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MessagePosté: 13 Déc 2012, 16:16 
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Ah là vous me chauffez à mort! J'ai pas trop aimé Inglourious Basterds et Boulevard de la mort est fascinant sans être vraiment très bon, donc je suis quand même méfiant. Kill Bill est pour moi son chef d'oeuvre, autant pris séparément on peut préférer Réservoir Dogs ou Pulpe Fiction (même si je place au-dessus rien que le volume 1), autant pris ensemble le dyptique est ultra riche et puissant.


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MessagePosté: 13 Déc 2012, 16:31 
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Arnotte a écrit:
Je suis super chaud et ne l'imagine pas vraiment moins bon que Inglourious Basterds. Avec Pulp Fiction ils formeraient un joli trio de tête. Parole de vendu d'avance.

Je n'ai par contre jamais été un fan des Kill Bill.

BORDEL DE QUEUE JE N'AI TOUJOURS PAS VU JACKIE BROWN.


Tiens Arnotte tu as mis ton avis sur le Rochant quelque part?


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MessagePosté: 13 Déc 2012, 16:53 
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Il vous dira quoi
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Arnotte a écrit:
Je suis super chaud et ne l'imagine pas vraiment moins bon que Inglourious Basterds. Avec Pulp Fiction ils formeraient un joli trio de tête. Parole de vendu d'avance.

Je n'ai par contre jamais été un fan des Kill Bill.

BORDEL DE QUEUE JE N'AI TOUJOURS PAS VU JACKIE BROWN.


Si t'as pas vu Brown, t'as raté ta vie. C'est un bijou ce film.

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MessagePosté: 13 Déc 2012, 16:55 
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Je sais que tu ne me décevrais pas, Quentin.

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MessagePosté: 16 Déc 2012, 23:34 
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When asked if there's a longer cut of the film. Tarantino said, yes there is and he may release an expanded version of "Django Unchained" at some point.
"I'm not exactly sure [when I might]," Tarantino said. "I'm going to wait until the film goes around the world, does what it does. And then I'm going to make a decision. I make these scripts that are almost novels. If I had to do this whole thing over again I would have published this as a novel and done this after the fact. Maybe next time. I could do what Kevin Costner did with the expanded edition of 'Dances with Wolves,' and I could very well do that. Because if I put some of that in I have to change the story. But I want this version to be the story for a while."

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MessagePosté: 06 Jan 2013, 16:52 
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J'attends ce film avec impatience. Je comptais aller à l'AP mais pas le temps ce soir là... :(


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MessagePosté: 06 Jan 2013, 16:54 
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D'accord.

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MessagePosté: 06 Jan 2013, 16:56 
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MrDandiz a écrit:
J'attends ce film avec impatience. Je comptais aller à l'AP mais pas le temps ce soir là... :(

Oh tiens, je suis pas contre un spécialiste de Tarantino entre ces murs.


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MessagePosté: 06 Jan 2013, 18:34 
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J'ai trouvé très bon. Mais c'est l'un des plus faibles Tarantino. J'ai trouvé le rythme très mal géré dans la deuxième partie.
Deux bastons dans la même baraque. On aurait pu se contenter d'une seule
. Les dialogues ne sont pas particulièrement à la hauteur de ce que Tarantino peut faire de mieux. La référence à la légende de Siegfried est un peu lourde je trouve. Mais j'ai bien aimé la première partie. Pour moi, c'est la perfection jusqu'à l’arrivé chez Léo. À partir de là, le film patine. À mon avis, le film tient beaucoup sur les épaules de Christopher Waltz. Jamie Foxx, bien qu'ayant un charisme certains,
ne suffit pas à lui seul dans la dernière partie.
. Et le jeu de Dicaprio m'a semblé quelque peu forcé. Ça se voit que ce n'est pas son type de rôle, et qu'il est en mode "acteur de composition"

Ceci étant dit, le film m'a amusé dans l'ensemble. C'est un excellent supplément à Inglorious Basterds (qui, pour moi, est le véritable chef-d'oeuvre de Tarantino).

4/6

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MessagePosté: 06 Jan 2013, 18:53 
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Messages: 1795
Localisation: Montréal, Québec (Canada)
Reservoir Dogs est le seul que je n'ai pas vu. :? Honte sur moi.

En l'état, c'est Inglorious Basterds et Kill Bill volume 2 mes préférés.

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MessagePosté: 16 Jan 2013, 19:01 
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Argh... dommage, dommage, dommage. Bon, autant le dire tout de suite, cela reste un très bon film. Mais ce qui cloche, encore et toujours, ce à quoi je suis de plus en plus sensible, c'est l'écriture. La proportion des différentes parties. L'équilibre qui dicte le sens du film.

