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MessagePosté: 03 Juil 2008, 10:32 
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Bah voilà, quand tu veux. C'est un bon début. :wink:

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MessagePosté: 03 Juil 2008, 10:33 
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the black addiction a écrit:
J'ai pas le temps de te répondre maintenant, je ne veux pas le faire en une phrase bien sur. Mais merci de remonter ce topic car je n'ai jamais écrit sur ce film sur ce forum. Dès que je peux je détruits ton texte point par point.


:lol:

Ah mais je ne doute pas que tu auras beaucoup d'arguments à faire valoir.
Je te préviens d'emblée : il n'est pas du tout sûr que je te réponde. Non que le défilement soit des mes pratiques habituelles, mais c'est juste que je pense vraiment avoir fait le tour de ma pensée ici et je ne vois pas très bien ce que pourrais ajouter sans me répéter. D'autant que j'ai pas mal débattu de ce film, à de nombreux endroits, et que tous les défenseurs du film m'ont déjà exprimé leur pensée en long, en large et en travers.
Attention : je ne te coupe pas l'herbe sous le pied, je comprends que tu veuilles me répondre sur ce film qui te tient à coeur (en postant ici, il est tout naturel qu'on me fasse valoir un avis contraire), et je lirai, bien sûr, ta réponse (c'est la moindre des choses).
C'est juste que, lorsque les ressentis sont si différents, je doute qu'on puisse aller au-delà de la simple confrontation des opinions. J'ai exposé la mienne, tu vas le faire, et ça risque de s'arrêter là. :wink:

Arnotte a écrit:
*Bon j'ai pas tout lu hein* mais d'accord avec toi, Stark. Mais tu aurais pu juste écrire "c'est à périr d'ennui" et ça aurait suffi...


Ah mais le pire, c'est que je n'aurais pas pu dire ça. A vrai dire (et de façon tout à fait paradoxale), le film ne m'a jamais vraiment ennuyé. Il ne m'a pas surpris ni ému le moins du monde, mais je trouve que les trois heures passent très vite. C'est étrange, je crois que c'est dû à cette faculté qu'à Lynch d'accrocher son spectateur quoi qu'il arrive (du moins, celui que je suis). C'est bien l'un des quelques points positifs que j'accorde au film.

Baptiste a écrit:
J'aime Lynch mais ce qui empêche d'en faire un de mes real' préférés est ce côté trop démonstratif, trop ouvertement symbolique qu'on retrouve maintenant dans tous ses films. Il tente des trucs, c'est super, par contre des fois on a un peu l'impression qu'il fait de l'original et le dérangeant une fin en soi.


Je comprends parfaitement cette critique, à défaut de la partager (du moins jusqu'à IE.

Baptiste a écrit:
Stark, tu parlais du fait que Mulholland Drive t'avais moins plus par son côté justement dérangeant et alambiqué que par les émotions pures qui s'en dégagent, et je te rejoins à fond la dessus, et alors on peut se demander: si Mulholland Drive avait été plus classique dans sa forme, n'aurait-il pas été le même sur le fond?


Pour moi, clairement non. L'histoire de MD est la plus vieille du monde, elle a été racontée mille fois, notamment au cinéma : un récit d'amour tragique, une grave désillusion, un rêve brisé. C'est la forme, la manière dont est racontée cette histoire, qui lui donne toute sa puissance : de manière intérieure, en suivant les palpitations d'une âme blessée, et montrée par inversion. La détresse y naît de la restitution d'un bonheur désiré mais jamais concrétisé. C'est la subordination à cette perception subjective (celle du rêve), extrêmement romantique, qui donne au film sa profondeur et sa beauté.
Et là, on va me répondre que c'est la même chose dans IE. :lol:


Dernière édition par Stark le 03 Juil 2008, 10:34, édité 1 fois.

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MessagePosté: 03 Juil 2008, 10:33 
the black addiction a écrit:
Bah voilà, quand tu veux. C'est un bon début. :wink:

Et mon collègue me regarde d'un mauvais oeil.

C'est de ta faute.


