Forum de FilmDeCulte

pour répondr eà ta question, Léo, pour ma part, Burton m'inquiète beaucoup ces derniers temps, donc non...
sinon, j'ai effectivement pensé à une version "fête foraine" de The Village...

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Be cool Léo.



C'est une vraie révélation pour ma part, beaucoup de charisme. Je suis assez pour qu'on la revoit rapidement en tête d'affiche.

Tiens d'ailleurs on la verra dans le Monster Movie The Cave, début 2006.

yeah !

Une petite image pour toi.

Bon, malgré le fait que j'ai défendu Gilliam dans le reste du topic, une fois la vision des frères Grimm terminé, j'ai un goût d'essai manqué qui perdure.
Le film est intéressant, il y a des idées visuelles et narratives dantesque mais ce qui fait l'originalité et le génie de Gillima n'est pas présent : la cohérence et le soucis du détail.
Ce qui frappe d'abord, ce sont les différentes ambiances qui se chevauchent - non pas avec homogénéité comme dans Brazil - mais avec beaucoup de décalage : on passe de scènes horrifiques marquante à des scènes de tension quasi-muettes(hansel et gretel) à du buddy movie.
Pris à part les sement vont du 'trop d'la merde' à ' waaaaaaa' mais il manque du liant.
Ce qui est ultimement décevant en fait, c'est le manque de finition présent à tous les niveaux. L'intrigue se lance sur plusieurs pistes et favorise la résolution la moins intéressante de la plus faible d'entre-elles. Les personnages - sauf les Grimm - restent à l'état de silhouette et c'est bien dommage parce qu'on sent que le scénario en a sous le coude. Même le visuel perd parfois en cohérence (les CGIs ultra clean font parfois tache comme le GingerBread - scène géniale au début mais qui finit sur un effet à la shrek totalment à chier) ce qui est certainement une mauvaise surprise venant d'un réalisateur comme Gilliam, célèbre pour son exigence.
A part ça le film est vraiment agréable, les acteurs sont excellent - sauf Stomare, personnage inutile et énervant qui est pour beaucoup dans le manque de cohérence de ton du film - et certains détails sont effarants d'intelligence. Dommage que dans les grandes lignes, le film ressorte comme mal boulonné et fuyant de partout la faute à un réalisateur et à un producteur dsirant viser moultes publics à la fois.

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"I'm so cool you could keep a side of meat in me for a month! I'm so hip I have trouble seeing over my pelvis!"

Semi-deception pour moi...

Je pensai voir un film de Gilliam et j'ai vu un film sans personnalité... a des moments je croyais voir Sleepy Hollow a d'autres the Village... ... l'ensemble tiens plutot la route, je ne boude pas le petit plaisir que j'ai pris, c'est très distrayant, mais il manque des trucs... la papatte du Réa. un montage digne de ce nom...

Enfin... un 4/6 mais j'attendais tellement plus

EDIT- Finalement 3/6... et peut etre moins... avec le recul... le film vieillit super mal... /EDIT

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SwingKid

Gilda:" Me... Yes, I'm decent"

Pvb: "Si à la Saint Valentin elle te carresse la main, vivement la Saint Marguerite..."

Ultra chiantitude, j'ai trouvé ça sérieusement nul de bout en (mi)bout (je suis parti avant la fin tellement ça me soulait).
Quelques effets-spéciaux, des acteurs pas trop mauvais, mais le tout me laisse de marbre.
1/6

Je suis d'accord c'est trés trés ennuyeux... les acteurs ne degagent rien meme monica belluci est plate dans ce film je trouve... trés chiant et aprés l'avoir vu une fois on n'a pas envie de le revoir sauf en cas de crise de chiantite aigu...

Vrai client de Gilliam, je n'ai tout de même pas (encore) tout vu, conscient des limites du bonhomme.

Et celui-ci semble être la compilation de celles-ci. C'est très studio, dans le mauvais sens du terme, car ça ne peut qu'être studio, ça va totalement avec la logique du film, mais on a vraiment l'impression de se retrouver devant un téléfilm, tellement les cadres sont terriblement serrés. Ajouté à leur positionnement tout gilliamesques (même si pas aussi excessif qu'on peut le craindre), c'est tout d'abord une réalisation beaucoup trop tape-à-l'oeil. Ce style de réalisation qui nous font croire qu'on serait capable de faire aussi médiocre.
Un coup, ça marche. Deux coups, c'est affreux.

