. Des films sans images
Le naturalisme "cinéma utile":
Pierre Schoeller (L'Exercice de l'Etat)
Cedric Kahn (Une vie meilleure)

Le monochrome:
Millenium (David Fincher)
Shame (Steve McQueen)

L'Indie-cute:
Martha Marcy May Marlene (qu'ils sont pas foutus d'écrire correctement)

Le film fauché:
Sibérie (Joanna Preiss)
Jeanne Captive (Philippe Ramos)
HPG
Avec Dupieux en contre-exemple.

Soit je pige pas le concept, soit il est con.


7. Les acteurs interchangeables
Michael Fassbender chez Steve McQueen
Ryan Gosling dans Drive, Nina Hoss dans Barbara, Anders Danielsen Lie dans Oslo, 31 Août (tout ça représentant l'underplaying)
Puis essentiellement des contre-exemples (Huppert chez Hong Sang-soo, Greta Gerwig dans Damsels in Distress etc.)

Mais lol

8. Les non-lieux du montage
Joachim Lafosse (A perdre la raison)
Benoît Jacquot (là je suis d'accord pour Les Adieux à la reine)
Olivier Assayas
Ursula Meier (L'Enfant d'en haut)

Mouais, je vois ce qu'ils veulent dire, mais bon

9. Le radical chic
Nicolas Klotz, Béla Tarr, Raya Martin, Alejandro Fadel (Los salvajes), Reygadas, Ulrich Seidl
Contre-exemples: Pedro Costa, L'Eté de Giacomo

et donc Miguel Gomes. ça ressemble au bon et au mauvais chasseur


10. La fantaisie pas drôle
Délepine et Kervern (Le Grand Soir)
Pascal Bonitzer (Cherchez Hortense)
Julie Delpy (2 Days in New York)
Valérie Donzelli (Main dans la main)
Contre-exemple: Damsels in Distress[/quote]

ils ont oublié Resnais

et si les Cahiers du cinéma n'aimaient justement plus le cinéma ?

Karloff, on va tous se cotiser pour t'offrir un stage de quotage.

"Michael Fassbender accro au sexe"



Ah, tu vas m'obliger à lire en plus!

Ils regrettent la toute-puissance du scénario encadrant, bornant et rendant aveugle le film à son environnement.
Les contre-exemples c'est:
La nouvelle caméra-stylo (Rengaine, Donoma)
Hong Sans-soo, Ameur-Zaïmeche, Dumont, Go Go Tales, The We and the I, L'Apollonide.


Là, il (Stéphane Delorme) parle de systématismes et normalisations dans la texture de l'image avec ses diverses catégories. Il y en a une dernière d'ailleurs "La petite profondeur de champ" (pas de jeu avec l'espace et la lumière) mais sans exemple.

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VADE RETRO - Une histoire du cinéma d'horreur

Plutôt un film à splitch...

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