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MessagePosté: 03 Juil 2008, 10:45 
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Jericho Cane a écrit:
Okay...

Pour mieux aborder INLAND EMPIRE, il ne faut pas s'arrêter à son aspect conceptuel, mais se laisser porter par la subjectivité totale qui hante chaque image, comme si c'était un grand voyage intérieur à l'intérieur de nos angoisses les plus intimes et les plus enfouies. Et là, il ne faut plus se soucier d'une quelconque logique narrative, mais ressentir une pure expérience sensorielle et méditative. Il ne s'agit pas de s'attacher à Laura Dern comme si on la trouvait sympa, mais de partager avec elle ses démons intérieurs. INLAND EMPIRE est absolument tout le contraire d'un film-objet, car il nécessite une connexion totalement directe avec l'esprit du spectateur. Nul besoin d'être cinéphile ou de s'intéresser à l'art conceptuel pour aimer ce film, tout n'est qu'une question de sensibilité. C'est pourquoi ceux qui ont accepté le voyage jusqu'au bout sont tous d'accord pour dire que la fin du film va vers une délivrance émotionnelle qui procure une grande joie.

Il faut arrêter de voir systématiquement du "conceptuel" dans toute forme de cinéma expérimental.... Des films avec une narration logique peuvent même s'avérer les films les plus vides et les plus froids qui soient.
Et INLAND EMPIRE est l'un des films les plus généreux et chaleureux que j'ai jamais vus.


Ben voilà : c'est ce que je disais.

Je ne sais pas trop quoi répondre à tout cela, j'ai tout dit au-dessus.
J'ai expliqué pourquoi je ne partage pas du tout cette réception sensorielle du film, pourquoi la connexion entre le film et moi ne s'est jamais faite, pourquoi le film ne m'a jamais fait ressentir les terreurs et angoisses intimes des êtres, etc...

Mais on en vient à cette question de la plausibilité de la logique affective, cette logique dont parlait à juste à titre the black addiction. Je ne nie pas que Lynch ait bâti son film là-dessus, ça me semble évident. Mais pour moi il se plante, pour toutes les raisons ci-dessus. C'est vrai que c'est coton à expliquer, il faudrait se baser sur des exemples précis.
Tu cites la fin, en arguant qu'elle exprime une "délivrance émotionnelle". Dans les faits, je suis d'accord : je saisis cette intention chez Lynch. Mais à mes yeux, il est à côté de la plaque et foire son effet dans les grandes largeurs : la logique affective ne fonctionne pas. Parce que pendant tout le film, il nous donne à voir un héros (le perso masculin principal) tour à tour méprisable, violent, inquétant, antipathique, etc... Cette perception subjective est celle de l'héroïne (la brune qui regarde la télé, et aussi Laura Dern, sa projection fictionnelle). Or on la voit à la fin qui tombe dans ses bras dans un simulacre de bonheur conjugual, comme si tout ce que le film nous avait montré (i.e. fait ressentir) pendant trois heures n'avait pas eu lieu d'être. L'enchaînement des affects, la logique émotionnelle est à côté de la plque, elle n'a aucune tangibilité : je ne crois pas une seconde à cette scène de bonheur, rien ne m'y amené "affectivement". Je ne peux pas croire que cette fille soit heuree dans les bras de son mari alors que tout le film a été basé sur le mépris et la peur qu'il inspire. Donc cette scène finale ne m'émeut pas. C'est vraiment le socle même du projet, la démarche de Lynch qui sont foireuses, pour moi. En fait il ne sait même plus ce qu'il raconte, le pauvre David. :P

