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MessagePosté: 08 Fév 2007, 01:56 
hal5 a écrit:
J'ai beau chercher, je ne crois pas avoir vu cette image dans le film. Tu confirmes ?

Si si, c'est bien dans le film... Mais ce plan est furtif, faut bien faire attention. :)


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MessagePosté: 08 Fév 2007, 02:03 
hal5 a écrit:
Ah tu es sûr sûr ? On la voit en peignoir sur le fauteuil et tout ? Je reste très dubitatif...

Elle est bien assise et on voit les putes danser dans cette position. En fait, dans cette scène, la caméra s'agite beaucoup et on ne distingue pas très bien, juste des lumières stroboscopiques. Mais cette image est bien dans le film. :lol:


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MessagePosté: 08 Fév 2007, 02:06 
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hal5 a écrit:
A l'image des dix dernières minutes de [i]Mulholland Drive


Ca ressemble aux dix dernières minutes de MD?

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MessagePosté: 08 Fév 2007, 02:07 
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Le quoteur fou
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hal5 a écrit:
"mais pourquoi alors ont-ils choisi ce plan pour en faire une image d'exploitation?"

Cela arrive parfois. Je suppose que cette pratique ne gène personne, pas même les spectateurs attentifs qui s'en rendent compte.

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MessagePosté: 08 Fév 2007, 02:20 
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hal5 a écrit:
Voilà, en entretenant pas mal de liens avec celui-ci quand on y regarde de plus près.


Merci, moi qui hésitait par esprit de contradiction à aller le voir, ca sera définitivement non.

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MessagePosté: 08 Fév 2007, 09:13 
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hal5 a écrit:
Blissfully a écrit:
Image

J'ai beau chercher, je ne crois pas avoir vu cette image dans le film. Tu confirmes ?


en tout cas elle est 1/4 de seconde dans le trailer je crois


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MessagePosté: 08 Fév 2007, 09:56 
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Localisation: Jupiter
Déception serait un bien faible mot. Je ne comprends pas. Je ne vais ni m'amuser à le noter ni vomir dessus. J'ai simplement trouvé ça épouvantablement pénible et laid, de A à Z, même si je n'ai vu ni le A ni le Z. J'y étais avec un incondidionnel (vendu à Lynch diraient certains ;-)), qui m'a avoué qu'en video, il n'aurais pas tenu les 3 heures...
J'ai l'impression que c'est comme une sorte de bouillonnement, un gros chantier en cours par lequel Lynch veut aller vers "autre chose". Mais du coup, sans y chercher une structure narrative, je n'ai rien d'un minimum cohérent à quoi me raccrocher, je ne sais ni ce qu'il a fait, ni ce qu'il a voulu faire et au niveau des sensations (parce qu'il me semble que c'est par là que ça doit passer), rien n'est passé justement... Après, c'est sans doute un film ultra personnel, qui fait abstraction de toute convention, mais ça ne me parle jamais (et j'ai d'ailleurs l'impression constante que Lynch se fou royalement que ça parle ou pas).
A plusieurs moments j'avais envie d'entendre Laura Dern balancer un "je ne suis pas folle vous savez", c'est dire à quoi mon esprit s'occupait pour tuer l'ennui. Celà dit ça m'aurait sans doute sorti de ma torpeur. C'est ce qu'est parvenu à faire le générique de fin, d'ailleurs je m'en serais contenté...

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MessagePosté: 08 Fév 2007, 10:08 
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Karloff a écrit:
Sur Lynch, la merde etc etc

C'est une proposition artisitique, vide de sens pour certains, non pour d'autres. Mais ça reste la proposition artistique d'un immense créateur ce qui en soit la rend digne d'intérêt critique et esthétique. Le Bleu de Klein n'a bien sûr d'intérêt que dans le sens ou c'est Klein qui le peint, avec tout ce que cela suppose de réflexion. Donc la réflexion, c'est du caca, un autre l'aurait fait, vous auriez dit que c'était de la merde, est à mon sens complètement conne.