Je ne sais pas combien de temps le film dure mais c'est trop long. Trop long. Pas en termes de longueur de bobine, et je n'ai pas sorti mon chronomètre non plus. Mais ce rythme, ce si précieux rythme, parfait durant une bonne moitié du film, cahote dans la dernière ligne droite pour ne laisser qu'une impression d'élan brisé. Tarantino, il le tenait son chef d'oeuvre, lorsque hébétés, nous assistions à l'entrée des protagonistes en affaires avec Di Caprio. Toute cette peinture de l'esclavagiste, de sa grande propriété, de la hiérarchie des esclaves, de l’ambiguïté périodique des relations maître/esclave (pour le sexe, l'amitié, le partage ou la délégation du pouvoir), de la brutalité d'une société américaine qui, comme le dit Tarantino dans une interview, s'est construite sur deux crimes à grande échelle, le deuxième concernant les Indiens... Tout cela est parfait, on sent une réelle richesse dans cet univers composite entre fiction et réalité historique, la fiction permettant à Tarantino d'incarner les silhouettes d'autrefois par de vrais personnages de bandes dessinées, avec toute l'excitation que cela fait monter chez le spectateur. Cette alchimie toute spéciale n'a à mon sens jamais été mieux produite que dans ce film-là, bien plus selon moi que dans Inglourious Basterds qui avait peut-être, il est vrai, le désavantage de s'attaquer à une période bien connue. Et ça ne m'étonne pas que le film fasse polémique outre-Atlantique parce qu'il décrit l'oppression, la sauvagerie, le crime pur organisés en système, avec une telle minutie, une telle humanité, une telle incarnation, qu'il ne peut que faire réagir. Avec cette dose d'humour qui permet tout de même de relâcher la pression pour ce qui est sur le fond un film très dur.

Et puis... Tarantino se perd dans l'écriture. SPOILERS Non pas que le dernier tiers soit ennuyeux, ne comporte pas de beaux moments. Mais clairement, il manque d'épure. Pourquoi étirer la négociation autour de la table du dîner sur tout ce temps? Pourquoi scinder en plusieurs parties le règlement de compte entre Django et les esclavagistes? On pense que la mort de Di Caprio va être le début d'une baston qui va tout d'un coup faire tout exploser, et soulager les nerfs une bonne fois pour toute du spectateur. Mais non, il faut que Django se fasse prendre, doive inventer un stratagème pour échapper à ses transporteurs et revienne dans un règlement de compte, part 2. Cette partie du film se voudrait jouissive après les deux-premiers tiers qui mettent en place la dramaturgie. Elle est à la place frustrante car saucissonnée, ce qui pose problème parce qu'elle n'invente rien par rapport à ce que Tarantino a déjà fait: Kill Bill plaçait la barre bien plus haut en termes de vendetta, le faisait avec plus de panache. Parce que c'était le coeur du film. Ici, ce n'est pas le cœur du film, c'est le but du protagoniste, nuance. Le cœur du film c'est la ballade dans la propriété, dans la maison, lorsque l'on suit un domestique en chambrer un autre dans la cuisine avant de passer dans la salle à manger et ses conventions plus bourgeoises, comme une broderie sur un thème de la Règle du jeu de Renoir. La vengeance, la bataille finale, devrait être une explosion, une révolution aussi brusque et rapide que brutale. Elle prend près de 25 minutes éparpillées entre plusieurs séquences. C'est donc là au Tarantino plus conventionnel, toujours plaisant à suivre mais en mode pilotage automatique, un Tarantino périmé, auquel nous assistons. Et on se prend à espérer, sans trop y croire, qu'un jour le réalisateur tournera la page du motif de la vendetta et du ballet de la violence pour enfin, non pas l'éliminer de ses films, mais n'en faire qu'une ultime étincelle après le déroulement de son programme le plus essentiel.

5/6


Dernière édition par Baptiste le 17 Jan 2013, 17:20, édité 1 fois.

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MessagePosté: 16 Jan 2013, 21:13 
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SPOILERS

Baptiste a écrit:
Argh... dommage, dommage, dommage. Bon, autant le dire tout de suite, cela reste un très bon film. Mais ce qui cloche, encore et toujours, ce à quoi je suis de plus en plus sensible, c'est l'écriture. La proportion des différentes parties. L'équilibre qui dicte le sens du film.