Sur la question des angoisses intimes et enfouies, des démons intérieurs, j'ai déjà donné dans la page précédente. Pour moi Lynch ne parvient pas à exprimer la peur de façon prégnante : il en transmet seulement une visualisation particulièrement gotesque et grand-guignolesque. Il est plus question de manifestations outrancières de la peur que d'une véritable connexion empathique avec la vraie peur. En comparaison, la façon dont le cinéaste parvenait à nous faire partager les hantises de Laura Palmer dans Twin Peaks, dont il nous projetait dans l'arrière-monde de ses terreurs adolescentes, de tout le processus d'autodestruction, de toute la détresse, la débauche et le stuc dans laquelle elle s'engloutissait pour tenter d'oublier jusqu'à sa propre existence, était infiniment plus boulevrsante. Quant aux héroïnes de Mulholland Drive, elles étaient dans l’attente d’une révélation qui, et elles le savent d’avance (d’où leur terreur, et la nôtre), allait éclater comme un coup de tonnerre dans leur ciel trop pur. Et plus approchait l’heure de la révélation, plus leur bonheur d’être ensemble s’intensifiait, de sorte que c’est quand leur amour atteignait son paroxysme qu'un Satan de music-hall faisait s’évanouir, d’un coup de baguette magique, toute leur histoire, jusqu’à son souvenir. La dernière partie du film, si cruelle, qui voyait Diane petit à petit méprisée puis oubliée par celle qu’elle avait tant aimé, mais dans un autre espace-temps, est à ma connaissance l’une des meilleures représentations cinématographiques du cauchemar absolu. La peur, la vraie, elle est là, bien davantage que dans les trois heures noirâtres de Inland Empire.

Enfin, tu soulignes à travers ton post l'une des grandes limites de IE à mes yeux (une de plus, oui :D ) : la dimension quelque peu limititée de sa palette émotionnelle. A part cette fameuse peur (que personnellement, je ne ressens pas, tu l'auras compris), que ressens-tu face à ce film, en dehors de la délivrance émotionnelle finalr ? Désolé d'y revenir, mais un film comme MD me vaut absolument toutes les émotions du monde, puissance mille : l'euphorie, l'exaltation, l'émerveillement, le trouble, l'inquiétude, l'excitation, l'angoisse, l'amusement, la tristesse, le chagrin, le désespoir, la mélancolie. Je passe par TOUS les états émotionnels face à ce film. Ressens-tu quelconque de ces émotions face à IE ? Si oui, à quels moments, face à quelles scènes ?

Sur la question du conceptuel, c'est un fait : Lynch s'est imposé de ne pas écrire de scénario, a bâti son film sur des partis pris radicaux auxquels il s'est tenu. Je peux me tromper, mais il me semble que ça procède d'une approche très conceptuelle, très théorisée de son projet, une forme d'installation d'art assez particulière.

Tout à fait d'accord cependant sur le fait que certains films très linéaires et classiques sont totalement froids, ça n'a évidemment rien à voir.

Tu l'auras compris, mais j'ai trouvé IE (forme et fond) totalement glacial, déshumanisé, désséché. De ce point de vue, je ne peux nier que l'esthétique du film, décharnée, désincarnée, laide, soit en adéquation avec le fond, avec cette absence complète de la sentimentalité qui m'est si chère chez Lynch. C'est peut-être ça, le pire : où sont passés les sentiments ? Pourquoi les personnages n'éprouvent-ils rien les uns envers les autres ? (à part cette fameuse "peur", on y revient). Pas un instant, je n'ai ressenti d'affection entre les personnages, de tangibilité émotionnelle, pas une quelconque manifestation d'empathie de qui que ce soit, pour qui que ce soit. Ca, ça me tue, quand je considère Lynch comme l'un des réalisateurs les plus romantiques et sentimentaux du monde.


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MessagePosté: 05 Mai 2009, 05:13 
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Revision.
En relisant le topic, je m'apercois qu'on decrit le film comme un pur trip sensoriel, le trauma de Laura Dern, et que Lynch est en roue libre a partir de ca.

Mais pour moi, la grande qualite du cinema de Lynch, c'est justement de confondre l'illogisme de l'inconscient avec la parfaite logique de l'origine du trauma. Il met des indices partout pour que le spectateur reconstitue l'origine. Dans l'absolu le cinema de Lynch recele cette double richesse sensation/logique de cette sensation, et je pense que le plaisir du spectateur est double lorsqu'il reussit a trouver les cles explicatives du film tout en etant capable de ressentir l'emotion que ces cles fabriquent. C'est un des propos explicites de son chef d'oeuvre, Mulholland Drive: meme si on connait l'artifice, on est emu, il y a meme une emotion supplementaire.