Je dis autre chose? Je dis qu'elle est conne, je suis le premier à le dire, mais sur certains moments, j'y pense c'est plus fort que moi.

Pourtant, même sur Eraserhead, je me pose pas cette question...J'ai une déconnection totale avec le principe et les idées artistiques d'Inland...Ca me rend la chose définitivement inaccessible.


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MessagePosté: 08 Fév 2007, 10:24 
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Pour moi tout est très clair (hahaha) un mise en abime de chez mise en abime façon scream 2 et scream 3 .. I.E (pas l'explorateur mais son film hein) est donc la mise en abime de mullhalland drive et l'humour de lapin est la mise en abime de I.E (tout ça façon poupée russe) c'est fabuleux ! cf. on arrive donc à la scene finale tres tres claire OU TOUT LE MONDE SE RETROUVE DANS LA CAGE A LAPIN AVEC LE CLIN D'OEIL DE LAURA HARRING.

Putain alors oui g piqué un peu du nez au milieu.. les blagues en pologne pas trop pour moi mais tout le reste est surtout la derniere heure, QUE DU KIFF.. il m'a pris la main et m'a emmené l'a où il voulait.. limite ça aurait pu encore duré 2 heure de plus pour moi.. le finale est sublime.. Laura Hellena harraing, Laura Dern (je vais d'ailleurs appelé ma fille laura) SUBLIME.. LE visage lumineux de laura dern m'a emu au plus haut point.. le debut quand elle parle avec la veille, sa voisine, où elle a son air pinçé et elegant c FABULEUX ! putain l'effet HD m'a boulversé.. à un moment ya un plan sur laura.. avec c cheveux qui lui tombe sur le visage.. ça pixelise a mort.. c juste trouvé ça beau et poetique.. (vraiment) tout les gros plan sur les visages et les nez sont beaux et granulé

Donc en gros c un telefilm blabla soirée "secret de femme" façon m6 croisé avec un doc animalier.. PUTAIN LE CHAMP LEXICAL De l'ANIMAL est fort dans ce film.. Le discours sur les chiens du mec qui demande des tunes a tout le monde c genial (une metaphore de la vie).. les lapin .. le singe (un classique).. tout ça croisé avec une comedie musical et un doc arte/la sept sur les putes de l'est. Et surtout une suite et fin de Mulholland drive (justin theroux tres bon. Toujours les meme blague de "allez-y , jouez moi cette scene".. puis ça fini en truc super fort comme le casting de naomi)

D'ailleurs la fin , la lumiere bleue et la façon dont ça coupe (pour enchainé sur le generique) c clairment mullholland drive.

De toute façon c un hymne à hollywood, L.A et le monde de reve.. la passage sur hollywood boulevard avec les blagues de Vine et de la meufe asiatique qui parle de Niko, de l'arret du bus et du singe .. ça m'a touché et bim : "coupez" sublime.. envoutant.

j'ai aimé

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MessagePosté: 08 Fév 2007, 13:56 
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hal5 a écrit:
A l'image des dix dernières minutes de Mulholland Drive, INLAND EMPIRE explose les cadres du narratif pour heurter la rationalité de l'esprit humain à grands coups de pulsions fantasmatiques.
Pas vraiment de logique interne, si ce n'est celle de la spirale concentrique : introduction obscure à la relative fluidité, qui place d'emblée le personnage de Laura Dern dans une inquiétante étrangeté, puis lente descente vers les limbes d'un cauchemar dont on a du mal à cerner les tenants et aboutissants. Qu'importe. Un cauchemar a-t-il toujours besoin d'être décrypter pour laisser son empreinte d'effroi dans l'inconscient ?


Pour moi, ça marche très très fort avec "Mulholland Drive", parce qu'il s'agit du dérèglement progressif d'une réalité. Ici, rien n'est réglé à la base. Dès le début du film, on ne sait pas dans quelle réalité on se trouve. On a pas de balise. J'ai donc l'impresion d'assister à un cauchemar "gratuit", et 3 heures de ça c'est BEAUCOUP trop long.