Bon, pas aidé il est vrai par l'abus de CGI. La réal typique de Gilliam fonctionne beaucoup mieux avec du physique. Alors ça n'excuse pas tout mais le CGI aura fait du mal à son cinéma, il n'est pas fait pour ça. Son Fear and Loathing in Vegas l'avait plus ou moins montré, en mode culte adolescent “ouais, ça prend des drogues” et son touchant Imaginarium du Docteur Parnassus est saqué par l'ordinateur.
Je n'ai pas vu son film avec Waltz, qui a l'air affreux (mais je crois que sa thématique, j'ai cru comprendre, orwelienne me le fera voir). Et son finalement Don Quichotte, sans répondre à d'éventuelles attentes vu un des plus grand teasing de l'histoire du cinéma, fonctionne beaucoup mieux, notamment par un ancrage dans le physique, le palpable, qui donne cette touche de réel pour rendre acceptable les fantasmagories de l'auteur.

Et c'est dommage, parce que le pitch a un vrai potentiel.
Les frangins Grim sont parfaitement castés avec le très intelligent mais fadasse Damon en petit malin (le gars qui, avec sa tête de cul, en bataille avec son surpoids génétique et son jeu limité, arrive à avoir une énorme carrière) et un Heat Ledger qui a chaque apparition fait regretter sa disparition précoce, le duo fonctionne entre le second dont la présence écrase le premier mais comme le personnage du premier écrase le personnage du second, ya une vraie alchimie.

Le plaisir du rappel de l'agressivité et de la violence française outre-Rhin que les idiots ont occulté, trop souvent ramené aux délires du seul Napoléon (et par là-même une des plus grosses Erreur 404 de l'Hexagon, qui ne comprendra finalement jamais en quoi il est détestable), malheureusement gâché par le personnage parmesan, donnant des relents d'anti-latinités qui donneraient presque raison aux idiots. Et avoir Monica Bellucci, superbe, n'équilibre pas la chose, dans un rôle cosmétique. On finit par avoir l'impression d'une médiocre revanche germano-saxonne par le biais de l'évocation de deux immenses auteurs, inégalés en leur temps et à l'impact peut-être inégalable finalement, européens.

C'est donc juste assez malin mais jamais ça ne peut être transcendé par un Gilliam en mode automatique, dont les meilleurs films reposent sur sa folie ou un scénario au cordeau. Là, sa folie est trop artificielle et le scénario n'est certes pas catastrophique mais reposant beaucoup trop sur son concept. Et beaucoup trop répétitif.

Ca s'agite dans tous les sens mais c'est finalement chiant. Malgré un certain divertissement (le jeu, pourtant trop sous-exploité de reconnaître les contes, n'y est pas pour rien).
Pas honteux, alors que j'ai cru comprendre que Gilliam le renie plus ou moins. Un peu trop dans son personnage pour le coup.
Pas nul mais médiocre.
Cette impression d'être finalement un film pour enfants, dans le mauvais sens du terme, et que ça ne rend évidemment pas justice à la marque culturelle monumentale des deux frangins.

L'impression quand même, sans doute fausse d'autant que je ne les ai pas vu, que ça a préparé le chemin aux Blanche-Neige et le Chasseur et autres, plus séries aussi, enfin tous ces trucs pseudo-métas.
Voir, Harry Potter. Que je ne connais aussi que très peu, n'ayant jamais tenu en entier devant un film (que je n'ai jamais cherché à voir pour être honnête, tombé sur des extraits ou des bouts en mode random), mais ce sentiment de mauvais best-of d'un imaginaire, voire d'un pan culturel (du sous-Tolkien ou CS Lewis quoi).

D'occasion, tente le Cuaron. J'en ai vu 2 autres, ça m'a vite soulé.

J'avais bcp aimé mais j'étais jeune (en fait pas tant que ça).

Un jour le monde se réveillera et comprendra que sans de bons chef op et monteurs, Gilliam est une gigantesque fraude.

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Netflix les gars, Netflix.

Rien que pour etre le papa de Brazil, il mérite le respect.

Taré, punk, branleur, Gilliam est plein de choses mais pas une fraude.
Mais oui, il lui faut un certain cadre. T'aurais pu ajouter un bon scénariste.Et le 1er HP est de 2001 (putain...), donc c'est ce Frères Grimm qui devait surfer sur la vague, avec le mérite d'essayer un pas de côté, même si pour pas grand chose.

On est d'accord, il a peut-être plein de qualités en tant qu'artiste. Mais en tant que cinéaste capable de diriger un plateau et de raconter une histoire, il est nullissime.

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Netflix les gars, Netflix.