Dans Inland Empire, il y a un scenario cache, je ne suis pas d'accord avec ceux qui disent que Lynch s'est juste mis en mode nawak. Je n'ai pas la pretention d'avoir tout decouvert, loin s'en faut, mais il ya quand meme pas mal d'indices laissant penser que le trip de la fille a des origines, une histoire. J'avais dit sur ce topic que le film n'etait qu'un exercice de style, je me permet aujourd'hui de revenir sur cette position.

D'un autre cote je suis aussi d'accord avec le fait que Lynch dans ce film extremise son style, ce qui est different de le faire aboutir. Il l'exerce, et le reflechit. La ou Mulholland Drive est un film parfaitement abouti, Inland Empire me semble etre un peu boursoufle, certains effets se montrant trop comme "lynchiens". La ou c'est infernal et qu'on voit qu'on peut tout faire dire au film comme a Lynch, et donc ultimement le monsieur se trouve gagnant, c'est que le film peut justement etre pris comme une reflexion de Lynch par rapport a son cinema. Il appuie un peu plus ses effets et son style pour voir leurs limites et comment, a l'interieur de ce style, il peut faire un film different. Car Inland Empire est tres different de Mulholand Drive. Dans la carriere de Lynch ce film marque peut etre la fin d'une epoque, la ou il comprend qu'il est alle a l'extreme de ses envies de filmer de l'indicible.

En tout cas le gros merite du film est de faire reflechir sur le cinema, et comme ont dit certains, ca donne envie de tenter des choses soi-meme. Je pense pour l'instant que le film est clairement moins bon que Mulholland Drive en ce que ce dernier etait plus emouvant et plus beau, mais Inland Empire ne demerite pas.

5/6

Je suis du coup ultra curieux de voir comment sera son prochain film; ca ne m'etonnerait pas qu'il revienne a quelque chose de plus classique, il a ici touche une sorte de frontiere.


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MessagePosté: 07 Mai 2009, 18:33 
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Fascinant, je n'ai pu aller au bout, parce que j'ai eu très peur.

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MessagePosté: 25 Mar 2022, 09:31 
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Un peu de geekisme sur la restauration 4k



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MessagePosté: 25 Mar 2022, 09:36 
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Après 15 ans j'avais réussi à oublier l'existence de ce film et il a fallu que Cantal s'en mêle.


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MessagePosté: 25 Mar 2022, 10:24 
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Quel est l'intérêt de remasteriser en 4K un film tourné en Mini DV ?


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MessagePosté: 25 Mar 2022, 10:30 
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Localisation: In the Oniric Quest of the Unknown Kadath
Déjà-vu a écrit:
Quel est l'intérêt de remasteriser en 4K un film tourné en Mini DV ?


Même question.

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MessagePosté: 25 Mar 2022, 10:55 
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Faire raquer les teubés !


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MessagePosté: 25 Mar 2022, 10:56 
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Lynch s'est finalement avoué à lui-même que c'était dégueulasse?


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MessagePosté: 25 Mar 2022, 12:15 
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Art Core a écrit:
Déjà-vu a écrit:
Quel est l'intérêt de remasteriser en 4K un film tourné en Mini DV ?


Même question.


Aucun même s'ils ne repartent pas du format DV pour la restauration mais plutôt de la conversion HD et 35mm d'époque...enfin c'est même plus compliqué que ça.

Pour le 4k, Lynch a choisi de downscaler le format hd en sd via un algorithme puis de reconvertir ça en 4k.

C'est sûr que personne n'en demandait autant


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MessagePosté: 25 Mar 2022, 12:29 
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Eh ben je me rappelais pas que j'avais vu le film deux fois...


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MessagePosté: 25 Mar 2022, 12:37 
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Cantal a écrit:
Pour le 4k, Lynch a choisi de downscaler le format hd en sd via un algorithme puis de reconvertir ça en 4k.

WTF


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