Peut-être une seconde vision donnerait-elle un minimum de sens à la chose, mais là tout de suite, je ne m'en sens pas.


hal5 a écrit:
Agrégats de perceptions et d'obsessions qui s'accollent et s'entrechassent dans un tournis vertigineux de contre-sens temporels et de chocs visuels tétanisants, INLAND EMPIRE est porté par une poésie noire et une bande sonore au fort pouvoir enivrant, comme si les langueurs et les psychoses spectrales disséminées ça et là portaient un peu plus le film non vers la sphère de l'intellect, mais vers celle du pur ressenti.


Et le gros souci c'est que dans ce cas précis, je ne ressens RIEN.

A part une ENORME envie de revoir "Mulholland Drive".


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MessagePosté: 08 Fév 2007, 14:01 
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beecher a écrit:
J'ai l'impression que c'est comme une sorte de bouillonnement, un gros chantier en cours par lequel Lynch veut aller vers "autre chose". Mais du coup, sans y chercher une structure narrative, je n'ai rien d'un minimum cohérent à quoi me raccrocher, je ne sais ni ce qu'il a fait, ni ce qu'il a voulu faire et au niveau des sensations (parce qu'il me semble que c'est par là que ça doit passer), rien n'est passé justement... Après, c'est sans doute un film ultra personnel, qui fait abstraction de toute convention, mais ça ne me parle jamais (et j'ai d'ailleurs l'impression constante que Lynch se fou royalement que ça parle ou pas).

Je suis d'accord exactement avec tout ça.
J'aime bien qu'on refuse le chemin de l'intellect pour aller vers le ressenti, mais là je ne ressens rien.
En revanche oui, je vois des images "d'inconscient", parce que j'ai un bagage qui fait que je pense à la psychanalyse et à tout ça... Pour moi c'est quand même un film volontairement inaccessible et ça me déplaît foncièrement.
Ou alors faut le voir sous héroïne, j'en sais rien.

Citation:
C'est ce qu'est parvenu à faire le générique de fin, d'ailleurs je m'en serais contenté...

Oui ben pareil.
Enfin non. J'adore les lapins. Quelques images difficiles à décrire. Que j'adore, vraiment. Les filles qui dansent. La séquence sur Beck. Justin et ses sourcils froncés.
Bon le film ne vieillit pas spécialement bien mais je ne l'oublie pas, c'est déjà ça...

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MessagePosté: 08 Fév 2007, 21:49 
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Ok. Paye ton gros morceau.

Et donc David Lynch n'aime vraiment pas les majors...

Le film est le pendant cauchemardesque de Mulholland Drive. Les interconnexions entre les deux films sont plus que nombreuses (évidemment les voix off de Watts et Harding, la présence de cette dernière, mais aussi la scène de répétition, des phrases clés du Mulholland Dr. bref. Y'en a des dizaines) puisqu'ils parlent de la même chose: du cinéma et d'Hollywood. Les deux films racontent la déliquescence de personnages qui tentent leur chance dans le milieu. A chaque fois, les deux blondes se frottent au monde hollywoodien à leur dépens. Si le suicide de Watts est clairement visible dans Mulholland, la "fin" de Dern relève ici de la métaphore. Après avoir erré dans un cauchemar, elle disparait littéralement pour ne devenir que fiction (elle termine sur la scène des lapins, seule, face à la lumière avant de rejoindre les personnages lynchiens alors que la brune qui l'observait à la télévision prend sa place dans la cellule familiale).