Je ne sais pas combien de temps le film dure mais c'est trop long. Trop long. Pas en termes de longueur de bobine, et je n'ai pas sorti mon chronomètre non plus. Mais ce rythme, ce si précieux rythme, parfait durant une bonne moitié du film, cahote dans la dernière ligne droite pour ne laisser qu'une impression d'élan brisé. Tarantino, il le tenait son chef d'oeuvre, lorsque hébétés, nous assistions à l'entrée des protagonistes en affaires avec Di Caprio. Toute cette peinture de l'esclavagiste, de sa grande propriété, de la hiérarchie des esclaves, de l’ambiguïté périodique des relations maître/esclave (pour le sexe, l'amitié, le partage ou la délégation du pouvoir), de la brutalité d'une société américaine qui, comme le dit Tarantino dans une interview, s'est construite sur deux crimes à grande échelle, le deuxième concernant les Indiens... Tout cela est parfait, on sent une réelle richesse dans cet univers composite entre fiction et réalité historique, la fiction permettant à Tarantino d'incarner les silhouettes d'autrefois par de vrais personnages de bandes dessinées, avec toute l'excitation que cela fait monter chez le spectateur. Cette alchimie toute spéciale n'a à mon sens jamais été mieux produite que dans ce film-là, bien plus selon moi que dans Inglourious Basterds qui avait peut-être, il est vrai, le désavantage de s'attaquer à une période bien connue. Et ça ne m'étonne pas que le film fasse polémique outre-Atlantique parce qu'il décrit l'oppression, la sauvagerie, le crime pur organisés en système, avec une telle minutie, une telle humanité, une telle incarnation, qu'il ne peut que faire réagir. Avec cette dose d'humour qui permet tout de même de relâcher la pression pour ce qui est sur le fond un film très dur.

Et puis... Tarantino se perd dans l'écriture. Non pas que le dernier tiers soit ennuyeux, ne comporte pas de beaux moments. Mais clairement, il manque d'épure. Pourquoi étirer la négociation autour de la table du dîner sur tout ce temps? Pourquoi scinder en plusieurs parties le règlement de compte entre Django et les esclavagistes? On pense que la mort de Di Caprio va être le début d'une baston qui va tout d'un coup faire tout exploser, et soulager les nerfs une bonne fois pour toute du spectateur. Mais non, il faut que Django se fasse prendre, doive inventer un stratagème pour échapper à ses transporteurs et revienne dans un règlement de compte, part 2. Cette partie du film se voudrait jouissive après les deux-premiers tiers qui mettent en place la dramaturgie. Elle est à la place frustrante car saucissonnée, ce qui pose problème parce qu'elle n'invente rien par rapport à ce que Tarantino a déjà fait: Kill Bill plaçait la barre bien plus haut en termes de vendetta, le faisait avec plus de panache. Parce que c'était le coeur du film. Ici, ce n'est pas le cœur du film, c'est le but du protagoniste, nuance. Le cœur du film c'est la ballade dans la propriété, dans la maison, lorsque l'on suit un domestique en chambrer un autre dans la cuisine avant de passer dans la salle à manger et ses conventions plus bourgeoises, comme une broderie sur un thème de la Règle du jeu de Renoir. La vengeance, la bataille finale, devrait être une explosion, une révolution aussi brusque et rapide que brutale. Elle prend près de 25 minutes éparpillées entre plusieurs séquences. C'est donc là au Tarantino plus conventionnel, toujours plaisant à suivre mais en mode pilotage automatique, un Tarantino périmé, auquel nous assistons. Et on se prend à espérer, sans trop y croire, qu'un jour le réalisateur tournera la page du motif de la vendetta et du ballet de la violence pour enfin, non pas l'éliminer de ses films, mais n'en faire qu'une ultime étincelle après le déroulement de son programme le plus essentiel.

5/6

J'ai eu le même sentiment la première fois, et la deuxième fois ça passe mieux, cette césure volontaire après la première partie, basculant dans le dialogue, rangeant les flingues, forçant Django à se restreindre, avant l'explosion finale. Et si d'un point de vue structurel, la division du climax en deux fusillades (au même endroit) est maladroite, je pense qu'il est nécessaire d'avoir ce retour pour montrer un Django à présent émancipé se venger seul.

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MessagePosté: 16 Jan 2013, 21:32 
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Citation:
je pense qu'il est nécessaire d'avoir ce retour pour montrer un Django à présent émancipé se venger seul.


Ah oui tiens c'est probablement la raison théorique de cette scission, effectivement. Dans la pratique ça passe pas trop.


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MessagePosté: 16 Jan 2013, 21:34 
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En effet. On comprend l'idée, mais ça aurait pu être plus efficace, plus rapide.

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MessagePosté: 17 Jan 2013, 12:17 
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Ouais me suis fait spoilé aussi.

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