Sur la structure narrative, le film va très loin dans l'explosion des codes. Pour être clair, il n'y a rien. On comprend cette histoire de film maudit et qu'elle se promène entre les deux mondes, les deux tournages, la réalité et la fiction... Les symboles sont nombreux, les digressions partent super loin et n'attendant pas vraiment le spectateur (le film sait être saoulant à de nombreux moments). Je ne pense sincèrement pas qu'il y ait quoi que ce soit de gratuit dans le film, fait de boucles super nombreuses, faisant sens parfois, souvent totalement incompréhensibles. C'est donc probablement à revoir. Mais Lynch prouve qu'avec une DV et 3 clopinettes on peut faire un film particulièrement racé graphiquement (je trouve le film à aucun moment hideux ou quoi que ce soit) qui sait être tétanisant (à plusieurs reprises perso, respiration coupée 3-4 fois).

Je pense qu'il faut avoir les shakras (?) très très ouverts et qu'il faut être capable d'accepter 2 heures de délire total, mais le voyage en vaut clairement la peine à l'arrivée.


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MessagePosté: 08 Fév 2007, 22:16 
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Localisation: in the forest of the Iroquois
hal5 a écrit:
Noony a écrit:
qui sait être tétanisant (à plusieurs reprises perso, respiration coupée 3-4 fois).

Notamment une image en particulier, dont j'ai l'impression qu'elle a été tiré de mes cauchemars les plus enfouis : celle où on voit une femme, sur un chemin nocturne, s'avancer vers la caméra avec un rictus. Ca dure 10 secondes mais ça m'a tué.


voila. Ca, c'est le pire.


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MessagePosté: 08 Fév 2007, 22:17 
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hal5 a écrit:
Notamment une image en particulier, dont j'ai l'impression qu'elle a été tiré de mes cauchemars les plus enfouis : celle où on voit une femme, sur un chemin nocturne, s'avancer vers la caméra avec un rictus. Ca dure 10 secondes mais ça m'a tué.


Ouiiiiiiiii :!:

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MessagePosté: 09 Fév 2007, 00:46 
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hal5 a écrit:
The Xcapist a écrit:
hal5 a écrit:
A l'image des dix dernières minutes de Mulholland Drive, INLAND EMPIRE explose les cadres du narratif pour heurter la rationalité de l'esprit humain à grands coups de pulsions fantasmatiques.
Pas vraiment de logique interne, si ce n'est celle de la spirale concentrique : introduction obscure à la relative fluidité, qui place d'emblée le personnage de Laura Dern dans une inquiétante étrangeté, puis lente descente vers les limbes d'un cauchemar dont on a du mal à cerner les tenants et aboutissants. Qu'importe. Un cauchemar a-t-il toujours besoin d'être décrypter pour laisser son empreinte d'effroi dans l'inconscient ?


Pour moi, ça marche très très fort avec "Mulholland Drive", parce qu'il s'agit du dérèglement progressif d'une réalité. Ici, rien n'est réglé à la base. Dès le début du film, on ne sait pas dans quelle réalité on se trouve. On a pas de balise. J'ai donc l'impresion d'assister à un cauchemar "gratuit", et 3 heures de ça c'est BEAUCOUP trop long.

Peut-être une seconde vision donnerait-elle un minimum de sens à la chose, mais là tout de suite, je ne m'en sens pas.


hal5 a écrit:
Agrégats de perceptions et d'obsessions qui s'accollent et s'entrechassent dans un tournis vertigineux de contre-sens temporels et de chocs visuels tétanisants, INLAND EMPIRE est porté par une poésie noire et une bande sonore au fort pouvoir enivrant, comme si les langueurs et les psychoses spectrales disséminées ça et là portaient un peu plus le film non vers la sphère de l'intellect, mais vers celle du pur ressenti.


Et le gros souci c'est que dans ce cas précis, je ne ressens RIEN.

A part une ENORME envie de revoir "Mulholland Drive".

Oui je comprends tout à fait, j'ai ressenti ça moi aussi, bien qu'ayant aimer me laisser emporter par l'atmosphère. Peut-être que l'idéal serait-il de s'enfiler Mulholland Drive et Inland Empire à la suite... :)


Sounds great! L'expérience mérite d'être tentée!


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